Fontenay-aux-Roses
Fontenay-aux-Roses (prononcer [fɔ̃tnɛoʁoz] ) est une commune française dans le département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France, dans l'arrondissement d'Antony, au sud-ouest de Paris.
Fontenay-aux-Roses | |||||
![]() L'hôtel de ville. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Île-de-France | ||||
Département | Hauts-de-Seine | ||||
Arrondissement | Antony | ||||
Canton | Châtillon | ||||
Intercommunalité | Métropole du Grand Paris EPT Vallée Sud Grand Paris (siège) |
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Maire Mandat |
Laurent Vastel 2014-2020 |
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Code postal | 92260 | ||||
Code commune | 92032 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Fontenaisiens | ||||
Population municipale |
24 564 hab. (2017 ![]() |
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Densité | 9 786 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 47′ 22″ nord, 2° 17′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 58 m Max. 164 m |
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Superficie | 2,51 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | fontenay-aux-roses.fr | ||||
Elle se situe à huit kilomètres de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Elle était en 2014 la quarante-cinquième ville la plus densément peuplée de France[1].
Géographie
Localisation

Fontenay-aux-Roses est une ville de la proche-banlieue sud de Paris située entre les régions naturelles de France du Hurepoix et du Mantois, elle est située à 8,8 kilomètres de la cathédrale Notre-Dame de Paris[2].
Fontenay-aux-Roses est limitrophe des villes de Bagneux, Châtillon, Clamart, Le Plessis-Robinson et Sceaux[3]. Bourg-la-Reine, Châtenay-Malabry, Paris, Antony, Malakoff et Vanves ne sont pas directement limitrophes mais sont situées non loin[3]. Fontenay-aux-Roses est traversée par la Coulée verte du sud parisien qui reprend une partie de la via Turonensis, l'une des quatre chemins de France du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle[3].
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 251 hectares ; l'altitude varie de 58 à 164 mètres[4] pour une moyenne de 100 mètres[5].
Située à 8,8 kilomètres au sud-ouest de la cathédrale Notre-Dame de Paris[6] et à 3,98 kilomètres de la porte de Châtillon, Fontenay-aux-Roses est localisée sur le plateau de Châtillon, à flanc d'un coteau dont le point le plus bas se situe au niveau de l'église des Blagis et le point culminant au Panorama. La commune bénéficie d'une situation géographique stratégique[7].
Climat
Le climat de Fontenay-aux-Roses est de type océanique dégradé. La station d'observation la plus utilisée pour la météorologie à Fontenay-aux-Roses est celle de Paris - Montsouris (à Paris)[8],[9], commune située près de Fontenay-aux-Roses.
Le parc Montsouris fait des relevés depuis 1873 chaque jour à Paris et la station est devenue la station de référence pour Paris et quelques communes très proches de la capitale. Paris - Montsouris a un climat de type « CFB » (océanique) avec comme record de chaleur 40,4 °C le et comme record de froid -−23,9 °C le . La température moyenne annuelle (entre 1971 et 2000) est de 12,1 °C
