Achères (Yvelines)
Achères est une commune française du département des Yvelines, en Île-de-France. Elle est située à six kilomètres au nord-ouest de Saint-Germain-en-Laye et à quatre kilomètres au nord-est de Poissy.
Achères | |
![]() Achères vue depuis les hauteurs de Chambourcy. | |
![]() Blason |
![]() Logo |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Île-de-France |
Département | Yvelines |
Arrondissement | Saint-Germain-en-Laye |
Canton | Poissy |
Intercommunalité | Grand Paris Seine et Oise |
Maire Mandat |
Marc Honoré 2014-2020 |
Code postal | 78260 |
Code commune | 78005 |
Démographie | |
Gentilé | Achérois |
Population municipale |
21 017 hab. (2017 ![]() |
Densité | 2 226 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 57′ 47″ nord, 2° 04′ 10″ est |
Altitude | Min. 18 m Max. 32 m |
Superficie | 9,44 km2 |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.mairie-acheres78.fr |
Ses habitants sont appelés les Achérois.
Toponymie
La ville est citée dans un document ancien du Xe siècle sous la forme latinisée Villam Apiarias. On trouve ensuite les formes Acheriis, Aschere, Aschieres. La graphie Achères est attestée pour la première fois en 1617[réf. nécessaire].
Le nom d’Achères serait issu à la fois du latin — et plus précisément de l'adjectif féminin pluriel apiarias désignant des villas ou fermes « pourvues de ruches[1] » — et du vieux français aschier signifiant « rucher »[2]. Le miel, en des temps reculés, était la seule source de sucre. Les lois de certaines régions étaient particulièrement strictes au sujet du miel et pouvaient aller jusqu'à une condamnation à mort en cas de destruction volontaire de ruchers.
Géographie
La commune d'Achères se trouve dans le nord-est des Yvelines, près de la limite du Val-d'Oise, à sept kilomètres environ au nord de Saint-Germain-en-Laye, chef-lieu d'arrondissement et à vingt kilomètres environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département.
C'est une commune riveraine de la Seine dans une boucle du fleuve, en rive gauche, face au confluent de l’Oise, en bordure et au nord de la forêt de Saint-Germain-en-Laye.
Le territoire communal qui épouse cette boucle a un peu la forme d'une corne, un croissant le long de la Seine avec une sorte de renflement à l'ouest où se trouve le centre habité. Il ne longe toutefois pas le fleuve sur toute sa longueur, certains communes principalement situées sur la rive droite possédant une « frange » de territoire sur la rive gauche, frange qui correspond à d'anciennes îles aujourd'hui soudées à la rive gauche.
Pas moins de huit communes sont limitrophes d'Achères : Maisons-Laffitte au sud-sud-est, Saint-Germain-en-Laye au sud, Poissy au sud-ouest, Carrières-sous-Poissy à l'extrême ouest-sud-ouest, Andrésy à l'ouest, Conflans-Sainte-Honorine au nord, Herblay-sur-Seine au nord-est, et La Frette-sur-Seine (ces deux dernières communes font partie du département du Val-d'Oise).
Hydrographie
Achères est situé dans une boucle de la Seine, une boucle entourant la forêt domaniale de Saint-Germain-en-Laye. Dans ce secteur, la Seine reçoit l’eau de l’Oise[3]. Le fleuve a marqué l'histoire et l'économie de la ville. Une station d'épuration existe depuis 1940, la station d'épuration Seine Aval. Elle est alimentée par des eaux usées issues de différents émissaires d'une partie de l’agglomération parisienne. C'est une des plus importantes stations du monde par le volume d'eau traité[3]. Un port est en projet qui viendra compléter les infrastructures portuaires franciliennes de Gennevilliers, Bonneuil-sur-Marne et Limay[4].
Relief et géologie
Le territoire de la commune étant situé dans la vallée de la Seine, Achères présente une altitude moyenne très basse (entre 18 et 32 mètres d'altitude). Le village historique est situé sur une colline et son flanc orienté vers la plaine et la Seine.
Climat
Achères jouit comme toute l'Île-de-France d'un climat océanique dégradé par des influences continentales. Selon les relevés de la station météorologique de Trappes (distante de 30 km environ) sur la période 1971-2000, la température moyenne annuelle, relativement fraîche, s'élève à 10,8 °C. L'amplitude thermique moyenne annuelle, écart moyen entre les températures minimale et maximale, est faible et s'élève à 7,9 °C. Les mois les plus froids sont décembre, janvier et février, avec une moyenne mensuelle de 3 à 5 °C et les plus chauds, juillet et août avec 18 à 19 °C.
