Bazas
Bazas (Vasats en occitan gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Bazas | |||||
Place de la Cathédrale. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Canton | Le Sud-Gironde | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Bazadais (siège) |
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Maire Mandat |
Bernard Bosset 2014-2020 |
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Code postal | 33430 | ||||
Code commune | 33036 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bazadais | ||||
Population municipale |
4 772 hab. (2017 ![]() |
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Densité | 128 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 25′ 58″ nord, 0° 12′ 38″ ouest | ||||
Altitude | Min. 34 m Max. 123 m |
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Superficie | 37,29 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.ville-bazas.fr | ||||
Capitale du Bazadais, ancien évêché, elle conserve une importante parure monumentale héritée en partie du Moyen Âge et symbolisée par la cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Géographie

La commune de Bazas se situe dans le sud-est du département, sur de légers reliefs à l'entrée de la forêt des Landes de Gascogne, à 59 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département et à 16 km au sud de Langon, chef-lieu d'arrondissement[1].
Communes limitrophes
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Les communes limitrophes en sont Cazats au nord, Brouqueyran au nord-nord-est, Lados et Gans au nord-est, Gajac à l'est-nord-est, Saint-Côme à l'est, Sauviac au sud-est, Cudos au sud, Marimbault au sud-ouest, Lignan-de-Bazas à l'ouest, Le Nizan au nord-ouest et Aubiac au nord-nord-ouest.
Voies de communication et transports
La commune est traversée par la route départementale D 12 reliant Auros au nord et la route nationale 524 au sud et par l'axe contigu des routes départementales D 3 et D 655, la première menant, vers l'ouest, à Villandraut et au-delà au bassin d'Arcachon, la seconde menant, vers l'est, à Grignols et Agen (Lot-et-Garonne).
Bazas est traversée par l'autoroute A65. Elle y est reliée par le diffuseur no 1, dit de Bazas, distant de 3 km du centre-ville.
Aucune ligne de chemin de fer ne dessert la commune, la gare SNCF la plus proche, distante de 16 km par la route vers le nord-est, étant celle de la Langon sur la ligne ferroviaire Bordeaux - Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.
Toponymie
Le nom de Bazas vient de civitas basatica, « cité des Vasates ». Son nom antique était Cossium, une latinisation de l'aquitanique *koiz, en gascon Coç, désignant un « tertre ».
En gascon, le nom de la commune est Vasats ou Bazats.
L'itinéraire de l'Anonyme de Bordeaux passe dans la région et mentionne ce site.
Histoire
À partir du 1er âge du fer, Bazas s’affirme comme une des places fortes du Sud-Ouest en se dotant de remparts et de portes monumentales qui lui confèrent très tôt un rôle militaire et une certaine suprématie.
D'après un poème de Paulin de Pella, en 414, la ville échappe à la destruction par les Goths[2].
La ville antique est située à l'est du plateau rocheux, autour de la cathédrale. Un second bourg marchand se forme au Moyen Age central à l'ouest de la vieille ville. La jonction des deux bourgs est réalisée par la construction d'une enceinte commune au XIIIe siècle, mais l'espace séparant les deux ensembles reste non construit, formant une gigantesque place centrale idéale pour servir de marché à cette ville carrefour, située au croisement des routes de Bordeaux, Bayonne et La Réole[3].
Cité épiscopale située sur le chemin du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, Bazas fut, jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, siège d’un diocèse. Siège du présidial, Bazas cumule les fonctions administratives et judiciaires et s’impose alors très vite comme une ville d'envergure. Son prestige lui vaut d'ailleurs les visites d'illustres personnages tels Richard Cœur de Lion et Charles Quint.
Elle est âprement disputée entre les troupes françaises et anglaises durant la guerre de Cent ans : elle est notamment assiégée en 1347 par les troupes anglaises, et en 1370 par les Français. Elle redevient définitivement française en 1441 lors de la prise de la ville[4].
Avant sa mort, le roi Louis XI confirme sa protection royale par lettres patentes en février 1483[5].