Le climat dans les départements de la petite couronne parisienne est caractérisé par un ensoleillement et des précipitations assez faibles. Le tableau suivant permet de comparer le climat de la commune de Fontenay-aux-Roses avec celui de quelques grandes villes françaises :
Ville | Ensoleillement![]() |
Pluie![]() | Neige![]() | Orage![]() | Brouillard![]() |
---|---|---|---|---|---|
Moyenne nationale | 1 973 | 770 | 14 | 22 | 40 |
Paris - Montsouris[10] (Fontenay-aux-Roses) | 1 630 | 642 | 15 | 19 | 13 |
Paris | 1 661 | 637 | 12 | 18 | 10 |
Nice | 2 724 | 733 | 1 | 29 | 1 |
Strasbourg | 1 693 | 665 | 29 | 29 | 53 |
Brest | 1 605 | 1 211 | 7 | 12 | 75 |
Le tableau suivant donne les moyennes mensuelles de température et de précipitations pour la station de Paris - Montsouris recueillies sur la période depuis 1873 :
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 2,5 | 2,8 | 5,1 | 6,8 | 10,5 | 13,3 | 15,5 | 15,4 | 12,5 | 9,2 | 5,3 | 3,6 | 8,6 |
Température moyenne (°C) | 4,7 | 5,5 | 8,4 | 10,8 | 14,8 | 17,6 | 20 | 20 | 16,7 | 12,6 | 7,9 | 5,7 | 12,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,9 | 8,2 | 11,8 | 14,7 | 19 | 21,8 | 24,4 | 24,6 | 20,8 | 15,8 | 10,4 | 7,8 | 15,5 |
Record de froid (°C) date du record |
−14,6 23/1/1940 |
−14,7 2/2/1956 |
−9,1 3/3/1890 |
−3,5 13/4/1879 |
−0,1 7/5/1874 |
3,1 10/6/1881 |
6 3/7/1907 |
6,3 29/8/1881 |
1,8 26/9/1889 |
−3,1 27/10/1887 29/10/1890 |
−14 28/11/1890 |
−23,9 10/12/1879 |
−23,9 10/12/1879 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,1 5/1/1999 |
21,4 28/2/1960 |
25,7 25/3/1955 |
30,2 18/4/1949 |
34,8 24/5/1922 29/5/1944 |
37,6 26/6/1947 |
40,4 28/7/1947 |
39,5 11/8/2003 |
36,2 7/9/1895 |
28,4 6/10/1921 |
21 2/11/1899 |
17,1 16/12/1989 |
40,4 28/7/1947 |
Nombre de jours avec gel | 7,5 | 6,5 | 1,57 | 0,23 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0,03 | 2,63 | 6,17 | 24,63 |
Ensoleillement (h) | 59,4 | 85,6 | 127,8 | 165,6 | 197,6 | 200,5 | 227,4 | 230,7 | 174,3 | 125,5 | 79,8 | 50,6 | 1 724,6 |
Précipitations (mm) | 53,7 | 43,7 | 48,5 | 53 | 65 | 54,6 | 63,2 | 43 | 54,7 | 59,7 | 52 | 58,7 | 649,8 |
Record de pluie en 24 h (mm) date du record |
31 21/1/1995 |
35,3 2/2/1941 |
31,3 13/3/1980 7/3/1989 |
29 30/4/1993 |
68,2 31/5/1992 |
57,5 24/6/1960 |
104,2 6/7/2001 |
95,7 24/8/1987 |
40,2 14/9/1942 |
74,1 17/10/1920 |
38,7 20/11/1965 |
44,4 6/12/1904 |
104,2 6/7/2001 |
Nombre de jours avec précipitations | 10,2 | 9,33 | 10,4 | 9,37 | 10,3 | 8,63 | 7,97 | 6,87 | 8,47 | 9,47 | 9,73 | 10,7 | 111,43 |
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 5 mm | 3,77 | 2,83 | 3,17 | 3,6 | 4,57 | 3,53 | 3,9 | 2,67 | 3,77 | 3,47 | 3,83 | 4,17 | 43,26 |
Voies de communication et transports
Voies routières
Fontenay-aux-Roses est principalement desservie par la route départementale 906[12] (anciennement appelée route nationale 306) qui la traverse sur toute sa longueur.
Traversant Fontenay-aux-Roses d'est en ouest, c'est la route départementale 128 ; puis du nord au sud, il s'agit des routes départementales 63 et 67 ; du nord à l'est c'est la route départementale 68 et enfin à l'est il s'agit de la route départementale D 74a.
Pistes cyclables
Début 2010, Fontenay-aux-Roses est traversée par une piste cyclable à l'intérieur de la Coulée verte[13] ; à l'intérieur de la ville, il existe plusieurs pistes avec bandes cyclables sur la voirie, notamment rue Paul-Langevin, avenue Lombard, rue Antoine-Petit[14].
