Bergerac (Dordogne)
Bergerac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Classée ville d'art et d'histoire, c'est la deuxième ville du département en population, légèrement moins peuplée que la préfecture Périgueux. Chef-lieu de l'arrondissement de Bergerac et bureau centralisateur de deux cantons : Bergerac-1 et Bergerac-2, c'est l'une des trois sous-préfectures du département.
Bergerac | |
Bergerac au bord de la Dordogne. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Dordogne (sous-préfecture) |
Arrondissement | Bergerac (chef-lieu) |
Canton | Bureau centralisateur de Bergerac-1 et de Bergerac-2 |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération bergeracoise (siège) |
Maire Mandat |
Daniel Garrigue 2014-2020 |
Code postal | 24100 |
Code commune | 24037 |
Démographie | |
Gentilé | Bergeracois |
Population municipale |
26 833 hab. (2017 ![]() |
Densité | 478 hab./km2 |
Population aire urbaine |
81 322 hab. (2014) |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 51′ 07″ nord, 0° 28′ 59″ est |
Altitude | Min. 12 m Max. 146 m |
Superficie | 56,10 km2 |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.bergerac.fr |
Géographie
Situation
La ville est située dans le Périgord pourpre, sur la Dordogne. Elle est également arrosée par ses affluents le Caudeau et la Conne.
La ville se trouve entre Bordeaux (93 km à l'ouest), Périgueux (48 km au nord), Agen (90 km au sud), et Cahors (110 km au sud-est). Libourne est à 66 km à l'ouest.
Le parc naturel régional des Causses du Quercy est à 110 km à l'est, celui du Périgord-Limousin à 82 km au nord[1].
Avec 56,10 km2, c'est la onzième commune la plus étendue de la Dordogne.
Climat
Dans le département de la Dordogne, Bergerac cumule trois records météorologiques[2] :
- la température journalière la plus basse le , avec −24 °C ;
- l'année la plus sèche en 1989 avec 505 mm de pluie ;
- l'année la plus ensoleillée en 1989 avec 2 300 heures de soleil.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 1,7 | 1,2 | 3,4 | 5,8 | 9,6 | 12,7 | 14,6 | 14,2 | 10,7 | 8,5 | 4,5 | 2 | 7,4 |
Température moyenne (°C) | 5,4 | 6,6 | 9,6 | 10,9 | 16,1 | 18 | 20,7 | 20,8 | 16,6 | 13,4 | 8,2 | 5,9 | 12,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 10 | 11,9 | 15,9 | 18,2 | 21,5 | 25,1 | 28 | 27,6 | 24,4 | 20 | 13,7 | 10,5 | 19 |
Record de froid (°C) date du record |
−10,6 13/1/2003 |
−17,1 9/2/2012 |
−12,1 1/3/2005 |
−4,2 22/4/1991 |
−1,5 6/5/2019 |
2,8 1/6/2006 |
6,4 15/7/2016 |
4,8 29/8/1989 |
1,2 25/9/2002 |
−5,5 30/10/1997 |
−9,8 18/11/2007 |
−12,4 17/12/2001 |
|
Record de chaleur (°C) date du record |
19,1 2/1/2003 |
25,9 27/2/2019 |
26,6 20/3/2005 |
29,7 24/4/2007 |
39 15/5/2002 |
38,2 27/6/2011 |
40,5 23/7/2019 |
41,1 4/8/2003 |
37,5 3/9/2005 |
31,5 1/10/2011 |
24,8 7/11/2015 |
20 8/12/2010 |
|
Ensoleillement (h) | 75,7 | 115,4 | 168,3 | 198,5 | 209 | 241,3 | 258,9 | 258,5 | 215,9 | 160,8 | 89,1 | 89,2 | 2 078,8 |
Précipitations (mm) | 63,4 | 51,7 | 45,3 | 68,9 | 70 | 67,4 | 50,5 | 50,7 | 57,1 | 58,6 | 69,9 | 64,2 | 717,8 |
Record de pluie en 24 h (mm) date du record |
29,4 19/1/2013 |
33,2 3/2/2003 |
21 3/3/2017 |
45,6 3/4/2014 |
41,6 5/5/2003 |
199,9 2/6/1989 |
66,1 25/7/2014 |
55,3 8/8/2018 |
51,3 2/9/1997 |
42,6 20/10/2009 |
28,2 2/11/2009 |
71,1 29/12/1995 |
particularité : ensoleillement (période mai 2009 à février 2020).
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
10 1,7 63,4 | 11,9 1,2 51,7 | 15,9 3,4 45,3 | 18,2 5,8 68,9 | 21,5 9,6 70 | 25,1 12,7 67,4 | 28 14,6 50,5 | 27,6 14,2 50,7 | 24,4 10,7 57,1 | 20 8,5 58,6 | 13,7 4,5 69,9 | 10,5 2 64,2 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Accès
Transports
Ferroviaires
La gare de Bergerac située sur la ligne ferroviaire reliant Bordeaux à Sarlat est desservie par le TER Nouvelle-Aquitaine.
Aériens
L’aéroport de Bergerac-Dordogne-Périgord est relié actuellement à plusieurs villes du Royaume-Uni, à Paris, à Rotterdam et à Bruxelles-Charleroi essentiellement grâce à des compagnies à bas prix.
Urbanisme
Prévention des risques
À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2006 pour le Bergeracois, donc pour les zones basses du territoire de Bergerac incluant les parties aval de la Conne sur son dernier kilomètre, du Caudeau sur ses 200 derniers mètres, et du ruisseau de Gabanelle en limite de Saint-Laurent-des-Vignes, sur ses 500 derniers mètres[5],[6].
De plus, la commune est incluse dans le territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac — composé de 22 communes : 15 en Dordogne et 7 en Gironde — dont la validation a fait l'objet en décembre 2014 d'un arrêté du préfet de la région Midi-Pyrénées, responsable du bassin Adour-Garonne[7],[8].
Un autre plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2015 pour le Caudeau et ses rives, impactant de façon importante les quartiers nord de la ville (Caville, les Vaures, les Vergnes)[9],[10].
Un plan de prévention des risques (PPR) industriels a été approuvé en 2011 pour des effets thermique, toxique et de surpression concernant la plate-forme industrielle de Bergerac[11],[12].
