Argelès-sur-Mer
Argelès-sur-Mer , Argelers de la Marenda ou simplement Argelers (catalan) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.
Argelès-sur-Mer | |||||
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Céret | ||||
Canton | La Côte Vermeille (bureau centralisateur) |
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Intercommunalité | Communauté de communes des Albères, de la Côte Vermeille et de l'Illibéris (siège) |
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Maire Mandat |
Antoine Parra 2016-2020 |
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Code postal | 66700 | ||||
Code commune | 66008 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Argelésiens, Argelésiennes | ||||
Population municipale |
10 383 hab. (2017 ![]() |
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Densité | 177 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 32′ 42″ nord, 3° 01′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 1 156 m |
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Superficie | 58,67 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
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Liens | |||||
Site web | ville.argeles-sur-mer.com | ||||
Ses habitants sont appelés les Argelésiens[1].
Géographie
Localisation
La commune d'Argelès-sur-Mer se situe à l'est du canton d'Argelès-sur-Mer et dans l'arrondissement de Céret. Elle a pour communes limitrophes : Elne, Palau-del-Vidre, Saint-André, Sorède, Espolla (Espagne), Banyuls-sur-Mer, et Collioure[2]. On distingue plusieurs quartiers importants : le centre ville, Argelès-Plage et Argelès port et son prolongement, le Racou.


Communes limitrophes
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 5 867 hectares. L'altitude varie de 0 à 1 099 mètres[4]. Le centre du village est à une altitude de 10 m[5].
La partie d'Argelès-sur-Mer située le long du littoral culmine au sein du quartier Saint-Pierre à une altitude de 21 mètres. Le quartier du Racou ne dépasse pas les 10 mètres d'altitude et est dominé par l'Éperon d'Argent, situé à 34 mètres d'altitude. Les points culminants du territoire d'Argelès-sur-Mer se situent au sud-ouest, dans la chaîne des Albères[2].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[6].
Hydrographie

La commune est traversée par de nombreux cours d'eau, pour la plupart dans le sens de l'ouest ou du sud-ouest vers le littoral, situé à l'est de la commune. On trouve du nord au sud[2] :
Voies de communication et transports
Dans les années 1910-1911, une éphémère ligne de tramway hippomobile à écartement de 0,60 m longue d'environ 4 km a existé sur le territoire de la commune[7].
La ville d'Argelès est reliée à Perpignan par la RD 914, aménagée en route express à deux fois deux voies entre les deux villes.
Pour ce qui est des transports urbains, elle est desservie par plusieurs lignes du réseau départemental (vers Perpignan, Cerbère et Céret)[8].
Enfin, la gare ferroviaire, située sur la ligne littorale, est desservie par plusieurs aller-retours TER par jour ainsi que deux trains directs Intercités depuis Paris, dont un de nuit.
Urbanisme

Morphologie urbaine
Le village d'Argelès s'est développé dans l'intérieur des terres, sur les berges de la Massane. Argelès-Plage est apparue plus tard le long du littoral.
Toponymie
- Formes du nom
En catalan, le nom de la commune est Argelers. Inspiré du français, Argelers de la Marenda est aussi utilisé afin de distinguer cette commune des autres Argelès de France[10]. Lluís Basseda recommande d'utiliser Argilers plutôt que Argelers et sinon, Argelers-sobre-mar, traduction plus fidèle que Argelers-de-la-Marenda[11].
La première mention du nom remonte à 879 en tant que Villa de Argilariis. Le nom est ensuite repris au Xe siècle sous les formes Argileria et Villam Argelariam. On rencontre ensuite au XIIe siècle Argilarium et Argelers, puis aux XIIIe et XIVe siècles Argilers et Argillers. Enfin, on trouve au XVIIe siècle Argellés et Argelès[11].
Le , Argelès prend officiellement le nom d'Argelès-sur-Mer[12].
- Étymologie
Les armes de la ville d'Argelès datant du XVIIe siècle portent un plant de genêt épineux. Ce symbole fut attribué en se basant sur une étymologie fantaisiste rattachant Argelès au catalan argelaga, terme désignant cette plante. Cette étymologie ne résiste ni à l'analyse linguistique, ni à la comparaison avec les nombreuses localités qui portent des noms identiques ou similaires. Une telle origine aurait plutôt donné Argelaguers, nom présent par ailleurs en Catalogne des deux côtés de la frontière[11].