1561 est une date sombre dans l'histoire de Bazas touchée alors par les guerres de religion : les huguenots pénètrent dans la ville et dévastent la cathédrale. L'illustre évêque Arnaud de Pontac en sauve le triple portail d'une destruction totale et la restaure.
En 1562, le sire de Duras du parti huguenot prend la ville : il y coupe les lèvres des prêtres[6].
Louis XIV y loge à son retour de Saint-Jean-de-Luz où il avait épousé Marie-Thérèse d'Autriche[7].
Bazas a su conserver de cet âge d'or de superbes vestiges. Classée monument historique dès 1840, la cathédrale gothique est le plus important monument de la cité. Édifiée du XIe au XIVe siècles, elle fut rebâtie entre 1583 et 1655.
Sous l'Ancien Régime, Bazas était composée des paroisses Saint-Jean (cathédrale), Saint-Vincent de Cabouzits et son annexe Saint-Hippolyte, Saint-Martin et son annexe Notre-Dame-de-Conques, Saint-Romain de Poussignac, Notre-Dame du Mercadil et son annexe Saint-Romain de Tontoulon, Saint-Christophe de Guiron, Saint-Michel de Laprade et de la chapelle Saint-Antoine de l'hôpital[8].
Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.
Sous-préfecture jusqu'en 1926, au profit de Langon, qui récupère également le territoire de la sous-préfecture de La Réole.
Voir aussi : liste des évêques de Bazas.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Politique de développement durable
La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[12].
Jumelages
Population et société
Démographie
Les habitants sont appelés les Bazadais[14].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[16].
En 2017, la commune comptait 4 772 habitants[Note 1], en augmentation de 1,1 % par rapport à 2012 (Gironde : +6,72 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Services publics

Poste, gendarmerie, pompiers, écoles, collège, lycée, lycée professionnel et lycée agricole, hôpital, perception, DDE.
Manifestations culturelles et festivités
Pèlerinage de Compostelle
Sports

- Stade de Castagnolles : rugby, athlétisme ;
- Piscine municipale : natation ;
- 5 courts de tennis ;
- Fronton : pelote basque ;
- Salle pour la gymnastique artistique et sportive ;
- Gymnase Emmanuel-Sainte-Cluque : basket-ball, handball ;
- Stade de Pérette : football, tir à l'arc ;
- Salle Marcel-Martin : aïkido, judo, Ho-Shin-Soul, danse ;
- Salle du Casino : gymnastique, taekwondo, tennis de table ;
- Hippodrome de Castagnolles : équitation ;
- Cyclo-club ;
- Pelote basque ;
- Union Sportive Bazadaise (USB) : Rugby à XV, évoluant en championnat de fédérale 3.
Économie
- Berceau de la race bovine bazadaise. Polyculture et élevage, forêt des Landes dans la partie sud et ouest de son territoire.
- Industrie métallique : RD Productions (fabrication de portails), Transtechnic, Sotomeca, Malambic.
- Industrie du bois : fabrique de portes isoplane (Fonmarty et fils), meubles en teck (Cobex).
- Industrie agro-alimentaire : LDC Aquitaine (groupe LDC), Laurial, abattoir municipal, NPA (conserverie).
- Industries diverses : compteurs paragel (Persohn SA).
- Commerces et artisanat, banques, tourisme.