La pluviométrie est modérée, mais bien répartie au cours de l'année. La moyenne des précipitations annuelles est de 695 millimètres, avec une moyenne de 119 jours de pluie dans l'année. Le mois le plus pluvieux est mai, avec 68,1 mm, et le moins pluvieux, août, avec 47,4 mm.
L'ensoleillement moyen s'élève à 1 664 heures par an[5].
Les vents dominants sont de secteur ouest à sud-ouest.
- Le , 40,2 degrés à l'ombre ont été relevés à Achères.
- Le , 42,6 degrés à l'ombre ont été relevés à Achères[6]
Utilisation du territoire
Type d'occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Espace urbain construit | 33,5 % | 321,72 |
Espace urbain non construit | 10,2 % | 98,08 |
Espace rural | 56,3 % | 539,86 |
Source : Iaurif |
Avec 960 hectares, Achères est une commune légèrement plus grande que la moyenne yvelinoise qui est de 872 hectares. Le territoire communal est majoritairement rural, à 56,3 %, l'espace urbain construit occupant 322 hectares, soit 33,5 % du territoire total[7].
L'espace rural est dédié principalement à l'agriculture qui occupe 335 hectares (dont 317 de grande culture céréalière), soit 35,3 % du territoire communal. Les cultures se trouvent surtout au nord du secteur habité.
Les parties boisées sont très limitées (5 hectares), tandis qu'il existe environ 150 hectares d'espace rural en friches.
L'espace urbain ouvert, consacré aux parcs et jardins et terrains de sports, s'étend sur 98 hectares (10,2 % du territoire communal), dont 45 hectares de parcs et jardins, 17 hectares de terrains de sport et 36 hectares de terrains vacants.
La surface consacrée à l'habitat couvre 170 hectares (17,7 % de la superficie totale) et comprend des habitations individuelles sur 140,5 hectares et de l'habitat collectif sur 29,3 hectares.
Les activités économiques et commerciales occupent 86 hectares (soit 9 % du territoire total). Ces implantations incluent notamment une partie des installations de la station d'épuration Seine-Aval.
Quartiers
Centre-Ville (Saint-Martin), le Montsouris, le Chêne-Feuillu, Rocourt, la Grange-Saint-Louis, les Plantes-d'Hennemont, la Porte-de-Seine, la Barricade, les Champs-de-Villars et le quartier de la Gare sont les principaux quartiers de la ville d'Achères.
Infrastructures
Les principaux axes de circulation traversant la commune sont la route nationale 184 menant à Conflans-Sainte-Honorine vers le nord et à Saint-Germain-en-Laye vers le sud et la route départementale 30 qui commence au droit de la nationale 184 et mène vers le sud à Plaisir.
Achères est desservie par une branche du RER A ainsi que par les trains du Transilien L à la gare d'Achères-Ville. La gare d'Achères - Grand Cormier dessert l'ancien site de triage ferroviaire proche d'Achères, dans la forêt de Saint-Germain-en-Laye.
La construction d'un second collège près de la gare d'Achères-Ville, sur l'avenue du Général-de-Gaulle, a commencé en janvier 2013. Son ouverture a eu lieu en , il a été baptisé collège Camille du Gast, samedi lors de son inauguration[8], le bâtiment est quant à lui classé HQE. Ce projet a pour objectif de répondre à la saturation du collège Jean-Lurçat. Cette nouvelle infrastructure comprend un centre administratif, un externat, une demi-pension ainsi qu'un terrain de sport pouvant accueillir 500 élèves[9].
Héraldique
![]() |
Les armes d'Achères se blasonnent ainsi : d'argent à la tête d'ours au naturel emmuselé de gueules et annelé d'or[10]. Ces armes sont celles de la famille Morlet du Museau, anciens seigneurs d'Achères de 1553 à 1749. Elles ont été adoptées par la commune en 1972. |
---|
Histoire


Le site d'Achères est habité depuis l'époque néolithique. On a également relevé des traces d'habitats gallo-romains. En 911, les Normands qui ravageaient le pays, auraient pillé le hameau de Rocourt où se serait trouvé un château de la seigneurie d'Achères[11].
Toutefois, il n'existe aucun document antérieur à 1212, année où les habitants d'Achères obtiennent de Philippe Auguste l'autorisation de ramasser le bois mort dans la forêt de Laye et d'y mener paître leurs animaux[12].
Parmi les personnages historiques, le roi Saint Louis serait né sur le territoire de la commune, à l'endroit encore appelé aujourd'hui la « Grange Saint-Louis »[13].
Au Moyen Âge, il y avait deux seigneuries sur le territoire de la commune, celle d'Achères et celle de Garennes, qui furent réunies en 1525. En 1553, cette nouvelle seigneurie passe en possession de la famille Morlet du Museau ; elle deviendra par la suite la propriété de Jean de Massol, vers 1720.