Plus simplement, le nom renvoie à un lieu ou abonde l'argile, du latin argila suivi du suffixe collectif -arium. La multiplication des carrières d'argile et des tuileries a eu pour cause dès le Moyen Âge de faire passer la finale du singulier au pluriel en -aris, donnant Argelers et non Argeler. Preuve de ces activités, il existe encore dans cette localité un quartier dénommé La Teuleria, du latin tegula (tuile) suivi du suffixe -aria[11].
Histoire
Origines
Sans aller jusqu'à la mythologie qui voudrait qu'Hercule ait fondé Argelès[13], il est certain que le territoire de la commune était occupé par l'homme depuis des temps reculés, ainsi qu'en atteste la présence du dolmen des Collets de Cotlliure, de celui de la Cova de l'Alarb, et d'un ossuaire de l'âge des métaux trouvé à la Cova de la Turtuga[5].
Antiquité
Un sanctuaire gréco-romain a existé au site de La Fajouse, dans le massif des Albères[14].
Moyen Âge
Déjà citée en 879, puis plus tard en 981 comme étant une des limites des possessions de l'abbaye de Saint-Génis-des-Fontaines[13], la ville d'Argelès est tout d'abord sous la dépendance directe des comtes du Roussillon, puis passe ensuite entre les mains des rois catalans puis aragonais. Elle est au centre des affrontements entre les rois de Majorque et ceux d'Aragon, aux XIIIe et XIVe siècles[5]. Le , un traité de paix y est signé entre Jacques II de Majorque et Jacques II d'Aragon[15]. Le traité ne dure guère, puisque le la cité est assiégée par Pierre IV d'Aragon, et finit par capituler le 6 juin[13].
D'autres épisodes militaires viendront encore troubler le calme de la ville ; ainsi, elle est assiégée par Louis XI dans la seconde moitié du XVe siècle.
Temps modernes
La ville passa dans le Royaume de France à partir de 1659.
Révolution française
La commune d'Argelès est créée en 1790. La paroisse de Taxo d'Avall est rattachée à Argelès.
La ville est assiégée par les troupes espagnoles du général Ricardos en 1793.
Époque contemporaine
En 1939, à la fin de la guerre d'Espagne, des dizaines de milliers de républicains franchirent la frontière et furent enfermés par les autorités françaises au camp de concentration d'Argelès-sur-Mer, situé juste au nord de la plage d'Argelès[16]. Cette situation, qui dura de nombreux mois, est encore bien présente dans l'esprit des habitants d'Argelès et, même s'ils n'en furent pas les responsables, ils conservent la honte d'un épisode tragique de leur histoire[réf. nécessaire]. Ce camp devint durant la Seconde Guerre mondiale un Centre de rassemblement des étrangers avant d'être transformé en septembre 1941 en chantier de jeunesse.
Depuis le début du XXe siècle, la population d'Argelès est en constante augmentation, la ville s'agrandissant entre village et plage et vers la plaine, en respectant le massif des Albères. Le recensement de 1999 montre une impressionnante augmentation de 2 000 habitants en 9 ans. Cette croissance est soutenue par le tourisme, la ville d'Argelès accueillant des milliers de touristes sur l'ensemble de son territoire depuis les années 1950.
Politique et administration
Canton
Le canton d'Argelès est créé en 1790 avec Argelès pour chef-lieu. Supprimé dès 1793, Argelès rejoint alors le canton de Collioure. Ce dernier est supprimé à son tour en 1801 et le canton d'Argelès est de nouveau créé. Argelès redevient alors chef-lieu de canton et ne change plus par la suite[12],[4]. À compter des élections départementales de 2015, le canton d'Argelès-sur-Mer est de nouveau supprimé et la commune rejoint le canton de la Côte Vermeille, déjà existant mais entièrement reconfiguré.
Tendances politiques et résultats
Administration municipale
L'hôtel de ville.
Liste des maires

Politique environnementale
Population et société
Démographie
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[20],[Note 1].