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
- Le jardin du chapitre avec ses vestiges du XVe siècle ;
- Le jardin du Sultan et sa roseraie ;
La poterne de la Brèche et la porte du Gisquet ainsi que divers vestiges de l'enceinte de Bazas, rue de Pontac, rue Bragous, place de la Taillade et allée de Tourny qui ont été inscrits en tant que monuments historiques en 1994[19] ; L'hôtel de ville qui a été inscrit monument historique en 1965[20] et son portique ; La place de la République prolongée à l'est par la cathédrale Saint-Jean-Baptiste. Cet édifice de 83 mètres de long est classé monument historique depuis 1840[21] et inscrit au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO dans le cadre des Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. Elle a été édifiée aux XIIIe et XIVe siècles sur le modèle des grandes cathédrales gothiques du nord de la France. La cathédrale a été dévastée en grande partie par les Huguenots, mais les portails, le plus bel exemple statuaire de Gironde, ont été épargnés. Le portail central est consacré au jugement dernier et à l'histoire de saint Jean-Baptiste. L'intérieur de l'édifice est remarquable par la perspective de la nef étroite et longue ; Sur la place de la République également, au no 23, la maison dite de l'Astronome protégée par inscription en tant que monument historique en 1990[22] ; Ancienne église Notre-Dame-du-Mercadil[23] (ou Notre-Dame dou Mercadilh en gascon), datant des XIIIe et XIVe siècles, dont certaines parties de façades ont été classées en 1923 à l'inventaire des monuments historiques et l'église inscrite dans sa totalité en 2008[24] ; Ancien hospice Saint-Antoine, inscrit monument historique en 2003[25], qui abrite la plus grande et la plus complète apothicairerie de France ; Maison, 12 rue Bragous. Hôtel de Bourges- Palais de justice du XIXe siècle dit aussi ancien présidial, faisant office de tribunal d'instance, fermé depuis le à la suite de la réforme de la carte judiciaire ;
- Hôtel de La Psalette, rue de la Taillade, construit au XVIe siècle, maison noble de chanoines de la cathédrale où logeait la manécanterie de la cathédrale ; la particularité de ce bâtiment est d'avoir une fenêtre à meneau en angle à chaque étage visible depuis la rue ;
- Couvent des Ursulines du XVIIe siècle ;
- Hippodrome du XIXe siècle ;
- Une douzaine de maisons à colombages ;
- Église Saint-Michel dans un lieu-dit au nord de la ville.
- Hospice de Bazas (septembre 2011).
- Le portique de la mairie (mars 2010).
- Le tribunal (mars 2010).
- Rue Fondespan, ruelle typique (août 2007).
- L'église Saint-Michel (juillet 2015).
Patrimoine naturel

Le lac de la Prade est une retenue d'eau artificielle (un lac de barrage) créée dans les années 1980 pour l'irrigation des terres agricoles. À cette vocation première, d'autres usages se sont ajoutés au fil des années (pêche ou promenade) et le lac est aujourd'hui géré et entretenu dans une optique plus écologique, orientée notamment vers l'accueil de l'avifaune. Le site est géré par le conservatoire d'espaces naturels d'Aquitaine[26] en partenariat avec la communauté de communes du Bazadais. Les modes de gestion appliqués favorisent une importante diversité végétale où se côtoient, depuis les zones humides jusqu'aux coteaux secs, toute une série de milieux intermédiaires abritant une flore caractéristique à chacun d'eux. Plus de 300 espèces végétales ont été recensées sur ce site, et cela, sans compter les mousses, les champignons, les lichens et les fougères. Un itinéraire de découverte est proposé au public, agrémenté de panneaux et panonceaux explicatifs. Un livret-guide est également disponible.
Personnalités liées à la commune
- Ausone, poète latin né à Bazas vers l'an 309.
- Vital du Four (1260-1327), cardinal franciscain et philosophe scolastique.
- Clément V (1264-1314).
- Arnaud de Pontac, évêque de Bazas de 1572 à 1605.
- Edme Mongin (1668-1746), évêque de Bazas et membre de l'Académie française.
- Pierre-Henry de Brocas (1762-1824), reçu le 11 mars 1814 le duc d'Angoulème pour son entrée dans Bazas lors de son retour en France. Décoré du Décoration du brassard de Bordeaux des fidèles à la famille de Bourbons (dynastie française). Il avait épousé Thérèse-Fanny de Mirambet. Famille de Brocas de Lanauze (La Nauze).
- Anatole de Monzie (1876-1947), homme politique français né à Bazas.
- François Mauriac (1885-1970), écrivain, né à Bordeaux, ayant de fortes attaches en sud-Gironde. Dans le roman Thérèse Desqueyroux, il évoque Bazas et son tribunal.
- Émile Constant, député de 1893 à 1919.
- Jean-Claude Samuel (1921-2015), international de football français né à Bazas.