Une piste cyclable est également en cours d'aménagement (été 2010) et relie l'étang Colbert du Plessis-Robison au parc André-Malraux de Châtillon en passant par le square du Panorama à Fontenay-aux-Roses[15].
La commune a commencé à généraliser les double-sens cyclables en zone 30, notamment boulevard de la République, rue René-Isidore[16].
Un groupe de travail sur le vélo dans la ville a été constitué en janvier 2011[17] et un premier double-sens cyclable a été aménagé en février 2011 sur le boulevard de la République.
Transports en commun
Historique

Autrefois, Fontenay-aux-Roses était desservie par la ligne 86 du tramway, maintenant disparue. Cette ligne dont le terminus vers la banlieue était la mairie de Fontenay-aux-Roses amenait dans un premier temps les voyageurs jusqu'à Saint-Germain-des-Prés, puis dans un second temps dans le quartier des Halles devant l'hôtel de ville de Paris. Afin de se rendre compte des trajets effectués à l'époque en centre-ville, des vidéos en noir et blanc, respectant l'ancienne structuration de la ville et son architecture ont été réalisées, et mises en ligne.
Aujourd'hui
Réseau Express Régional

Fontenay-aux-Roses est reliée au réseau RER par l'intermédiaire de la station Fontenay-aux-Roses de la ligne B du RER, et, à 400 mètres au sud-est, par la station Robinson de cette même ligne B mais située à Sceaux.
Par le RER B, Fontenay-aux-Roses est proche des gares parisiennes. De la gare de Fontenay-aux-Roses, on atteint la gare du Nord en 28 minutes (liaison directe par le RER), la gare de Lyon en 23 minutes également, la gare Saint-Lazare en 27 minutes[18].
Fontenay-aux-Roses est également proche de la gare de Massy TGV que l'on atteint en 10 minutes par le RER B et ses correspondances. Cette gare a la particularité d'être à la fois une des gares nouvelles de l'Île-de-France desservie par les TGV Province-Province, et une des gares nouvelles d'une ligne radiale, la LGV Atlantique. C'est ainsi que certains trains desservent à la fois la gare de Paris-Montparnasse et cette gare. Il n'est donc plus utile d'aller à Paris pour prendre ces TGV.
Tramway d'Île-de-France
La commune est traversée par le T6 (Châtillon à Viroflay) en correspondance avec la ligne 13 du métro de Paris[19] si bien que la place de la Division-Leclerc est en cours de transformation depuis juillet 2010. Longue de quatorze kilomètres, la ligne T6 comporte vingt-et-une stations dont deux souterraines. Un passage toutes les quatre minutes entre deux rames en période de pointe (sept minutes en périodes creuses). Ce grand projet permettra d'atteindre rapidement les neuf villes desservies, il relie le département des Hauts-de-Seine à celui des Yvelines. Le budget de la création de la ligne s'élève à environ 384 millions d'euros (financé par l'État, la région Île-de-France, les conseils généraux des Hauts-de-Seine et des Yvelines, ainsi que la RATP). Quant à la maîtrise d'ouvrage elle est assurée par les deux conseils généraux et la RATP[20].
Autobus d'Île-de-France
Quatorze lignes de bus relient Fontenay-aux-Roses à Paris et aux communes limitrophes, via les réseaux de bus de l'Île-de-France[21],[22] :
- Douze lignes du réseau RATP :
RATP 128 162 188 194 195 294 390 394 395 475 594 ; - Deux lignes du réseau Noctilien :
; - Quatre lignes du réseau de bus Paladin[23] : 6 14 15 16.
Fontenay-aux-Roses dispose d'un dépôt de bus RATP (Centre Bus de Fontenay-aux-Roses). Deux bus locaux complètent le réseau RATP.
Le Petit Fontenaisien
Le petit fontenaisien mis en place à la demande de la ville par la Communauté d’agglomération Sud-de-Seine. Son trajet concerne les quartiers mal desservis par les bus actuels[24].