Toponymie
La localité a été successivement mentionnée sous les formes suivantes[13] Brageyrack (1100)[14], Braiaracum (1116)[14], Brajeracum (1122), Bragaac (1198), Brageyriacum (1207)[14], Bragiaracum (1233), Bragayriacum (1238), Brageriacum (1254), Brivairiacum (1254), (Berguerac (1379), Braggeriacum et Bragerac (1388), Bragueyrac (1455), Brigrake ou Brygerake (Eulogium)[15], Brageyrac (Froissart), Bregerat en 1608.
Il peut s'agir du dérivé d'un nom de personnage gallo-roman Bracarius accompagné du suffixe -acum[14] indiquant le « domaine de Bracarius ». Le bracarius est à l'origine un nom de métier gaulois, correspondant à un fabricant de braies[14]. Selon Léo Fayolle, Bergerac pourrait être issu du latin berbicaria (bergerie) mais la première syllabe du nom « Bra- » que l'on retrouve dans les différentes appellations du lieu du XIIe au XIVe siècle rend cette hypothèse peu plausible[14]. Une autre possibilité serait que Bergerac a pour origine un nom de personnage germanique « Berger » signifiant montagnard[14].
Histoire


- À Corbiac (à environ 4 km au nord-est de Bergerac, à moins de 200 m du Caudeau qui forme la limite de communes avec Lembras[17]), la pelouse du château est un gisement préhistorique avec quatre couches de Périgordien et une couche sous-jacente de Moustérien de tradition acheuléenne (MTA). La dernière couche déposée (couche supérieure) de Périgordien et celle de MTA sont particulièrement riches. La couche supérieure de Périgordien a livré plus de 12 000 outils en plus des lames[18] (plus de 50 000[19]), nucléus et éclats, à partir desquels François Bordes invente en 1970 le « burin de Corbiac », un burin triédrique sur tranchant[18]. Le site a aussi fourni des lames à encoches proximales ou distales (que Bouyssonie avait prises pour des pendeloques)[19].
- Les vestiges d’un village néolithique datant de 3 500 à 3 000 ans av. J.-C. sont découverts dans le quartier des Vaures à Bergerac. Plus de vingt habitations sont mises au jour, montrant des plans rectangulaires mais aux extrémités convexes, longues de 15 à 25 m, larges de 4 à 5 m, reposant sur des fondations de bois dont seules subsistent aujourd’hui les traces négatives. Leurs toits, à double pente, étaient probablement réalisés en matériaux végétaux. On y trouve aussi un long four à pierres chauffées de forme et de procédé uniques pour l’époque, notamment en France. Sont également présents des préformes de haches et de haches polies, de grattoirs, de perçoirs, de couteaux, de pointes de flèches tranchantes réalisés dans le silex du Bergeracois, des fragments de céramiques, des meules à grains, des polissoirs et des outils en os[20].
- Sur le site du Bout-des-Vergnes, les sépultures d'une nécropole mérovingienne des Ve et VIe siècles sont mises au jour en 2012 lors du chantier de la rocade ouest de Bergerac[21].
- Le , au début de la guerre de Cent Ans, la ville est prise d’assaut par Henry de Grosmont, comte de Derby.
- En mai 1472, le roi Louis XI confirma par lettres patentes les privilèges de la ville octroyés par ses prédécesseurs, à la suite de la mort du duc de Guyenne[22],[23].
- Le , la statue de Notre-Dame est jetée dans la Dordogne par des protestants avant le passage d'Henri II[24].
- En 1553, des cultes protestants publics sont attestés dans la ville[24].
- En 1563, Armand de Piles prend la ville, occupée par une garnison catholique laissée par Montluc ; la garnison et le curé sont exécutés le 12 mars[24].
- En 1565, Charles IX passe dans la ville lors de son tour de France royal (1564-1566), accompagné de la Cour et des Grands du royaume[25].
- En 1567, le pont de Bergerac est détruit pour empêcher les troupes catholiques de passer la Dordogne[24].
- Fin décembre 1569, Clermont de Piles réussit à reprendre la ville, et massacre la garnison catholique.
- Le , au cours des guerres de Religion, une trêve est signée à Bergerac : la paix de Bergerac.
- Le , le roi Louis XIII entre à Bergerac et fait démolir les fortifications de la place de sûreté par les huguenots.
- En 1675, la révolte du papier timbré, révolte antifiscale du règne de Louis XIV, commencée à Bordeaux, s’étend à Bergerac qui connaît deux jours d’émeutes les 3 et 4 mai[24],[26]. Une troupe de cavalerie ramène l’ordre puis quitte la ville à la mi-mai.
- Le , le temple est démoli[24].
- Le , les premières compagnies de dragons arrivent à Bergerac pour convertir les huguenots. Les 23, 24 et 25 août ont lieu des dragonnades et des conversions forcées[27].
- En 1794, les anciennes communes de La Conne, La Madeleine, Saint-Christophe-de-Monbazillac et Sainte-Foy-des-Vignes fusionnent avec Bergerac.
Vignoble

12 600 hectares pour 12 appellations et un vin de pays produisant 560 000 hectolitres par campagne. Le prix négociant est de 730 euros le tonneau de 900 litres en rouge, un peu plus pour les blancs et le Monbazillac.
12 appellations d’origine contrôlée (AOC) :
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Bergerac est rattachée au canton de Bergerac qui dépend du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton dépend de l'arrondissement de Bergerac[28]. En 1973, le canton de Bergerac disparaît et est remplacé par deux autres : Bergerac-1 et Bergerac-2[28]. La commune est alors répartie entre ceux-ci : Bergerac-1 au nord de la Dordogne et Bergerac-2 au sud.
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, les deux cantons sont conservés lors des élections départementales de mars 2015[29]. La commune est toujours partagée entre les deux cantons mais la nouvelle répartition prévoit que la commune s'étend, pour chacun d'entre eux, sur les deux rives de la Dordogne.
Intercommunalité
Fin 2001, Bergerac intègre dès sa création la communauté de communes de Bergerac Pourpre. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.
Tendances politiques et résultats
Pour les élections municipales de mars 2014, cinq listes s'affrontent au premier tour : celle de gauche du maire sortant socialiste Dominique Rousseau, deux listes à droite, d'une part pour l'ancien maire et député Daniel Garrigue (DVD) et de l'autre celle de Carmel Fontana (UMP), une du Front national pour Robert Dubois, et une d'EELV pour Lionel Frel[30].