En 1699, Louis XIV, fait construire un camp militaire appelé camp Saint-Sébastien. En 1687 (confirmé en 1688) l'usage de mener paître les bestiaux dans la forêt fut définitivement aboli et transporté sur les bords de la Seine. L'usage du ramassage du bois mort persista. Durant son règne, Louis XV passa plusieurs revues militaires dans la plaine d'Achères.
En 1736, la haute, moyenne et basse justice d'Achères furent réunies au domaine royal et à la prévôté de Saint-Germain. En 1749, la seigneurie est vendue à Jean-Baptiste de Machault d'Arnouville ; le village devient quant à lui possession royale en 1751.
Plusieurs événements majeurs ont lieu au XIXe siècle. Ainsi, de 1847 à 1855 a lieu la construction, par les agriculteurs d'Achères, d'une digue de protection contre les inondations dues aux crues de la Seine. Cet ouvrage de six kilomètres de long, monumental pour l'époque, s'étend alors entre le pont de Conflans et Poissy.
Jusqu'en 1862, les deux-tiers du territoire appartenaient à deux propriétaires : l'État pour le domaine de Garennes de 279 hectares et le baron de Ladoucette[Lequel ?] pour sa ferme d'Achères de 233 hectares.
En 1882 est implantée la gare de triage en limite de la forêt de Saint-Germain-en-Laye, au lieu-dit du Cormier. Cette activité va durablement lier la commune à la présence des cheminots. Aujourd'hui, à l'instar de celle de Trappes, la gare de triage est fermée. En souvenir de ce passé, un petit wagon de marchandises bariolé a été installé au milieu de l'espace de circulation entre les bâtiments de l'hôtel de ville. En 1889 sont implantés des champs d'épandage des eaux d'égouts de la ville de Paris sur des terrains agricoles, rachetés par expropriation par la ville de Paris et rebaptisés "parc agricole ".
Peu avant le début du XXe siècle, et plus exactement le , Achères devient célèbre lorsque Camille Jenatzy, au volant de sa Jamais Contente, une automobile électrique de sa conception, dépasse officiellement pour la première fois au monde les 100 km/h. Cet exploit se déroula sur la route centrale du "parc agricole" choisie pour sa longue ligne droite de 3 kilomètres. Son record est précisément établi à 105,882 km/h. Le nom de « La Jamais Contente » a été donné à la place située entre l'arrière de l'église et la mairie, du côté de l'entrée de la bibliothèque. Le Concours de vitesse d'Achères avait été créé en 1898 par l'Automobile Club de France pour homologuer les records de vitesse des premières automobiles.
La station d'épuration appelée aujourd'hui « Seine-Aval », et qui s'étend en grande partie sur le territoire communal de Saint-Germain-en-Laye, est créée en 1940. Cette station d'épuration est la plus importante d’Europe, la seconde au monde après celle de Chicago. L’usine traite les déchets des huit millions d’habitants des départements de Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et de Paris, répartis sur 180 communes de l’Île-de-France, soit 140 000 tonnes de boues brutes déshydratées par an. Le maître d’ouvrage est le syndicat interdépartemental d'assainissement de l'agglomération parisienne ; le suivi de l’épandage est quant à lui assuré par la société SEDE Environnement.
Environnement
La commune est depuis plusieurs décennies confrontée à un problème important et durable de pollution presque généralisée des sols : durant plus d'un siècle (1895 → 1999), une grande partie du territoire communal a en effet servi de zones d'épandage des eaux brutes et/ou partiellement traitées des égout de Paris et de communes périphériques ; Achère est la commune qui aurait reçu le plus de déchets de cette nature, parmi d'autres également très touchées (ex : Carrières-sous-Poissy et Triel-sur-Seine (dans les Yvelines) et de Pierrelaye (Val-d'Oise qui sont les trois cas les plus concernés[14]... parmi un total de 19 communes regroupant, vers 2012, 300 000 habitants dont 25 000 enfants âgés de moins de 9 ans[15]).
Des épandages se sont poursuivis jusqu'en 2005 (cette fois après traitement plus efficace des eaux). À partir de 2007, plusieurs études d'analyse de risque en termes de santé publique ont été entreprises sur les anciennes plaines d’épandage des eaux usées de Paris, avec des rendus échelonnés : en 2008[16], en 2011[17] en 2012[18],[19](en s'appuyant sur la mise à jour des méthodes de calcul de la bioacessibilité de l'arsenic [20] qui a précédé une réévaluation du "bruit de fond" (en 2013) en termes de pollution arseniée dans ces secteurs [21]. Une étude complémentaire a été publiée en 2013[22].