Le Mobi'Bus
« Le Mobi'Bus » destiné aux personnes de plus de 65 ans ou éprouvant des difficultés à se déplacer leur permet, par un simple appel durant toute l’année hors vacances scolaires, d'accomplir leurs démarches quotidiennes (administrations, rendez-vous médicaux, activités collectives, loisirs…) à Fontenay-aux-Roses et dans les communes limitrophes[25].
Transport aérien et accès à l'aéroport
Fontenay-aux-Roses est située non loin de l'aéroport d'Orly. Depuis le , on peut en un peu plus de quinze minutes le rejoindre par l'Orlyval, métro léger de type VAL à petit gabarit, à partir de la station Antony du RER B qu'on peut atteindre de Fontenay-aux-Roses par ce dernier. L'exploitation de cette ligne est assurée par la RATP ; elle a une tarification particulière qui ne l'inclut pas dans le régime forfaitaire du passe NAVIGO[26].
De plus, les aéroports de Roissy et du Bourget sont accessibles directement par la ligne B du RER (en environ 55 minutes)[27].
Urbanisme
Morphologie urbaine
La commune compte cinq quartiers distincts[28] :
- Le quartier Pervenches - Val Content, au nord-ouest.
- Le quartier Parc - Centre-Ville, au nord.
- Le quartier Scarron - Sorrières, au nord-est.
- Le quartier Ormeaux - Renards, au sud-ouest.
- Le quartier Blagis - Gare, au sud-est.
Type d'occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Espace urbain construit | 85,91 % | 215,8 |
Espace urbain non construit | 14,09 % | 35,38 |
Espace rural | 0,00 % | 0,00 |
Source : Iaurif[29] |
La vitesse est limitée à « 30 km/h » sur l'ensemble des voies de circulation. Cette limitation est indiquée aux conducteurs aux entrées dans la commune, sur les panneaux et les plans de la ville. L’Insee découpe la commune en onze îlots regroupés pour l'information statistique soit Scarron, Buffets – Fauvettes, Paradis – Blagis, Gare – La Roue, Parc, Pierrelais, Pervenches, Val Content, Ormeaux, Renards, RER - Lombart[30].
Logement
La ville de Fontenay-aux-Roses comptait 11 497 logements en 2015[31], dont environ 16,5 % de maisons et 43,8 % de logements locatifs sociaux[32].
Projets d'aménagements
Les projets d'aménagements de la ville sont détaillés dans un local mis à la disposition des habitants nommé « Fontenay Scope », et sur le site internet de la commune[33].
Un certain nombre de projets immobiliers voient le jour au cours du dernier mandat, et les autorisations d'urbanisme délivrées depuis le mois d'avril 2018 sont consultables sur le site de la mairie[34]. Cela fait suite à l'adoption d'un nouveau PLU qui rend certains terrains plus constructibles pour les promoteurs[35]. Des programmes immobiliers, érigés sur des terrains non bâtis, ou en lieu et place de pavillons ou d'immeubles existants sont donc prévus, parmi lesquels :
- 33 logements rue Auguste Lemaire ;
- 38 logements rue des Potiers ;
- 59 logements avenue Gabriel Péri ;
- 25 logements rue Marx Dormoy (côté pair) ;
- 121 logements rue Marx Dormoy (côté impair) ;
- 46 logements avenue Paul Langevin (côté impair) ;
- logements place du Général de Gaulle (côté pair) ;
- 29 logements rue Boucicaut (côté pair).
Outre ces projets, d'autres chantiers urbanistiques et des réhabilitations d'espaces publics sont prévus :
- réfection de la place du Général de Gaulle, construction d'un « pavillon folie » et d'un immeuble en fond de place[36] ;
- réfection de la place de la Cavée, et construction de trois immeubles pour environ 180 logements[37] ;
- construction d'un immeuble dans le quartier des Mouilleboeufs, avenue Paul Langevin (côté pair) ;
- refonte totale du quartier des Paradis et renouvellement urbain, avec l'émergence de 600 logements supplémentaires[38].
Toponymie
La première partie de son nom lui vient des nombreuses sources qui ruissellent sur son territoire, à flanc de coteau du plateau de Châtillon[39].