Au premier tour, Dominique Rousseau arrive en tête avec plus de 34 % des voix exprimées, devant Daniel Garrigue (30 %) et Robert Dubois (près de 17,5 %). Les deux autres listes recueillent 11 % des suffrages exprimés pour l'UMP et 7 % pour EELV[30]. Pour le second tour, Carmel Fontana, qui envisageait dans un premier temps de se maintenir[31], se retire sans donner de consigne de vote[32].
Au second tour, Daniel Garrigue l'emporte avec 46,09 % des suffrages, devant Dominique Rousseau (41,30 %), le Front national faisant moins bien (12, 59 %) qu'au premier tour[30].
Liste des maires
Politique de développement durable
La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2010[35].
Jumelages
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Repentigny (Québec) depuis 1997[36]. Faenza (Italie) depuis 1998[37]. Ostrów Wielkopolski (Pologne) depuis [38]. Kenitra (Maroc) depuis 2018[39].- En 2018, un jumelage est envisagé avec la ville allemande de Hohen Neuendorf, dont le pacte devait être signé au mois d'octobre[40].
Population et société
Démographie
Bergerac
Les habitants de Bergerac se nomment les Bergeracois[41].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[42],[Note 2].
En 2017, la commune comptait 26 833 habitants[Note 3], en diminution de 4,07 % par rapport à 2012 (Dordogne : -0,67 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
L'agglomération et l'aire urbaine
En 2010, l'unité urbaine de Bergerac (l'agglomération) regroupe 22 communes[44] : Bergerac, Cours-de-Pile, Creysse, Le Fleix, La Force, Gardonne, Ginestet, Lamonzie-Saint-Martin, Lembras, Mouleydier, Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, Prigonrieux, Saint-Antoine-de-Breuilh, Saint-Germain-et-Mons, Saint-Laurent-des-Vignes, Saint-Nexans, Saint-Pierre-d'Eyraud, Saint-Sauveur, Pineuilh, Saint-Avit-Saint-Nazaire, Sainte-Foy-la-Grande et Saint-Philippe-du-Seignal. Ces quatre dernières communes font partie du département de la Gironde. Elle s'étend d'est en ouest sur près de 35 kilomètres, le long de la Dordogne depuis Mouleydier jusqu'à Saint-Antoine-de-Breuilh. Avec 64 681 habitants en 2014[45] dont 56 072 en Dordogne, c'est la deuxième agglomération du département après celle de Périgueux.
L'aire urbaine de Bergerac plus étendue, regroupe au total 67 communes[46] et 81 322 habitants en 2014[47], dont 71 485 en Dordogne.
Enseignement
Bergerac possède de nombreux établissements éducatifs : 15 écoles (maternelles et élémentaires), 4 collèges, 2 lycées et 9 établissements professionnels. En revanche, aucun établissement éducatif d'enseignement supérieur ne se situe à Bergerac.
Écoles
- Gambetta (maternelle)
- La Moulette (maternelle)
- Pauline-Kergomard (maternelle)
- Suzanne-Lacore (maternelle)
- Alba (maternelle et élémentaire)
- Bout des Vergnes (maternelle et élémentaire)
- Edmond-Rostand (maternelle et élémentaire)
- Le Taillis-Naillac (maternelle et élémentaire)
- René-Desmaison (maternelle et élémentaire)
- André-Malraux (élémentaire)
- Jean-Moulin (élémentaire)
- Romain-Rolland (élémentaire)
- Les Vaures (élémentaire)
- École privée Saint-Jacques et Sainte-Marthe (anciennement Miséricorde) (maternelle et élémentaire)
- École privée Fénelon-Guy (maternelle et élémentaire)
Collèges
- Eugène-Leroy
- Henri-IV
- Jacques Prévert
- Collège privé Sainte-Marthe-Saint-Front
Lycées
- Lycée Maine de Biran
- Lycée privé Sainte-Marthe-Saint-Front
Établissements professionnels
- Atelier pédagogique personnalisé (APP)
- Centre de formation d’apprentis du Grand Bergeracois des métiers traditionnels et de la santé (CFA)
- Établissement privé Association consulaire et interprofessionnelle de formation permanente (ACIFOP)
- Établissement privé Centre formation professionnelle sanitaire et sociale en cours d'emploi (CFPSSCE)
- Établissement privé de commerce et de gestion (EPSECO devenu Talis Business School)
- LEP agricole de la Brie
- LEP de l’Alba
- LEP Jean-Capelle
- LEP Sainte-Marthe-Saint-Front
- Lycée des métiers Sud-Périgord Hélène Duc
Manifestations culturelles ou sportives et festivités
- Le Salon de la collection se tient chaque année en mars (31e édition en 2019)[48].
- Le « festival Jazz Pourpre » se tient chaque année en mai à Bergerac (16e édition en 2019)[49].
- La Grappe de Cyrano (également appelée « Grappe Dafy Moto » depuis 2010), est une épreuve d’enduro de niveau international sur deux jours. Elle part d'une ville du Bergeracois et y revient, se tenant depuis 1987 chaque année, en mars ou avril, pendant le week-end de Pâques[50].
- Les tables de Cyrano rassemblent au mois de juillet en plein air les amateurs de gastronomie locale et de musique de rue[51].
- La foire-exposition qui avait lieu habituellement les années paires tous les deux ans en août-septembre, se déroule en juin 2015 et attire 26 000 visiteurs[52]. Après une « édition catastrophique » en juin 2016 avec seulement 8 500 visiteurs, la nouvelle édition début mai 2019 a permis d'enregistrer environ 22 000 entrées[53].
- Le 10 juillet 2001, Bergerac a accueilli le concert d'Elton John au stade municipal Gaston-Simounet. Seule étape française de sa tournée mondiale, le concert rassembla environ 15 000 personnes.
- La Botte de Cyrano, compétition d'escrime à l'épée dans le centre historique de Bergerac, fin juin (association : Les Cadets de Bergerac, club d'escrime).
- La félibrée est une fête populaire occitane organisée chaque année, dans une ville ou un village du Périgord. Bergerac l'accueille en 1906, 1926, 1947, 1948, 1961, 1993 et 2013[54].
- Bergerac a été deux fois ville étape du Tour de France, en 1961 et en 1994 pour deux étapes contre-la-montre[55]. La seule étape contre-la-montre du tour 2014 a relié Bergerac à Périgueux[56]. La veille, lors de la dix-neuvième étape arrivant à Bergerac, Ramūnas Navardauskas est le premier Lituanien à gagner une étape du Tour de France. Bergerac est la ville d'arrivée de la 10e étape du Tour de France 2017.