Ces études ont toutes conclu que les épandages ont causé (plus ou moins selon les époques) des teneurs parfois très élevée en plomb, mercure, cadmium, cuivre, zinc, manganèse.. et d'autres polluants pas, peu ou difficilement dégradables. Ceci a conduit à une pollution chronique des sols agricoles, qui dépassent encore parfois de loin les normes en vigueur[23].
Lors du baby boom et en raison d'une démographie croissante caractérisant la ceinture des communes entourant Paris, ces sols ont souvent été construits, et/ou ils restent dans les jardins ou a proximité d'écoles une source importante de risque de saturnisme (par exemple en cas de consommation de légumes, de gibier ou produits animaux produits issus les champs ou jardins pollués. Ils sont notamment une source importante de saturnisme infantile (car les enfants portent plus facilement leurs doigts ou des objets sales à la bouche). En 2007 l'ARS avait déjà identifié 54 sites (où les épandages avaient été parmi les plus intenses) où des écoles, crèches, collèges, stades ont été construits ou bien qui sont devenus des jardins ouvriers ou potagers privés : jusqu'à 690 mg/kg ont été trouvés dans la terre de jardin, et plusieurs écoles ne respectaient pas le seuil d'alerte de 200 mg/kg[24].
En 2018, une étude[24] a porté sur 4.620 hectares sur 3 communes dont Achères. Un calcul de risques de saturnisme infantile a été fait selon 4 scénarios d’exposition. Dans tous les cas l’évaluation sanitaire a conclu à un risque avéré pour les enfants de 0 à 6 ans du site. Les auteurs suggèrent des mesures de réduction des expositions et d'incitation au dépistage[24].
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[25],[Note 1].
En 2017, la commune comptait 21 017 habitants[Note 2], en augmentation de 7,95 % par rapport à 2012 (Yvelines : +1,83 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (11,8 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,6 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 49,4 % d’hommes (0 à 14 ans = 24,8 %, 15 à 29 ans = 19,9 %, 30 à 44 ans = 24,7 %, 45 à 59 ans = 19,8 %, plus de 60 ans = 10,8 %) ;
- 50,6 % de femmes (0 à 14 ans = 20,4 %, 15 à 29 ans = 22,1 %, 30 à 44 ans = 25,1 %, 45 à 59 ans = 19,4 %, plus de 60 ans = 12,9 %).
Communautés
Les étrangers constituent une composante importante de la population achéroise. Achères compte plusieurs communautés : Algériens, Marocains, Portugais, Antillais (Guadeloupéens, Martiniquais). Il y a également une importante communauté d'Afrique subsaharienne (Sénégalais, Maliens), des Comoriens, des Réunionnais et des Turcs. Certaines communautés ont aujourd'hui reculé, cependant, il reste encore beaucoup de descendants d'Italiens, d'Espagnols, de Polonais et un grand nombre d'Achérois sont d'origine bretonne.
Politique et administration
Liste des maires
Élections municipales de 2008
- Maire sortant : Alain Outreman (PCF)
- 33 sièges à pourvoir au conseil municipal
Tête de liste | Liste | Premier tour | Second tour | Sièges | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | CM | ||||
Alain Outreman* | PCF | 2 893 | 40,70 | 3 266 | 48,66 | |||
Daniel Lattanzio | 1 205 | 17,37 | 2 382 | 35,49 | ||||
Roger Colas | DVG | 995 | 14,34 | 1 064 | 15,85 | |||
Suzanne Jaunet | DVD | 1 845 | 26,59 | |||||
Inscrits | 12 765 | 100,00 | 12 765 | 100,00 | ||||
Abstentions | 5 639 | 44,18 | 5 897 | 46,20 | ||||
Votants | 7 126 | 55,82 | 6 868 | 53,80 | ||||
Blancs et nuls | 188 | 2,64 | 156 | 2,27 | ||||
Exprimés | 6 938 | 97,36 | 6 712 | 97,73 | ||||
*Liste du maire sortant |
Élections municipales de 2014
- Maire sortant : Alain Outreman (PCF)
- 33 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2011 : 19 606 habitants)
- 9 sièges à pourvoir au conseil communautaire (Grand Paris Seine et Oise)