La deuxième partie de son nom s'explique par la faveur que connut la culture de cette fleur à partir du XVIIe siècle jusqu'au milieu du XIXe siècle. Le village eut en particulier le privilège exclusif de fournir en roses le Roi-Soleil. Cela explique en partie l'attrait que le bourg a exercé sur les membres de la Société des Rosati de Paris, qui s'y réunirent chaque année de 1892 à 1992 et décernaient un titre de « Rosati d'honneur »[40]
Histoire
En 1168, cette seigneurie appartenait à l'abbaye Sainte-Geneviève de Paris.
La commune ne fut longtemps qu'un hameau de Bagneux. Quand cet écart devint assez important pour avoir sa propre église à la fin du XIIIe siècle, il continua de s'appeler Fontenay-sous-Bagneux. Ce n'est qu'au milieu du XVIIe siècle que le village acquit une autonomie nominale et devint alors Fontenay-aux-Roses, mais longtemps, son histoire s'inséra dans celle du « village mère » et dans celle de Paris dont les liens et l'interdépendance avec la banlieue sont considérables[41].
Au Moyen Âge le territoire de la commune est partagé par trois communautés ecclésiastiques[42] :
- L'abbaye Sainte-Geneviève de Paris possède du XIe siècle à 1588 un fief dont les terres longent la commune de Bagneux.
- L'abbaye de Saint-Germain-des-Prés disposait du XIIe siècle à 1789 des terres limitrophes à Châtillon.
- Une dernière partie appartenait de 805 à 1789 au chapitre de la cathédrale Notre-Dame de Paris.
En 1675, elle fut vendue au célèbre Colbert.
En 1701, passa au duc du Maine fils naturel de Louis XIV.
L'église présente l’œuvre de trois siècles différents, mais la plus grande partie est du XVe siècle On y trouve l'ancienne maison de Paul Scarron.
Le surnom « aux roses » est dû aux rosiers qu'on y a très anciennement cultivés[43].
Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux
Jusqu’à la loi du 10 juillet 1964[44], la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au département des Hauts-de-Seine à la suite d'un transfert administratif effectif le .
La commune constituait historiquement le canton de Fontenay-aux-Roses. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Châtillon.
Fontenay-aux-Roses relève du tribunal d'instance d'Antony, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du tribunal de commerce de Nanterre, du conseil de prud'hommes de Boulogne-Billancourt, de la cour d'appel de Versailles, du tribunal administratif de Cergy-Pontoise et de la cour administrative d'appel de Versailles[45].
Intercommunalité
La commune était membre fondateur de la communauté d'agglomération Sud de Seine, créée en 2005.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée[46].
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (Loi NOTRe) prévoit également la création le d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées.
La commune fait donc partie depuis le de l'établissement public territorial Vallée Sud Grand Paris, créé par un décret du 11 décembre 2016[47].
L'EPT exerce, outre les compétences attribuées par la loi à cette catégorie d'établissement public de coopération intercommunale (EPCI), celles que les communes avaient transféré aux anciennes intercommunalités supprimées à l'occasion de sa création :
- Communauté de communes de Châtillon-Montrouge (Montrouge, Châtillon) ;
- Communauté d'agglomération des Hauts-de-Bièvre (Châtenay-Malabry, Antony, Bourg-la-Reine, Le Plessis-Robinson, Sceaux dans les Hauts-de-Seine – les deux communes essonniennes de Verrières-le-Buisson et Wissous ayant rattachées à la communauté d'agglomération Communauté Paris-Saclay) ;
- Communauté d'agglomération Sud de Seine (Fontenay-aux-Roses, Bagneux, Clamart, Malakoff).
Tendances politiques et résultats électoraux
Administration municipale
Au cours du mandat 2014-2020, le conseil municipal de la ville est composé de trente-cinq conseillers municipaux, dont le maire. Au mois de mars 2020, la municipalité compte neuf maires-adjoints, un adjoint de quartier et six conseillers municipaux délégués, tous issus de la liste arrivée en tête au second tour des élections municipales. L'opposition y est représentée par 12 conseillers municipaux[48].