- Après s'être tenu le 15 août, le « Salon du livre ancien », devenu le « Salon du livre ancien et moderne, et du vieux papier »[57] se déroule depuis 2014 en novembre[58] (15e édition en 2015[57]).
Santé
Au sein de la commune, les habitants peuvent bénéficier de deux centres médicaux principaux : le centre hospitalier Samuel-Pozzi et la clinique Pasteur.
Centre hospitalier Samuel-Pozzi
La capacité d'accueil de l'établissement est de 222 lits en hospitalisation complète et 13 places en hospitalisation de jour. Les activités principales sont[59] :
- Maternité
- Chirurgie ambulatoire
- Urgence
- Médecine de la personne âgée.
Les activités spécifiques sont :
- Urgences
- Cardiologie rythmologique
Clinique Pasteur
La capacité d'accueil de l'établissement est de 96 lits en hospitalisation complète et 41 places en hospitalisation de jour.
Les activités principales sont[60] :
- chirurgie viscérale et digestive, chirurgie uro-gynécologique et chirurgie orthopédique ;
- soins de suite et de réadaptation ;
- hospitalisation à domicile.
Les activités spécifiques sont :
- chirurgie des cancers digestifs ;
- chirurgie des cancers gynécologiques et du sein ;
- chirurgie des cancers urologiques ;
- chirurgie de la hanche ;
- chirurgie ambulatoire.
Sports

- Athlétisme : Bergerac Athlétique Club avec Yohan Durand, vice-champion d'Europe espoirs du 1 500 m en 2007, et champion de France du 5 000 m en 2012
- Aviron : avec le Sport nautique créé en 1860. 100e titre de champion de France en mai 2012.
- Ball-Trap : avec le Ball-Trap Club de Bergerac sur le stand de Tir de Faux-Canguilhem. L'activité de Ball-trap est en cours d'extinction à Bergerac à la suite de la fermeture administrative du stand de tir initié par la municipalité de Faux et la décision de la municipalité de Bergerac de ne pas soutenir le projet de mise aux normes.
- Basket-ball : avec l’USB Basket
- Escalade, alpinisme, raquettes : avec l’Association sportive de la Poudrerie de Bergerac
- Escrime : avec l'association des Cadets de Bergerac
- Football : avec le Bergerac Périgord FC en CFA
- Gymnastique artistique féminine : avec le Stella (FSCF) et les Enfants de France (FFG)
- Handball : avec le BPPH en National 1 féminin
- Karaté: avec "OSKCB" (Ohshima Shotokan Karaté Club Bergeracois)
- Kendo : avec l’Association Go Shin No Yama
- Natation : avec le Cercle des nageurs bergeracois (CNB)
- Plongée sous marine : avec l’Association Cyrano Plongée Bergerac
- Rugby : avec l’US Bergerac en Fédérale 1
- Tennis : avec le Bergerac US Tennis et le Tennis Club de Bergerac (TCB)
- Aïkido, boxe française, boxe anglaise, gym tonic, handisport, judo, jujitsu, Racing Car, Randonnée Pédestre, Savate Défense, Taïso, Tennis, Tir, Triathlon avec l’USB Omnisport[61]
Médias
Presse écrite
- Sud Ouest (quotidien)
- L'Écho de la Dordogne (quotidien)
- Le Démocrate indépendant (hebdomadaire)
Radios
Les habitants de Bergerac peuvent écouter plusieurs radios locales :
- Radio Orion (87.6 FM) : radio associative[62].
- Chérie FM Dordogne (90.2 FM) : programme local de Chérie FM réalisé depuis Périgueux[63].
- Bergerac 95 (95.0 FM) : radio locale devenue commerciale (elle a intégré le GIE Les Indés Radios)[64].
- RVB (96.3 FM) : radio associative[65].
- France Bleu Périgord (99.0 FM) : radio locale publique réalisée depuis Périgueux. Elle émet dans tout le département de la Dordogne mais aussi dans le Lot-et-Garonne et le Limousin[66].
Ils peuvent également écouter les radios nationales suivantes :
- 92.3 : France Inter
- 93.2 : Virgin Radio
- 94.0 : France Culture
- 95.5 : Sud Radio
- 97.1 : France Musique
- 98.6 : RTL2
- 101.0 : Skyrock
- 101.8 : NRJ
- 102.6 : Nostalgie
- 103.1 : RMC
- 103.8 : RTL
- 105.5 : France Info
- 106.2 : Europe 1
Télévision
France 3 Périgords propose un journal local traitant de l'actualité du Périgord dans le 19/20 depuis le Centre départemental de la Communication, sur le quai Saint-Georges à Périgueux. À Bergerac, elle est captée depuis le site d'émission TDF de la Baronnie à Audrix[67].
Cultes
Catholicisme

Les catholiques de Bergerac relèvent principalement de la paroisse Saint-Jacques-en-Bergeracois, qui s'étend également sur les territoires de quarante communes environnantes, et donc du diocèse de Périgueux et Sarlat.
- Chapelle Notre-Dame-de-la-Paix de l'Alba[68], située rue Thomas, ses offices y sont menés, depuis 1997, par la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre selon la forme tridentine du rite romain.
- Chapelle Sainte-Jeanne-d’Arc et son école traditionaliste hors contrat, affiliées à la Fraternité Saint-Pie X et anciennement situées rue Jules-Michelet, elles sont transférées avenue Foch en 2016[69].
- Église Notre-Dame de Bergerac[70], rue Sainte-Catherine, inscrite aux Monuments historiques en 2002.
- Chapelle Notre-Dame de la Famille missionnaire de Notre-Dame (foyer Domini)[71], rue Valette, installée depuis 2005 dans l'ancien carmel de Bergerac.
- Chapelle Saint-Luc, rue du Maréchal-Juin.
- Chapelle du Pont-Roux, rue Camille-Saint-Saëns.
- Église Saint-Jean-des-Cordeliers[72], située rue de Clairat, elle fut d'abord le lieu de culte du couvent local des cordeliers, puis connut pendant près de 120 ans une utilisation profane en tant que brasserie puis hôtel-restaurant. Depuis 2004, des messes y sont de nouveau célébrées selon la forme tridentine du rite romain par les prêtres de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X.
- Église Saint-Jacques[73] qui est une des étapes de la Via Lemovicensis pour les pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, gage aussi d'un certain tourisme supplémentaire. Inscrite aux monuments historiques en 1974.
- Église Sainte-Madeleine construite en 1843.