Tête de liste | Liste | Premier tour | Second tour | Sièges | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | CM | CC | |||
Marc Honoré | DVD | 2 857 | 40,62 | 4 115 | 52,32 | 25 | 7 | |
Alain Outreman * | PCF | 3 141 | 44,66 | 3 750 | 47,67 | 8 | 2 | |
Assia Autret | DVD | 1 035 | 14,71 | |||||
Inscrits | 13 289 | 100,00 | 13 289 | 100,00 | ||||
Abstentions | 5 892 | 44,34 | 5 156 | 38,80 | ||||
Votants | 7 397 | 55,66 | 8 133 | 61,20 | ||||
Blancs et nuls | 364 | 4,92 | 268 | 3,30 | ||||
Exprimés | 7 033 | 95,08 | 7 865 | 96,70 | ||||
* Liste du maire sortant |
Tendances politiques et résultats
Le résultat de l'élection présidentielle de 2012 à Achères est le suivant[40] :
Candidat | Premier tour | Second tour | |||
---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||
François Hollande (PS) | 3017 | 32,09 | 5573 | 59,14 | |
Nicolas Sarkozy (UMP) | 2037 | 21,66 | 3851 | 40,86 | |
Jean-Luc Mélenchon (FG) | 1540 | 16,38 | |||
Marine Le Pen (FN) | 1401 | 14,90 | |||
François Bayrou (MoDem) | 850 | 9,04 | |||
Eva Joly (EÉLV) | 219 | 2,33 | |||
Nicolas Dupont-Aignan (DLR) | 171 | 1,82 | |||
Philippe Poutou (NPA) | 86 | 0,91 | |||
Nathalie Arthaud (LO) | 56 | 0,60 | |||
Jacques Cheminade (SP) | 26 | 0,28 | |||
Inscrits | 13072 | 100,00 | 13074 | 100,00 | |
Abstentions | 3493 | 26,72 | 3147 | 24,07 | |
Votants | 9579 | 73,28 | 9927 | 75,93 | |
Blancs et nuls | 176 | 1,84 | 503 | 5,07 | |
Exprimés | 9403 | 98,16 | 9424 | 94,93 | |
Le résultat de l'élection présidentielle de 2017 à Achères est le suivant[41] :
Candidat | Premier tour | Deuxième tour | |||
---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||
Jean-Luc Mélenchon (LFI) | 2641 | 26,74 | |||
Emmanuel Macron (EM) | 2634 | 26,67 | 6269 | 74,47 | |
Marine Le Pen (FN) | 1616 | 16,36 | 2149 | 25,53 | |
François Fillon (LR) | 1355 | 13,72 | |||
Benoît Hamon (PS) | 749 | 7,58 | |||
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) | 475 | 4,81 | |||
François Asselineau (UPR) | 156 | 1,58 | |||
Philippe Poutou (NPA) | 108 | 1,09 | |||
Jean Lassalle (R) | 66 | 0,67 | |||
Nathalie Arthaud (LO) | 58 | 0,59 | |||
Jacques Cheminade (SP) | 19 | 0,19 | |||
Inscrits | 13156 | 100,00 | 13152 | 100,00 | |
Abstentions | 3035 | 23,07 | 3715 | 28,25 | |
Votants | 10121 | 76,93 | 9437 | 71,75 | |
Blancs | 166 | 1,64 | 795 | 8,42 | |
Nuls | 78 | 0,77 | 224 | 2,37 | |
Exprimés | 9877 | 97,59 | 8418 | 89,20 | |
Économie

Commune résidentielle, Achères a évolué par la présence de l'important site de production PSA (Peugeot-Citroën) [42] de Poissy. La gare RER et Transilien construite au début des années 1980 a accentué son développement. La zone d'activités s'est développée au début des années 1990.
La gare de triage d'Achères également spécialisée dans le transport de l'industrie d'automobiles du nord-ouest de l'agglomération parisienne, qui est aujourd'hui fermée, se trouve en pleine forêt de Saint-Germain-en-Laye, sur le territoire de la commune du même nom.
La station d'assainissement des eaux Seine-Aval est le principal site industriel d'Achères. Cette usine, qui traite les effluents d'une partie de l'agglomération parisienne, s'étend sur 800 hectares et est située en grande partie sur le territoire de la commune de Saint-Germain-en-Laye, couvrant un territoire autrefois inclus dans la forêt de Saint-Germain[43]. C'est la plus importante station d'épuration d'Europe, et la deuxième au monde en termes de volume d'eau traité derrière celle de Chicago[44].
Culture

Lieux et monuments
Parmi les monuments notables d'Achères, on peut retenir l'église Saint-Martin, dont la construction remonte au XIIe siècle et dont le clocher a été restauré en 1904.
Achères abrite également d'anciennes ruines romaines dites « de Garennes ».