Les séances du conseil municipal sont publiques et retransmises en différé sur le site internet de la ville, ainsi que sur sa chaine YouTube[49]. Les ordres du jour sont également communiqués à l'avance sur le site de la ville.
Les sièges au sein du conseil municipal de Fontenay-aux-Roses sont actuellement répartis de la façon suivante[50] :
Groupe | Effectif | Statut | ||
---|---|---|---|---|
Groupe associatif et citoyen | 5 | opposition | ||
PRG - EELV | 4 | opposition | ||
PCF - PS | 3 | opposition | ||
Fontenay tous ensemble | 23 | majorité |
Un conseil municipal se tient le 24 janvier 2018[51] après l'exclusion quelques jours auparavant de cinq élus de la majorité municipale, dont deux d'entre-eux se sont vus retirer leurs délégations d'adjoint par le maire[52]. Ce conseil municipal marque la constitution d'un nouveau groupe d'opposition intitulé « Groupe associatif et citoyen »[53].
Liste des maires
Jumelages
Au 16 juin 2019, Fontenay-aux-Roses est jumelée avec :
Wiesloch (Allemagne) depuis 1974[59] Borehamwood (Royaume-Uni) depuis 1982[59] Ząbkowice Śląskie (Pologne) depuis 2014[59]
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[60],[Note 1].
En 2017, la commune comptait 24 564 habitants[Note 2], en augmentation de 7,43 % par rapport à 2012 (Hauts-de-Seine : +1,44 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Pyramide des âges (2014)
Établissements scolaires
La ville administre 6 écoles maternelles (la Roue, Scarron, Le Parc-Jean-Macé, les Ormeaux, les Renards, les Pervenches) et 6 écoles élémentaires communales (la Roue A, la Roue B, le Parc (école ancienne de plus de 150 ans, qui servit d’hôpital pendant la Seconde Guerre mondiale), les Ormeaux, les Renards et les Pervenches). Il existe également un établissement privé, Saint-Vincent-de-Paul au niveau maternelle et primaire, sans oublier le lycée privé professionnel Saint-François-d'Assise.
Le département gère le collège des Ormeaux et la région Île-de-France le lycée Saint François d'Assise.
Vie universitaire
- De 1881 à 2000 : École normale supérieure de Fontenay-aux-Roses puis de Fontenay - Saint-Cloud (1985).
- De 2002 à 2005 : « Pôle universitaire des Arts et de la Culture » de l'université Paris-1 Panthéon-Sorbonne (dans les anciens locaux de l'ENS, en remplacement du centre Saint-Charles à Paris, alors en travaux).
- Depuis 2010 : « Pôle d'enseignement et de recherche sur la santé et l'environnement » de l'université Paris-Sud, toujours dans les anciens locaux de l'ENS, qui, rénovés en 2013, servent également de résidence universitaire.
Une École normale supérieure, fondée par Félix Pécaut en 1880, y a longtemps formé des jeunes filles (chantées par Maxime Le Forestier, avant de devenir mixte en 1981. Devenue spécialisée dans les lettres et les humanités en 1985 sous le nom d'École normale supérieure de Fontenay-Saint-Cloud, elle est finalement délocalisée à Lyon en 2000 pour constituer l'ÉNS Lettres et Sciences humaines. Les locaux ont accueilli de 2002 à 2005 l'UFR d'arts plastiques de l'université Paris-1 Panthéon-Sorbonne.
Manifestations culturelles et festivités
- Février : Forum des métiers (depuis 2004)
- Juin :
- Carnaval de la ville
- Fête de la ville.
- Fête du quartier des Blagis
- Fête de la musique.
- Septembre :
- Forum des Associations
- Octobre : Brocante (depuis 1994).
Santé
À Fontenay-aux-Roses, se trouvent :
Sports
L'Association sportive fontenaisienne (ASF) permet la pratique de 24 sports (23 sections), 4 000 adhérents[68].