Protestantisme
- Grand temple de Bergerac, anciennement de l'Église réformée de France, aujourd'hui de l'Église protestante unie de France, place Cayla[74].
- Église évangélique libre, 5 rue Durou[75].
- Église évangélique tzigane de France, rue du Tounet[76].
Islam
- Mosquée de Naillac, impasse Voltaire.
- Mosquée de la rue Leconte-de-l'Isle.
Économie
Bergerac possède une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de la Dordogne. Le développement touristique constitue depuis plus de 10 ans une priorité avec l’émergence d’une véritable destination : le Pays de Bergerac. La première spécificité en est le tourisme viticole dont le vin de Monbazillac est le plus réputé. Le patrimoine, la rivière Dordogne et les activités de pleine nature complètent une offre touristique très riche. Les touristes étrangers sont en majorité des Anglais, des Hollandais et des Belges notamment grâce au développement de l'aéroport de Bergerac-Dordogne-Périgord qui propose des liaisons quotidiennes vers la Grande-Bretagne, la Belgique et les Pays-Bas.
Emploi
L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Bergerac ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.
L'emploi des habitants
En 2015, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans[77], les actifs représentent 10 786 personnes, soit 39,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (2 166) a légèrement augmenté par rapport à 2010 (2 152) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 20,1 %.
L'emploi sur la commune
Au , la commune offre 14 806 emplois pour une population de 27 419 habitants[78]. Le secteur tertiaire prédomine avec 43,8 % des emplois mais le secteur administratif est également très présent avec 38,8 %.
Répartition des emplois par domaines d'activité
Agriculture, sylviculture ou pêche | Industrie | Construction | Commerce, transports et services | Administration publique, enseignement, santé, action sociale | Total | |
---|---|---|---|---|---|---|
Nombre d'emplois | 354 | 1 528 | 697 | 6 487 | 5 739 | 14 806 |
Pourcentage | 2,4 % | 10,3 % | 4,7 % | 43,8 % | 38,8 % | 100 % |
Source des données[78]. |
Le secteur tertiaire occupe une place prépondérante au sein de l'emploi de la commune (6 487 emplois, soit 43,8 % du total). À l'inverse, l'agriculture, avec 354 emplois, y est minime (2,4 %)[78].
Établissements
Au , la commune compte 3 108 établissements[79], dont 2 116 au niveau des commerces, transports ou services, 502 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, 264 dans la construction, 162 dans l'industrie, et 64 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[80].
Entreprises
Une marque d'automobiles bergeracoises a existé de 1901 à 1907, d'abord nommée L'Automotrice (1901–1904), puis Radia (1904–1905) et enfin Baudouin-Radia (1905–1907). Voir en allemand L'Automotrice (de).
Créées en 1874[81], les pépinières Desmartis sont à l'origine du développement de la diffusion du Lagerstroemia comme arbre d'ornement en France à partir des années 1950[82]. L'actionnaire majoritaire, Jardiland, souhaitait se débarrasser de l'entreprise qui a été reprise par deux de ses cadres en août 2014[83]. Un plan social doit réduire les effectifs d'une quarantaine d'emplois par rapport aux 30 saisonniers et 127 salariés[83].
Tous secteurs confondus, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Bergerac autos » (commerce de voitures et de véhicules automobiles légers) située à Bergerac se classe 42e en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 25 849 k€[84].
Parmi les cinquante premières entreprises de chaque secteur économique dans le département, classées en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, on trouve implantées à Bergerac :
- dans l'industrie, quatre entreprises[85],
- Manuco (fabrication de matières plastiques de base), 17e avec 18 486 k€ ;
- Mary Arm SA (fabrication d'armes et de munitions), 28e avec 9 347 k€ ;
- Chaudronnerie Lescaut SA (installation de structures métalliques, chaudronnées et de tuyauterie), 39e avec 6 568 k€ ;
- Taulou (fabrication de moules et modèles), 49e avec 4 160 k€ ;
- dans le commerce, quatre entreprises[86],
- Bergerac autos se classe 21e ;
- SA Cazes (commerce de voitures et de véhicules automobiles légers), 37e avec 18 156 k€ ;
- Galinats (supermarchés), 44e avec 14 436 k€ ;
- DNA Dordogne (commerce de voitures et de véhicules automobiles légers), 47e avec 13 225 k€ ;
- dans les services, quatre entreprises[87],
- Société clinique Pasteur (activités hospitalières) 6e avec 12 001 k€ ;
- Fauvel formation (formation continue d'adultes), 9e avec 8 964 k€ ;
- Société d'exploitation de l'aéroport de Bergerac-Dordogne-Périgord, 15e avec 6 435 k€ ;
- SELARL imagerie médicale du Bergeracois (activités de radiodiagnostic et de radiothérapie), 31e avec 3 984 k€ ;
- dans l'agroalimentaire, cinq entreprises[88],
- Prunidor (transformation et conservation de fruits), 10e avec 9 627 k€ ;
- Pépinières Desmartis (reproduction de plantes), 12e avec 9 575 k€ ;
- Périgord viandes (transformation et conservation de la viande de boucherie), 17e avec 6 672 k€ ;
- Tomates d'Aquitaine SAS (transformation et conservation de légumes), 20e avec 5 690 k€ ;
- SICA Prunidor (transformation et conservation de fruits), 31e avec 2 609 k€ ;
- dans le BTP, quatre entreprises[89],
- ABTP Biard (construction de routes et autoroutes), 9e avec 6 702 k€ ;
- Maisons côte Atlantique 24 (construction de maisons individuelles) classée 27e avec 3 944 k€ ;
- Bâti Aquitaine (travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment), 29e avec 3 810 k€ ;
- J2L (promotion immobilière de logements), 36e avec 3 289 k€.
Tous secteurs confondus, cinq entreprises de Bergerac figurent parmi les cinquante premières de la Dordogne, en termes de chiffre d'affaires à l'exportation[90],
- Manuco, 8e avec 15 285 k€ ;
- Prunidor, 25e avec 1 948 k€ ;
- Draper France (commerce de gros interentreprises non spécialisé), 27e avec 1 838 k€ ;
- Périgord millésimes et terroirs (commerce de gros interentreprises de boissons), 35e avec 1 281 k€ ;
- LMG (commerce de détail de livres en magasin spécialisé), 44e avec 963 k€.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Musée d’Anthropologie du Tabac (Machine de Dalloz)
- Musée du vin et de la batellerie
- Château de Lespinassat, XVIIe siècle XVIIIe siècle XIXe siècle, classé
- Château de Mounet-Sully, XIXe siècle, classé
- Le musée Costi du sculpteur Constantin Papachristopoulos
- Temple de l'église protestante unie de France situé au cœur de la vieille ville, place Cayla, le grand temple de Bergerac est installé dans l’ancienne église des Récollets. Concerts réguliers.