Les croix d'Achères
Deux évènements ont fortement marqué les habitants d'Achères au milieu du XIXe siècle, d'une part les inondations quasi annuelles des champs maraîchers, dues aux crues de la Seine, et les épidémies de choléra de 1852 et de 1866. Les inondations, et surtout celle de 1850, purent être subjuguées grâce à la digue et le village sortit indemne des épidémies. L'abbé Duport fit ériger des croix commémorant les événements et en remerciement de la protection divine sur Achères. Il en reste aujourd'hui trois.
- La Croix d'Achères sur la digue, érigée en 1855
« D.O.M. - L'an 1850, les habitants d'Achères ont opposé une digue aux invasions des eaux du fleuve ». - La Croix de la rue de Saint-Germain aujourd'hui au lieu-dit la Porte d'Achères.
- La Croix du Magasin sur l'avenue de Conflans
(le magasin était un entrepôt à proximité).
Équipements culturels
Achères dispose de trois infrastructures culturelles notables :
- La bibliothèque multimédia Paul-Éluard ;
- Le cinéma Pandora, qui possède le label « Art et Essai » et dispose de trois salles ;
- La salle de concert Le Sax.
Médias
Achères dispose de deux médias :
- Achères Aujourd'hui, journal mensuel d'informations locales distribué gratuitement dans les boites aux lettres et disponible en ligne sur le site de la mairie. Il est géré par la municipalité[45].
- La webradio Full-Radios, une radio associative gérée depuis 2012 par une association Loi 1901 indépendante et non subventionnée[46],[47],[48].
Jumelages
Achères est jumelée à trois autres villes européennes :
Großkrotzenburg (Allemagne) depuis 1972 ; Amarante (Portugal) depuis 1997 ; Stonehaven (Royaume-Uni) depuis 2018 ;
Transports
Ferroviaire
La commune est desservie par deux gares :
- Achères-Ville, située au nord de la ville, est sur la ligne du RER A Branche Cergy-le-Haut et du Transilien Ligne L Branche Cergy-le-Haut. Correspondance avec les lignes de bus A1, A2 et 5, ainsi qu'avec la ligne 13 à moins de 5 minutes de marche de la gare.
- Achères - Grand-Cormier, qui se situe en fait sur la commune de Saint-Germain-en-Laye, est sur la ligne du RER A Branche Poissy. Cette gare n'est desservie par aucune ligne de bus.
Routier
La commune est desservie par plusieurs lignes de bus :
- Ligne A1 : Gare d'Achères-Ville RER - Mairie - - Mozart - Gare d'Achères-Ville RER[49] ;
- Ligne A1 : Gare d'Achères-Ville RER - Mozart - - Mairie - Gare d'Achères-Ville RER[49] ;
- Ligne A2 : Gare d'Achères-Ville RER - Chambre de Commerce et d'Industrie Poissy Technoparc[50] ;
- Ligne 4 : Conflans-Sainte-Honorine Place Romagné - Saint-Germain-en-Laye Gare RER [51] ;
- Ligne 5 : Conflans-Sainte-Honorine Place Romagné - Poissy Gare RER[52] ;
- Ligne 13 : Lycée Louise Weiss - Notre Dame Chemin Vert (Verneuil-sur-Seine)[53] ;
Desservant le Technoparc de Poissy, Zone d'activité limitrophe d'Achères :
- Ligne 54 : Poissy Gare Sud - Lycée Charles De Gaulle Poissy Technoparc[54] ;
- Ligne Express 16 : Gare de Saint-Quentin-en-Yvelines RER C Montigny-le-Bretonneux - Cergy-Préfecture RER A[55].
Projets
Le projet de tangentielle a pour but d'utiliser en grande partie les infrastructures ferroviaires existantes de la Grande Ceinture, pour contourner Paris et encourager les déplacements de banlieue à banlieue. Achères devrait devenir le terminus du prolongement de la ligne entre Saint-Germain et Saint-Cyr-l'École[56].
De plus, le futur port d'Achères devrait être installé sur le secteur de l'île du Bac. Profitant de sa place stratégique au confluent de la Seine et de l'Oise et donc au carrefour du trafic fluvial européen, il permettra aux Yvelines de devenir un axe économique fort du Grand Paris[source insuffisante][57].
Personnalités liées à la commune
- Anne Charles Basset de Montaigu (1751-1821), général français de la Révolution et de l’Empire demeura à Achères.
- Jacques de Boissadan, né et mort à Achères à l'âge de 82 ans, qui a été curé de la commune durant 60 ans, de 1648 à 1708, dont on a retrouvé sa pierre tombale.
- Aimé Bonna (1855-1930), industriel, inventeur du tuyau en béton armé, fondateur de la Société des tuyaux Bonna, mort à Achères ; il fut concessionnaire du parc agricole d'Achères.