La municipalité administre une piscine (bassin de vingt-cinq mètres, sauna, hammam, solarium extérieur, espace de musculation)[69] et un club de tennis[70].
Médias
Après la Première Guerre mondiale, le fonctionnement, de plus en plus complexe, des collectivités mais aussi l'extension urbaine et démographique propre à Fontenay-aux-Roses remettent peu à peu en cause la portée du tambour qui était efficace lorsque la majorité des habitants travaillait sur le territoire et se transmettaient entre eux l'information. C'est ainsi qu'en 1931 est créé le premier magazine municipal. Cette publication, centrée sur la présentation du budget, n'a pourtant pas de suite avant 1959 et l'impression d'un véritable bulletin périodique. Le premier numéro, composé de huit pages, ne comporte qu'une photographie. Il présente les principales réalisations de la municipalité et donne des renseignements utiles (tour des gardes des médecins, adresses des services publics…). Les photos et les pages se multiplient de 1964, la couverture adopte la couleur en 1976 et l'ensemble devient mensuel en 1984. Diffusé aujourd'hui à environ 14 000 exemplaires[réf. nécessaire], le Fontenay Magazine a, depuis le début des années 2000, un complément avec le site Internet de la ville[71].
Depuis avril 2012, un collectif de citoyens a lancé un journal local en ligne intitulé « Les nouvelles de Fontenay-aux-Roses » et ouvert à tous les habitants[72],[73].
Cultes
Les Fontenaisiens disposent de lieux de culte catholique, israélite, et musulman.
Culte catholique


Depuis janvier 2010, la commune de Fontenay-aux-Roses fait partie du doyenné de la Pointe Sud, l'un des neuf doyennés du diocèse de Nanterre[74].
Au sein de ce doyenné, le territoire de Fontenay-aux-Roses relève de trois paroisses différentes[75] :
- Paroisse Saint-Pierre-Saint-Paul (entièrement incluse dans Fontenay-aux-Roses, c'est la paroisse de centre-ville)[76] : l'église Saint-Pierre-Saint-Paul et la chapelle Sainte-Rita[77],[78]
- Paroisse Saint-Stanislas des Blagis (couvrant l'est de Fontenay-aux-Roses et une partie de Bagneux) : l'église Saint-Stanislas des Blagis, sur le territoire de Fontenay-aux-Roses
- Paroisse Sainte-Bathilde (couvrant le sud de Fontenay-aux-Roses et des parties de Châtenay-Malabry, de Sceaux, et du Plessis-Robinson) : l'église Sainte-Bathilde, située sur le territoire de Châtenay-Malabry
Culte musulman
La ville compte une mosquée prenant la forme d'une salle de prière, située rue Paul Verlaine, et gérée par l'association des musulmans de Fontenay-aux-Roses. Celle-ci a été fermée en octobre 2017 par la préfecture dans un contexte d'état d'urgence dans le pays pour cause de provocations et d'apologie du terrorisme, avant de rouvrir un mois plus tard à la suite d'un réexamen des critères sur les fermetures de lieux de cultes[80]. Le lieu accueillerait en 2017 environ 400 fidèles chaque semaine[81].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 37 121 €, ce qui plaçait Fontenay-aux-Roses au 4 431e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[82]. En 2011, il était de 38 107 €, ce qui plaçait Fontenay-aux-Roses au 4 525e rang parmi les 31 886 communes de plus de 39 ménages en métropole[83].
En 2011, on dénombrait 240 ménages fontenaisiens redevables de l'impôt sur la fortune ; le montant moyen de l'impôt sur la fortune à Fontenay-aux-Roses était de 6 546 €/an contre 10 616 €/an au niveau de la moyenne nationale ; et le patrimoine moyen des redevables fontenaisiens de l'ISF était de 1 977 335 €[84].