En 2017, la commune comptait 10 383 habitants[Note 2], en augmentation de 4,87 % par rapport à 2012 (Pyrénées-Orientales : +3,64 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
selon la population municipale des années : | 1968[23] | 1975[23] | 1982[23] | 1990[23] | 1999[23] | 2006[24] | 2009[25] | 2013[26] |
Rang de la commune dans le département | 8 | 10 | 10 | 7 | 4 | 5 | 5 | 5 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Enseignement
La ville d'Argelès-sur-Mer possède trois écoles maternelles. Ses effectifs sont en 2014 de 76[27], 107[28] et 128 élèves[29]. Il y a deux écoles élémentaires, dont les effectifs sont en 2014 de 192[30] et 342 élèves[31].
La commune possède également un collège[32], construit dans les années quarante à l'emplacement de l'actuelle mairie, puis reconstruit dans les années soixante-dix en dehors de la ville et près de la Massane, dont il subira les inondations en 1999. L'établissement accueille autour de 600 élèves[33].
Un lycée général et professionnel est inauguré en 2015[34]. Il est nommé en hommage à l'ancien président de la région Languedoc-Roussillon Christian Bourquin, disparu en 2014. Il accueille pour sa première rentrée 861 élèves[35].
Manifestations culturelles et festivités
- Foires et marchés[36]
- Marché de la plage du 10 juin au 20 septembre, les lundis, mercredis et vendredis ;
- Marché Artisanal, au Centre Plage du 15 juin au 15 septembre, tous les soirs, de 17 h à 24 h ;
- Marché au village : mercredis[réf. nécessaire], samedis ;
- Fête patronale : 27 septembre ;
- Foire : 1er janvier.
- Événements
- Les Déferlantes d'Argelès : festival de musique ;
- Les Rencontres Cinémaginaire au cinéma Jaurès : festival de cinéma.
Santé
Sports
- Étoile sportive catalane : club de rugby à XV d'Argelès-sur-Mer.
- Jeune garde Argelésienne : club de basketball d'Argelès-sur-Mer.
- Argelès Handball Club : club de handball d'Argelès-sur-Mer.
- Tennis de table : club ayant disparu dans les années 1970 et recréé en 1996.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 24 142 €[37]. En 2011, ce revenu est de 24 759 €[38].
En 2009, le revenu fiscal médian des ménages par unité de consommation est de 17 504 €. Le revenu net déclaré moyen par foyer fiscal est de 20 884 € et 48,2 % des foyers fiscaux sont imposables[9].
Emploi
L'effectif total de l'emploi sur Argelès-sur-Mer en 2009 est de 4 046 personnes, parmi lesquelles 76,8 % sont salariées. L'effectif total a augmenté de 3,8 % de 1999 à 2009[9].
En 2009, le taux d'activité des 15-64 ans est de 63,3 % et le taux de chômage de 17,3 %. La commune comprend au 1 102 demandeurs d'emploi toutes catégories confondues, parmi lesquels figurent 895 demandeurs d'emploi de catégorie A[9].
Entreprises et commerces
Argelès-sur-Mer compte 1 833 établissements actifs à la date du . Parmi ceux-ci, 6,2 % relèvent du secteur de l'agriculture, 3,8 % de l'industrie, 7,7 % de la construction, 72,1 % des commerces, transports et services 10,3 % de l'administration publique, l'enseignement, la santé et l'action sociale[9].
Une part importante de l'économie est basée sur le tourisme. Classée station balnéaire depuis 1962, Argelès-sur-Mer est la première ville des Pyrénées-Orientales à recevoir le nouveau classement de station de tourisme, par décret ministériel du [39].
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
Patrimoine religieux
Dolmens :
Églises :
- Chapelle Saint-Jérôme d'Argelès ;
- Église Saint-Ferréol de la Pava ;
- Église paroissiale Notre-Dame del Prat (XIVe siècle) ;
- Église Sainte-Marie de Torreneules (IXe siècle) ;
- Abbaye de Vallbona (XIIIe siècle) ;
- Église Saint-Laurent-du-Mont (XIIe siècle) ;
- Ermitage Notre-Dame-de-Vie ;
- Église Saint-Martin-et-Sainte-Croix de Taxo d'Avall ;
- Église Saint-Pierre dels Forquets.