- Gaston de Chasseloup-Laubat et Camille Jenatzy, détenteurs des premiers records de vitesse terrestre, en 1898 et 1899.
- Andrée Lafayette (1903-1989), actrice née à Achères.
- Les descendants de Colbert y possédèrent 2 maisons.
- Marie Jeanne Colbert (1771-1793), marié à André Sauveur Alexandre, comte de Neufermeil de Montry.
- Jean David (vers 1756-1812), veuve de Louis Henri François Colbert (1737-1792), colonel d'infanterie, chevalier de Saint-Louis.
Galerie
- Église Saint Martin
- Église Saint-Martin, façade sud.
- Wagon de marchandises de l'hôtel de ville, hommage aux cheminots Achérois et le jardin d'Amarante derrière la mairie d'Achères.
- Ancienne photo du Wagon de marchandises de l'hôtel de ville, hommage aux cheminots Achérois.
- Façade de la Bibliothèque multimédia Paul-Eluard
- Monument aux morts en centre ville.
- Monument aux morts de la guerre d'Algérie.
- Entrée principale de la mairie d'Achères.
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2020, millésimée 2017, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2019, date de référence statistique : 1er janvier 2017.
Références
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 386 - (id).
- Marianne Mulon, Noms de lieux d'Île-de-France, Bonneton, (ISBN 2-86253-220-7), p. 174.
- « Thème 6 – Particules – TELEMAC à l’aval de « Seine-Aval » – page 1 La Seine à l’aval de la station d’épuration d’Achères », sur upmc.fr
- « Port d’Achères (Port Seine Métropole) », sur haropaports.com
- « Climat en France », Météo France (consulté le 23 juin 2011).
- 42,6°C à Paris, 43,1°C à Saint-Maur, 42,9°C à Issy... records de chaleur battus dans toute l’Ile-de-France
- « Occupation du sol détaillée en 2008 - Achères », Iaurif (consulté le 21 juin 2011).
- « Le nouveau collège d'Achères inauguré », sur www.evasionfm.com (consulté le 12 septembre 2016)
- Site de la mairie - http://www.mairie-acheres78.fr/Amenagement-et-environnement/Le-futur-college-a-l-ouest-de-la-gare-Acheres-Ville
- Roger Bélis, Achères au fil des siècles : de la préhistoire à l'automobile, Comité de jumelage d'Achères, , p. 69 et 73.
- ACHERES, LA GRANDE
- Monographie d'Achères
- Roger Belis, « Achères au fil des siècles », 1982, 329 pages
- Luez, A. (2005). La pollution des sols des plaines de Pierrelaye-Bessancourt et d'Acheres suite a l'epandage des eaux usees de Paris. ADMINISTRATION-PARIS-, 209, 26.
- Les échos (201O) Achères, Carrières et Triel face au risque de saturnisme ; Une récente étude de Santé Publique France fait le point sur les risques de saturnisme sur ces trois plaines où ont été épandues les boues des stations d'épuration d'Ile-de-France pendant des décennies. Les concentrations en plomb dépassent très largement les normes autorisées dans les sols de nombreux territoires urbanisés ; 31/10/18, mis à jour le 02/11/18
- HPC Envirotec – SIAAP – Étude environnementale des anciennes plaines d’épandage d’Achères (78), Méry-sur-Oise et Pierrelaye (95), Triel-sur-Seine et Carrières-sous-Poissy (95). Étude historique et documentaire. 27 juin 2008.
- HPC Envirotec – SIAAP – Étude environnementale des anciennes plaines d’épandage d’Achères (78), Méry-sur-Oise et Pierrelaye (95), Triel-sur-Seine et Carrières-sous-Poissy (95). Étude sanitaire pilote. 31 mars 2011
- HPC Envirotec – SIAAP – Étude environnementale des anciennes plaines d’épandage d’Achères (78), Méry-sur-Oise et Pierrelaye (95), Triel-sur-Seine et Carrières-sous-Poissy (95). Étude sanitaire : démarche / méthodologie / synthèse. 16 janvier 2012.
- HPC Envirotec – SIAAP – Test de bioaccessibilité de certains ETM dans le cadre des études sanitaires des anciennes plaines d’épandage de la région parisienne. 21 aout 2012
- Institut national de l’environnement industriel et des risques. Rapport d’étude N°DRC-12-130962-08486A. Détermination de la bioaccessibilité de l’arsenic, du plomb, du cadmium et du cuivre dans des sols. 27 juillet 2012.
- HPC Envirotec – SIAAP – Évaluation du bruit de fond local en arsenic dans le cadre des études sanitaires des anciennes plaines d’épandage de la région parisienne. 20 février 2013.