- André Marceau (1946-), curé de Bazas (1992-2000), actuel évêque de Perpignan.
- Guillaume Bouic (1970-), international de rugby à XV né à Bazas.
Héraldique
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Les armes de Bazas se blasonnent ainsi : De gueules à la tour maçonnée de sable, donjonnée de deux pièces, mouvant du flanc senestre, adextrée de saint Jean Baptiste à genoux devant son bourreau contourné brandissant une épée, le tout d'or, sur une terrasse de même, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys aussi d'or[27]. « Les armoiries de Bazas étaient, de tout temps, de gueules à une décollation de saint Jean-Baptiste, représenté à genoux devant la porte d'une prison, tendant le cou au bourreau contourné, qui a le bras levé pour le décoller avec son coutelas ; le tout d'or et surmonté d'une couronne ducale. »[28] « En 1814, le duc d'Angoulême arriva incognito à Bazas et y fut reçu par le comte Pierre-Henry de Brocas de La Nauze et reconnu le 11 mars. Louis XVIII conserva toujours un souvenir de l'accueil bienveillant fait par les Bazadais à un prince du sang de leurs rois, et en témoignage de sa reconnaissance, autorisa la ville de Bazas, à la demande de M. D'Escure, sous-préfet, et de M. de Montfort, maire, d'ajouter à ses armoiries antiques un chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or, posées en face, avec la devise : Bazas, 11 mars 1814. »[28] |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel de la commune
- Office de tourisme du Bazadais
- Résultats du recensement de la population de Bazas sur le site de l'INSEE, consulté le 25 octobre 2011.
- Bazas sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2020, millésimée 2017, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2019, date de référence statistique : 1er janvier 2017.
Références
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 53,7 km pour Bordeaux et 13,3 km pour Langon. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 17 juin 2011.
- Perevalov S. M., Lebedynsky Iaroslav, Bazas 414 : la rupture de l'alliance alano-gothique, in Dialogues d'histoire ancienne, vol. 26, no 1, 2000, p. 175-193.
- Jean-Bernard Marquette, Bazas, Atlas historique des villes de France
- Léo Drouyn, La Guyenne Militaire
- Lettres patentes de Louis XI, Plessis-du-Parc-lèz-Tours, février 1483 (1482 avant Pâques)
- Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Club France Loisirs, (ISBN 2-7242-0785-8)., p. 234.
- plaque apposée sur la maison
- "content":["FRAD033_IR_4E_B_tt1-13",false,"sdx_q11"} Gironde Archives en ligne] sur les Archives départementales de Gironde.
- Maires de Bazas sur le site officiel de la commune.
- « Paul Marquette mis à l’honneur », sur sudouest.fr, (consulté le 3 janvier 2018)
- Commune de Bazas sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 5 juillet 2011.
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Bazas, consultée le 26 octobre 2017
- « Jumelage(s) de Bazas », sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures du Ministère des Affaires étrangères (consulté le 14 mars 2013)
- Nom des habitants des communes françaises sur habitants.fr, consulté le 5 juillet 2011.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016 et 2017.
- « Notice MH des vestiges de l'enceinte », notice no PA00132528, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 26 août 2011.
- « Notice MH de l'hôtel de ville », notice no PA00083133, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 26 août 2011.
- « Notice MH de la cathédrale Saint-Jean-Baptiste », notice no PA00083131, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 16 août 2010.
- « Notice MH de la maison de l'Astronome », notice no PA00132528, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 26 août 2011.
- Jacques Gardelles - Aquitaine gothique - pp. 151-152 - Picard - Paris - 1992 - (ISBN 2-7084-0421-0)
- « Notice MH de l'église Notre-Dame dou Mercadilh », notice no PA00083132, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 16 août 2010.
- « Notice MH de l'hospice », notice no PA33000072, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 26 août 2011.
- Le site du CEN Aquitaine
- Blason dessiné d'après un blason en pierre et celui d'une plaque de rue
- Source : Patrice-John O'Reilly, Essai sur l'histoire de la ville et de l'arrondissement de Bazas, , 478 p. (lire en ligne), p. 15 & 16
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