- Récollets Le Cloître des Récollets qui abrite la Maison des Vins de Bergerac
- L'église Notre-Dame a été construite en style néogothique par Paul Abadie entre 1852 et 1868. Elle est classée au titre des monuments historiques en 2002[91].
Machine à sculpter de Dalloz au musée du tabac. La place Pélissière et l’église Saint-Jacques. Le temple protestant. Statue de Cyrano de Bergerac, place de la Myrpe. Maisons du vieux Bergerac.
Bergerac dispose de plusieurs cimetières[92] ; les deux plus importants sont ceux de Beauferrier et la Beylive qui s'étendent chacun sur plus de quatre hectares ; trois autres se situent au pont Saint-Jean, à la Conne et aux Marquets, ce dernier datant de 1783 étant le plus ancien. La ville a également deux columbariums (à Beauferrier et la Beylive) et un jardin cinéraire dans ce dernier site[93].
Patrimoine environnemental
Après avoir obtenu pendant plusieurs années quatre fleurs au Concours des villes et villages fleuris[94], ainsi que la « fleur d'or » en 2014[95], Bergerac suspend sa participation au concours en 2017[96]. En 2013, la ville est classée ville d'art et d'histoire[97].
En mai 2016, la préfecture accorde à Bergerac la dénomination de commune touristique pour une période de cinq ans[98].
La commune de Bergerac a entrepris d'aménager progressivement les berges du Caudeau depuis le parc de Pombonne jusqu'à sa confluence avec la Dordogne. Commencée en 1995 avec l'aménagement du parc de Pombonne, l'opération foncière consiste à acheter des parcelles aux riverains pour permettre à terme une coulée verte longue de six kilomètres qui se grefferait sur la véloroute 91, projet de 240 kilomètres de long envisagé pour relier Souillac à Libourne, le long de la Dordogne[99].
Personnalités liées à la commune
Par année de naissance :
- Cyrano de Bergerac, personnage d'Edmond Rostand, provient de Bergerac dans la célèbre pièce de théâtre homonyme, et est évoqué à des à des fins touristiques et commerciales par la ville. Le Cyrano historique, qui a inspiré le personnage, n'y a jamais vécu. L'auteur d'un voyage dans la lune et dans le soleil intitulé L’Autre Monde, il a inspiré la célèbre pièce d’Edmond Rostand. De son vrai nom Savinien de Cyrano, il ajouta à son patronyme le nom de Bergerac. Il utilisa sans doute ce nom à partir du moment où il entra dans une compagnie du régiment des Gardes françaises, où les Gascons étaient en grand nombre.
- Salh d’Escola, né à Bergerac, troubadour de la fin du XIIe siècle.
- Famille Gontier de Biran dont plusieurs membres ont été maires de Bergerac, subdélégués et sous-préfets de Bergerac.
- Pierre Maine de Biran (1766-1824), né à Bergerac, philosophe et homme politique, élu plusieurs fois député de la Dordogne.
- Jean Boudet (1769-1809), inhumé à Bergerac[100], général de division français.
- Jean Zacharie Mesclop (1775-1844), né à Bergerac, officier des armées de la République puis général de l'Empire en 1813[101].
- Jean Beaussoleil (1803-1837), inhumé à Bergerac[100], poète et général de division français.
- Armand Prosper Faugère (1806-1887) né à Bergerac et mort à Paris. Littérateur, diplomate, ministre puis sous-directeur au ministère des Affaires étrangères[102]. Fut trois fois lauréat de l'Académie française. Écrivit également des articles d'économie politique dans Le Temps, Le Correspondant, etc.
- Le chanoine Clavel de Saint-Geniez (1808-1876) y enseigna le latin et le grec au petit séminaire[réf. nécessaire].
- Louis Léger Vauthier (1815-1901), né à Bergerac ? ingénieur des ponts et chaussées, polytechnicien et homme politique français.
- François Chéri-Rousseau (1826-1908), né à Bergerac, photographe.
- Jean Sully Mounet dit « Mounet-Sully », (1841-1916), né à Bergerac, acteur.
- Samuel Pozzi (1846-1918), né à Bergerac, célèbre gynécologue et chirurgien, protestant, le centre hospitalier de la ville porte son nom. Né et inhumé à Bergerac[103].
- Paul Mounet (1847-1922), né Jean-Paul Sully à Bergerac, acteur.
- Paul Magnaud (1848-1926), magistrat et homme politique né à Bergerac.
- Catherine Pozzi (1882-1934), fille de Samuel Pozzi, poétesse et femme de lettres française inhumée au cimetiere Beauférier de Bergerac[104].
- Gaston Ouvrard (1890-1981), né à Bergerac, auteur, compositeur et interprète.
- Desha Delteil (1901-1981), décédée à Bergerac, danseuse classique américaine, célèbre pour ses poses acrobatiques.
- Jean Filliol (ou Filiol, selon la graphie de l'état civil) (12 mai 1909 à Bergerac - avant 1975 en Espagne ?) militant nationaliste français qui a fondé avec Eugène Deloncle en 1935, la Cagoule.
- Marcel Orsini (1911- 1999), inhumé à Bergerac[100], compagnon de la Libération
- Hélène Duc (1917-2014), née à Bergerac, comédienne.
- Jean Bastia (1919-2005), décédé à Bergerac[105], réalisateur et scénariste
- Jean Rey (1920-1943), inhumé à Bergerac[100], compagnon de la Libération.
- Bernard Lesfargues (oc) (1924-2018), né à Bergerac, écrivain et traducteur.
- Jean-Marie Rivière (1926-1996), né à Bergerac, personnalité du music-hall.
- René Coicaud (1927-2000), mort à Bergerac, escrimeur français médaille d'argent aux Jeux olympiques d'été de 1956.
- Juliette Gréco (1927)
- Bernard Malivoire, (1938-1982), né à Bergerac, rameur français, médaillé d'or aux Jeux olympiques de 1952.
- Marie-Pierre de Gérando (1938-), né à Bergerac, acteur, ancien élève du Conservatoire national d'art dramatique.
- Alain Marot (1948), né à Bergerac. Ancien joueur de rugby à XV, qui a joué avec l'équipe de France.