- HPC Envirotec – SIAAP – Plaines d’épandage de la région parisienne – Étude sanitaire – Calculs de risques complémentaires – Réunion du 14 juin 2013.
- Arambourou, H., Frasca, B., Haddad, A., Berkani, C. H., Mascher, N., & Van De Voorde, A. (2008) Possibilité de cultures sur les sols pollués d'Achères: Prise en compte du potentiel de dépollution de la culture. Rapport SAGE M, 2
- Bassi C. (2018) Étude de la pertinence d’un dépistage du saturnisme infantile sur un site d’épandage de boues et d’eaux usées. Plaines d’Achères, Pierrelaye, Triel-sur-Seine et Carrières-sous-Poissy. Saint-Maurice : Santé publique France, octobre 2018. 58 p.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016 et 2017.
- « Évolution et structure de la population à Achères en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 4 mai 2011)
- « Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 4 mai 2011)
- Achères au fil des siècles, page 278.
- Achères d'hier à aujourd'hui, 2012, page 12.
- Achères au fil des siècles, page 285.
- Site des anciens maires - http://www.annuaire-mairie.fr/ancien-maire-acheres-78.html
- Edouard Lechevalier (1889-1942) est déporté à Auschwitz le dans le convoi des 45 000 (voir sa notice ici sur le site memoirevive.org)
- Albin Desmazes (1894-1942) est déporté à Auschwitz le dans le convoi des 45 000 (voir sa notice ici sur le site memoirevive.org)
- Site de l'école élémentaire Paul Langevin à Achères -http://www.ec-langevin-acheres.ac-versailles.fr/spip.php?article129
- « Résultats de l'élection municipale de 2014 à Achères », sur http://www.leparisien.fr (consulté le 4 août 2014)
- Résultats pour la commune d'Achères
- Résultats officiels pour la commune Achères
- Ministère de l'Intérieur - Yvelines (Île-de-France), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Achères » (consulté le 4 août 2014)
- Ministère de l'Intérieur - Yvelines (Île-de-France), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Achères » (consulté le 30 juin 2017)
- ex-Simca
- Voir à ce sujet la Carte de Cassini
- La vie des réseaux, « 777 M€ pour la station d’épuration d’Ile-de-France », sur http://www.laviedesreseaux.fr, La vie des réseaux, (consulté le 7 février 201)
- Inovagora, « Site Achères », sur www.mairie-acheres78.fr (consulté le 24 août 2017)
- Full-Radios - Association Full Médias Inc., « Full-Radios : le bouquet de radios Achéroises. Écoutez, vibrez, partagez ! », sur full-radios.fr (consulté le 24 août 2017)
- « Qui sommes-nous ? - Full Médias Inc. », sur www.fullmediasinc.fr (consulté le 12 septembre 2016)
- « Consulterles annonces du JO Association », sur www.journal-officiel.gouv.fr (consulté le 12 septembre 2016)
- « Horaires ligne A1 (Conflans-Achères) - Transdev Île-de-France », sur www.transdev-idf.com (consulté le 24 août 2017)
- « Horaires ligne A2 (Conflans-Achères) - Transdev Île-de-France », sur www.transdev-idf.com (consulté le 24 août 2017)
- « Horaires ligne 04 (Conflans-Achères) - Transdev Île-de-France », sur www.transdev-idf.com (consulté le 24 août 2017)
- « Horaires Ligne 05 », sur www.transdev-idf.com
- « Horaires ligne 13 (Poissy Aval - Deux Rives de Seine) - Transdev Île-de-France », sur www.transdev-idf.com (consulté le 24 août 2017)
- « Horaires ligne 54 Poissy (Poissy Aval - 2 rives de Seine) - Transdev Île-de-France », sur www.transdev-idf.com (consulté le 24 août 2017)
- « Horaires ligne 16 (Express 16 Cergy - Saint-Quentin) - Transdev Île-de-France », sur www.transdev-idf.com (consulté le 24 août 2017)
- Site du projet de la tangentielle ouest - http://www.tangentielleouest.fr/la-tangentielle-ouest/article/un-projet-en-2-phases
- Yvelines, le magazine du conseil général
Annexes
Bibliographie
- Roger Bélis (maire de 1971 à 1977), Achères au fil des siècles : de la préhistoire à l'automobile, Comité de jumelage d'Achères, , 329 p..
- Jacques Lutz, Les épandages dans le parc agricole d'Achères, Graphein, , 129 p. (ISBN 978-2910764241).
- Roger Moutiers et Daniel Safon, Achères d'hier à aujourd'hui, Alan Sutton, , 128 p. (ISBN 9782813805232).
Articles connexes
Liens externes
- Portail des Yvelines
- Portail des communes de France