Patrimoine civil
- Le château de Valmy ;
- Le château de Pujols ;
- Le site de Taxo d'Avall : remparts et église Saint-Martin-et-Sainte-Croix ;
- La tour de la Massane ;
- La Casa de l'Albera, maison du patrimoine présentant les richesses du massif des Albères[40] ;
- Vestiges de l'enceinte fortifiée des XIIIe et XIVe siècles[5].
Patrimoine naturel
- Réserve naturelle nationale du Mas Larrieu ou bocal du Tech.
- Réserve naturelle nationale de la forêt de la Massane.
- Le Bois des pins
À l'initiative du Conseil général qui cherche alors à rentabiliser les différentes portions de territoire du département, la commune d'Argelès accepte que soit réalisé en 1861 un premier essai, près du bord de mer, de plantation de pins d'une étendue de deux hectares. Le financement, intégralement pris en charge par l'État, en est rendu possible par la loi de 1860 sur le reboisement et le gazonnement des montagnes, initialement destinée à lutter contre la déforestation et l'érosion des terrains. Malgré l'échec du premier essai, d'autres plantations sont effectuées les années suivantes, toujours à la charge de l'État. En 1864, la commune d'Argelès est mise en demeure de financer elle-même la suite du projet, ce qu'elle refuse catégoriquement, arguant du manque de moyens. Les plantations continuent alors quelques années avant que l'État ne finisse par abandonner le projet[41].
La commune héberge de nos jours plus de 8 000 pins centenaires, dont 2 000 dans le secteur du Bois des pins. Après l'implantation du premier camping municipal dans les années 1930, le Bois des pins connaîtra plusieurs campagnes de replantations successives à partir des années 1970, essentiellement de pins parasol et de pins maritimes[42].
- Le site du Racou
Le site du Racou (en catalan : El Racó, provenant du préfixe re- et du latin Cuneus, « coin »[11], situé sur la commune d'Argelès-sur-Mer, est un site naturel appartenant au Conservatoire du littoral et des rivages Lacustres. Le Racou est d'une valeur écologique notable, avec la présence de deux espèces protégées: la Passerine hérissée et l'Armérie du Roussillon, ainsi que plusieurs habitats naturels d'intérêt communautaire. Les paysages de ce site sont remarquables et diversifiés, avec des vues sur les falaises du littoral, des ambiances de sous-bois (Bois de Valmarie), un maquis.
- Vallée de la Massane
La Cova de la Tortuga est un petit abri granitique se situant près du hameau de La Pave. Des fouilles archéologiques ont été réalisées en 1958 et 1959 par Roger Grau et une partie du mobilier est actuellement en exposition à la Maison du Patrimoine Françoise-Claustre à Céret. Cette grotte fait partie de la Route des tortues en Catalogne.
Personnalités liées à la commune
- François Joseph Antoine Bertrand de Palmarole (1755-1816) : général des armées de la République et de l'Empire, mort à Argelès ;
- Jules Pams (1852-1930) : député, ministre, sénateur ;
- Marcelle Narbonne (1898-2012) : supercentenaire morte à Argelès-sur-Mer ;
- Gaston Pams (1918-1981) : maire de 1953 à 1981, sénateur de 1959 à 1981 ;
- Jordi Barre (1920-2011) : auteur-compositeur-interprète né à Argelès-sur-Mer ;
- André Vinas (1925-2017) : écrivain ayant vécu et mort à Argelès-sur-Mer ;
- Roger Capell (1929-2010) : joueur de rugby, champion de France de rugby à XV en 1955 avec l'USAP ;
- Jean Carrère (1930-) : international de rugby, né à Argelès-sur-Mer et maire de 1983 à 2001 ;
- Pierre Aylagas (1942-) : entraîneur de rugby, maire d'Argelès-sur-Mer depuis 2001, conseiller général depuis 1998 ;
- Alain Escalle (1967-) : réalisateur né à Argelès-sur-Mer ;
- Marc Lièvremont (1968-) : international de rugby ;
- Thomas Lièvremont (1973-) : international de rugby ;
- Matthieu Lièvremont (1975-) : international de rugby ;
- Nicolas Mas (1980-) : international de rugby.