- Jean Bonnefon (1950), né à Bergerac, auteur-compositeur-interprète de chansons en français et en occitan ou langue d'oc.
- Michel Philippon, (1953), philosophe.
- David Ellis (1957) entraîneur de l'US Bergerac.
- Pascal Obispo (1965), né à Bergerac, auteur, compositeur et interprète de chansons.
- Alexandre Delpérier (1967), né à Bergerac, animateur de radio et de télévision.
- Michel Andrieux (1967), né à Bergerac, rameur d'aviron, champion olympique en 2000.
- Pascal Chanteur (1968), coureur cycliste des années 1990-2000.
- Stephen Lesfargues (1970), né à Bergerac, ancien international de baseball, directeur technique national.
- Tom Smith (1971) entraîneur de l'US Bergerac.
- Romain Teulet (1978), né à Bergerac, rugbyman jouant au Castres olympique.
- Jawad El Hajri (1979) né à Bergerac, est un footballeur international marocain.
- Julien Ranouil alias Pakito (1981), né à Bergerac, DJ-Producteur.
- Aurélie Vaneck (1982), a grandi à Bergerac, (Ninon dans le feuilleton télévisé Plus belle la vie).
- Samueli Naulu (1982-2013) joueur fidjien de l'US Bergerac.
- Julien Desprès (1983), formé au Sport nautique de Bergerac, champion d'aviron de niveau international.
- Thibaud Vaneck (1985), a grandi à Bergerac, (Nathan dans le feuilleton télévisé Plus belle la vie).
- Yohan Durand (1985), né à Bergerac, athlète vice-champion d'Europe espoirs 2007.
- Stany Delayre (1987), né à Bergerac, champion d'aviron de niveau international, entraîneur du Sport nautique de Bergerac.
- Rémi Granier (1987), né à Bergerac, volleyeur professionnel.
- Camille Grassineau (1990), née à Bergerac, joueuse française de rugby à sept et de rugby à XV.
- Kendji Girac (1996), chanteur et musicien, vivait à Bergerac lorsqu'il a gagné lors de la saison 3 de The Voice, la plus belle voix[106].
Cinéma
Plusieurs films et séries ont été tournés dans la commune en particulier :
- 1979 : Maigret et le fou de Bergerac téléfilm d'Yves Allégret[107].
- 1995 : La Rivière Espérance, feuilleton télévisé de Josée Dayan[108].
- 2005 : Le Sang des fraises, téléfilm de Manuel Poirier[107].
- 2008 : Tirez sur le caviste, téléfilm d'Emmanuelle Bercot[107].
- 2012 : Jappeloup, film de Christian Duguay[109].
Héraldique
![]() |
Blason | Parti, au 1er d'azur à trois fleurs de lys d'or mises en pal, au 2d de gueules au dragon d'or volant mis en pal[110]. |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
|
Alias | ![]() Alias du blason de Bergerac azur semé de fleurs de lys d'or ("de France ancien") a été remplacé peut-être abusivement en 1995 par azur à trois fleurs de lys d'or en pal("qui n'est pas de france moderne") |
Galerie
- Gare de Bergerac
- Gare en nocturne
- Tribunal en nocturne
- Mairie
- Vieux pont
- Vue sur Bergerac depuis le château de Monbazillac
- Une gabare en réparation sur le quai Salvette
- Ginkgo biloba en automne (jardins Desmartis)
- Une gabare dans le brouillard
Voir aussi
Bibliographie
- Henri Brives, René Costedoat, « Un plan de fortification de Bergerac en 1621 », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1997, 2e livraison, p. 275-288 (lire en ligne)
- Michel Combet, « Les élites municipales à Bergerac au XVIIIe siècle : étude prosopographique », dans Annales du Midi, 2000, tome 112, no 30, p. 183-199 (lire en ligne)
- Yann Laborie, « Les gabarres de Bergerac », dans revue Arkheia, no 21, 2009 (lire en ligne).
- Jean-Louis Audebert et Hervé Couton, « Les fresques et graffiti de la caserne Chanzy en Dordogne », dans revue Arkheia, no 17-18, 2006 (lire en ligne).
- Max Lagarrigue, « Le PCF dans le Sud-Ouest : centre et périphérie », dans revue Arkheia, nos 51-52 suppléments (lire en ligne).
- Daniel Garrigue, Le Roman de la 21 (histoire d'une déviation), 2010, Éditions Impression, (ISBN 978-2-917494-05-9)
- Anne-Marie Cocula-Vaillières, Michel Genty, Jean-Claude Ignace, Léonard Laborie, Yan Laborie, Bernard Lachaise et Serge Maury, ouvrage collectif sous la direction de Michel Combet, Histoire de Bergerac, 2017, Éditions Fanlac, 440 pages, (ISBN 978-2-86577-286-5)
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes : Encyclopædia Britannica • Gran Enciclopèdia Catalana
- Ressource relative à la géographie :
- Site officiel de l'office de tourisme
- Société archéologique du Midi, Pierre Garrigou Grandchamp, Inventaire des édifices domestiques romans et gothiques des XIIe, XIIIe et XIVe siècles dans le Périgord, août 2000
- Le Pays de Bergerac
- Bergerac sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références
Notes
- Démissionnaire.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2020, millésimée 2017, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2019, date de référence statistique : 1er janvier 2017.
Références
- « Bergerac », sur google.fr/maps.
- Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) – cliquer sur "itinéraires".
- « Les records météo absolus enregistrés en Périgord », Sud Ouest édition Dordogne, 22 février 2018, p. 11, d'après Météo France - Centre météorologique d'Agen.
- Données climatiques de la station de Bergerac sur Météo-France, consulté le 13 mars 2019.
- Climatologie de Bergerac sur Météociel, consulté le 12 mars 2020.
- PPR inondation - 24DDT20050012 - Bergeracois, DREAL Aquitaine, consulté le 18 février 2019.
- [PDF] Bergerac - Bergeracois - Plan de prévention du risque inondation (p. 1), DREAL Aquitaine, consulté le 18 février 2019.
- [PDF] Arrêté no 2014337-0002 portant approbation des cartes des surfaces inondables et des cartes des risques d'inondation pour les territoires à risque important d'inondation du bassin Adour-Garonne, DREAL Aquitaine, consulté le 10 mars 2019.
- Plan de zonage du TRI de Bergerac, DREAL Aquitaine, consulté le 10 mars 2019.