Héraldique
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Les armes peuvent se blasonner ainsi : D'argent à un argelac (ajonc épineux) de sinople fleuri de sept pièces d'or, accompagné de trois fleurs de lys d'azur, deux aux flancs et une en pointe, à la champagne aussi de sinople. |
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Culture populaire
- Littérature
- Antoine Parra, Aubes meurtrières à Argelès, Perpignan, Cap Béar éditions, coll. « Polar », , 150 p. (ISBN 978-2-35066-059-2, notice BnF no FRBNF41249276)
Galerie
- Maison Catalougne.
- Vue du mont Canigou depuis le port.
- Plage d'Argelès-sur-Mer.
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2020, millésimée 2017, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2019, date de référence statistique : 1er janvier 2017.
Références
- http://www.habitants.fr
- Carte IGN sous Géoportail
- Institut cartographique de Catalogne, « Visualisateur cartographique Vissir » (consulté le 24 août 2013)
- Notice Cassini d'Argelès-sur-Mer
- Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014)
- « Plan séisme » (consulté le 20 novembre 2014)
- René Courant, Le temps des tramways, Cabri, , p. 11
- Conseil Général des Pyrénées-Orientales, « Le bus à 1 euro », sur www.cg66.fr (consulté le 3 juillet 2010)
- Insee, résumé statistique pour la commune d'Argelès-sur-Mer en 2009
- (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne)
- Lluís Basseda, Toponymie historique de Catalunya Nord, t. 1, Prades, Revista Terra Nostra, , 796 p.
- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9)
- Ernest Delamont, Sièges soutenus par la ville d'Argelès en Vallespir, Bordeaux, Imprimerie générale de Mme Crugy, , 23 p.
- L'Indépendant, 7 août 2013, Les vestiges d'un sanctuaire gréco-romain mis au jour dans les Albères
- Guide du Roussillon et de l'Andorre : touristique, historique, social, économique, Perpignan, Sud Roussillon, , 286 p.
- Corazón Helado de 1939 - Los exilios republicanos
- Liste des maires sur le site FranceGenWeb
- Réélection 2014 : « Maires », sur le site de la Préfecture du département des Pyrénées-Orientales (consulté le 16 novembre 2016).
- Véronique Parayre, « Argelès: le socialiste Antoine Parra, élu maire à la majorité, succède à Pierre Aylagas », L'Indépendant, (lire en ligne, consulté le 27 mars 2016)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016 et 2017.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le 10 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, école maternelle publique Les Tamaris d'Argelès-sur-Mer
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, école maternelle publique Édourard Herriot d'Argelès-sur-Mer
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, école maternelle publique La Granotera d'Argelès-sur-Mer
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, école élémentaire publique Molière d'Argelès-sur-Mer
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, école élémentaire publique Curie-Pasteur d'Argelès-sur-Mer
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, collège Les Albères d'Argelès-sur-Mer
- Site du Collège Les Albères, section Présentation
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, lycée Christian-Bourquin d'Argelès-sur-Mer
- Véronique Parayre, « Argelès-sur-Mer : 861 élèves inaugurent le lycée », L'Indépendant, (lire en ligne, consulté le 3 septembre 2015)
- Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7)
- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le 1er février 2013).
- « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le 14 août 2013).
- Cécile Marche, « Argelès, 1re station des P.-O. classée station de tourisme », L'Écho du Roussillon, no 136, , p. 8
- http://fr.argeles-sur-mer.com/articles-tourisme-3/44-28-centre-interpretation-albera/
- Fabricio Cárdenas, 66 petites histoires du Pays Catalan, Perpignan, Ultima Necat, coll. « Les vieux papiers », , 141 p. (ISBN 978-2-36771-006-8, notice BnF no FRBNF43886275)
- Site de la ville, section Bois de pins
Voir aussi
Bibliographie
- Ernest Delamont, Sièges soutenus par la ville d'Argelès en Vallespir, Bordeaux, Imprimerie générale de Mme Crugy, , 23 p.
- Pierre Besson, Argelès et la Révolution : 1789-1799, Argelès-sur-Mer, Massana, , 188 p. (notice BnF no FRBNF35071748)
Liens externes
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