- PPR inondation - 24DDT20130002 - Le Caudeau, DREAL Aquitaine, consulté le 20 mars 2019.
- [PDF] Rivière le Caudeau – Bergerac - Plan de prévention du risque inondation p. 1, DREAL Aquitaine, consulté le 20 mars 2019.
- PPR risque industriel - 24DREAL20130012 - PPRT Bergerac, DREAL Aquitaine, consulté le 19 mars 2019.
- [PDF] Plan de prévention des risques technologiques la plate-forme industrielle de Bergerac, DREAL Aquitaine, consulté le 19 mars 2019.
- J. Castanet, Bergerac résumé historique, 1895
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 51-54.
- Eulogium Historiarum sive Temporis)
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 25 octobre 2013.
- « Corbiac, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées.
- [Bordes 1970] François Bordes, « Observations typologiques et techniques sur le Périgordien supérieur de Corbiac (Dordogne) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 67, no 4, , p. 105-113 (lire en ligne [sur persee], consulté le 5 mai 2019), p. 105.
- Bordes 1970, p. 113.
- « Bergerac, premier village du Néolithique du Sud-Ouest de la France », communiqué de presse de l’INRAP, (consulté le 5 mai 2019).
- « Retard pour la rocade Ouest de Bergerac », Sud Ouest édition Dordogne, 23 novembre 2012.
- Marquis de Pastoret, Ordonnances des Rois de France de la 3e Race, vol. 17 : Contenant les ordonnances rendues depuis le mois de juillet 1467 jusqu'au mois de mars 1473, Paris, impr. royale, , sur books.google.fr (lire en ligne), p. 494 : Lettres patentes de Louis XI, Saintes, mai 1472.
- Marquis de Pastoret, Ordonnances des Rois de France de la 3e Race, vol. 18 : Contenant les ordonnances rendues depuis le mois d'avril 1474 jusqu'au mois de mars 1481, Paris, impr. royale, , sur books.google.fr (lire en ligne), p. 463 : Lettres patentes de Louis XI, Plessis-du-Parc-lèz-Tours, mars 1479 (1478 avant Pâques).
- « Histoire du protestantisme dans la vallée de la Dordogne »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?). (voir la page sur http://archive.is.)
- Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Club France Loisirs, (ISBN 2-7242-0785-8)., p. 258
- Charles Durand, « La révolte du papier timbré advenue à Bergerac en 1675 », Bulletin de la société historique et archéologique du Périgord, t. 21, , p. 389-404.
- « Histoire de Bergerac »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?). La mairie de Bergerac a cru bon de supprimer cette bonne page informative et les informations qui s'y trouvaient ne sont maintenant visibles que sur lecoindescampingcars.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le 11 juin 2015).
- « Élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du ministère de l'Intérieur, (consulté le 31 mars 2014)
- Émilie Delpeyrat, Fontana et Frel, les deux grands déçus, Sud Ouest édition Périgueux du 25 mars 2014, p. 27.
- Émilie Delpeyrat, Garrigue et Rousseau, prêts à disputer la belle, Sud Ouest édition Périgueux du 27 mars 2014, p. 20c.
- Fiche de Daniel Garrigue pour la période 1993-1997 sur le site de l'Assemblée nationale, consultée le 16 septembre 2011.
- « Bergerac : Daniel Garrigue a été élu maire », Sud Ouest, 6 avril 2014.
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Bergerac, consultée le 27 octobre 2017
- La ville de Repentigny sur le site de la ville de Bergerac, consulté le 25 septembre 2014.
- La ville de Faenza sur le site de la ville de Bergerac, consulté le 25 septembre 2014.
- Grégoire Morizet, « Une union polonaise », Sud Ouest édition Périgueux, 12 octobre 2017, p. 21.
- « Jumelage », Sud Ouest édition Dordogne, 28 avril 2018, p. 13.
- Daniel Bozec, « Quand les Allemands sont demandeurs d'un jumelage », Sud Ouest édition Périgueux, 20 août 2018, p. 22.
- Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 4 décembre 2016.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016 et 2017.
- Unité urbaine de Bergerac (00553), Insee, consulté le 19 janvier 2018.
- « Séries historiques sur la population et le logement en 2014 - Unité urbaine de Bergerac (00553) », sur Insee (consulté le 25 janvier 2018)
- Aire urbaine de Bergerac (109), Insee, consulté le 19 janvier 2018.
- Séries historiques sur la population et le logement en 2014 - Aire urbaine de Bergerac (109), sur le site de l'Insee, consulté le 25 janvier 2018.
- « Le rendez-vous des chineurs passionnés », Sud Ouest, édition Dordogne, 22 mars 2019, p. 20.
- Daniel Bozec, « Trois jours de jazz », Sud Ouest édition Dordogne, 17 mai 2019, p. 26.
- Site officiel de la Grappe de Cyrano, consulté le 8 avril 2012.
- Sud Ouest édition Périgueux, 11 juillet 2009.
- Pauline Pierri, « Des signaux positifs », Sud Ouest, édition Dordogne, 2 juin 2015, p. 11.
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- Clinique Pasteur sur site de la Haute Autorité de Santé
- Sections USB
- Fiche de Radio Orion sur SchooP
- Ses studios sont situés rue du Vieux-Puits à Champcevinel, à proximité de Périgueux. Plus d'infos ici : Fiche de Chérie FM Dordogne sur SchooP
- Histoire de Bergerac 95
- Site web de Radio Vallée Bergerac
- Couverture de France Bleu Périgord
- Emetteurs TNT dans la Dordogne
- Site de la Fraternité Saint-Pierre, diocèse Périgueux-Sarlat
- Article Bergerac: la Fraternité Saint-Pie X agrandit son école de Valérie Hubert-Cassant, paru dans le quotidien Sud Ouest du 2 juillet 2015
- Page de l'église Saint-Jean des cordeliers - Site de la Fraternité Saint-Pie X
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- cimetière Beauferrier de Bergerac
- Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 673
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- cimetière protestant de Bergerac
- Hommage à Catherine Pozzi
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- Laurent Bonamy, Un tournage surtout bergeracois, Sud Ouest édition Dordogne du 1er mars 2013, p. 20a
- Depuis 1995, Ville de Bergerac : Armoiries de la ville
- D'azur semé de fleurs de lys d'or, party de gueules au serpent ailé d'or péri en pal dans : Victor Bouton, Nouveau traité des armoiries, ou, La science et l'art du blason expliqués, Paris : Denti, 1887, p. 488.
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