Emploi
La commune de Fontenay-aux-Roses fait partie de la zone d’emploi de Boulogne-Billancourt[85]. Fontenay-aux-Roses connait un taux de chômage de 7,5 % selon le recensement de 1999[86] contre une moyenne nationale de 12,9 %. Et offre de nombreux emplois grâce à la Maison de l’Économie et de l’Emploi qui propose, dans un seul lieu, toutes les informations et les services liés à l’insertion professionnelle et à l’emploi ainsi que les outils nécessaires. Elle héberge différents services en fonction du public.
Structure des emplois à Fontenay-aux-Roses, selon le recensement de 2010
Agriculteurs | Artisans, commerçants, chefs d'entreprise | Cadres, professions intellectuelles | Professions intermédiaires | Employés | Ouvriers | |
---|---|---|---|---|---|---|
Fontenay-aux-Roses | 0 % | 3 % | 33 % | 27,1 % | 26 % | 10 % |
Moyenne des villes | 6,8 % | 7,2 % | 9,2 % | 21,8 % | 26,8 % | 27,6 % |
Sources des données : INSEE[87] |
Entreprises et commerces
Le nombre total d'établissements est d'environ 667 (en décembre 2004). Ce qui place Fontenay-aux-Roses au 676e rang national[88]. Les établissements de l'industrie agricole et alimentaire représentent 1,5 % du nombre total d'entreprises avec un nombre de dix établissements, les industries des biens de consommation représentent 2,2 % avec quinze établissements, les industries automobiles ne comptent aucune entreprise, les industries des biens d'équipement représentent une part de 1,0 % avec sept entreprises. L'industrie des biens intermédiaires comporte quatre entreprises soit 0,6 %, l'énergie s'élève à 0,9 % avec six entreprises, la construction avec ses cinquante entreprises représente 7,5 %, le commerce représente pas moins de 21,0 % du nombre total d'entreprises avec cent quarante établissements, le transport comprend dix-neuf établissements soit 2,8 %. Les activités immobilières totalisent quatorze entreprises soit 2,1 %, les services aux entreprises représentent 27,9 % avec cent quatre-vingt-six établissements, les services aux particuliers comprennent quatre-vingt-huit entreprises soit 13,2 % et enfin pour ce qui touche au dernier type d'établissement à savoir l'éducation, la santé et l'action sociale on dénombre cent vingt-huit entreprises soit 19,2 % du nombre d'établissements total. La disparition progressive des commerces de bouche au profit de commerces et d'activités de service (optique, agences immobilières) est une question périodiquement soulevée.
Fontenay-aux-Roses abrite, dans l'ancien fort de Châtillon, un établissement du Commissariat à l'énergie atomique, où fut notamment activée la fameuse pile Zoé et désactivé le MolMan. Le CEA de Fontenay-aux-Roses s'oriente aujourd'hui vers les sciences du vivant, en remplacement de la recherche nucléaire, afin de limiter les risques d'une telle activité en pleine agglomération[89].
Près du CEA se trouve le siège du LCIE Bureau Veritas (filiale du Bureau Veritas), qui délivre des certificats de conformités sur les appareils électriques[90].
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
La commune comprend de nombreux monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel de la France[91].
Monuments

Église Saint-Stanislas des Blagis
L'église Saint-Stanislas des Blagis a été construite entre 1934 et 1936 par l'architecte Georges Braive et l'ingénieur Jean Braive[92]. Elle fait partie du programme de construction d'églises nouvelles de l'Œuvre des Chantiers du Cardinal et a été consacrée en 1936. L'histoire de cette église est narrée à travers une plaque commémorative à l'entrée du lieu de culte. Par ailleurs, les vitraux de cette église sont entièrement réalisés en verres spéciaux de Saint-Gobain[92].
Église Saint-Pierre-Saint-Paul
D'après des vestiges, il semblerait que le premier lieu de culte de Fontenay-aux-Roses soit une chapelle datant du XIIIe siècle dédiée à saint Pierre construite sur une église primitive du Xe siècle. Sur ses décombres, l'église, reconstruite en 1550, perdure en mauvais état jusque sous le règne de Louis-Philippe Ier. En 1796, l'état de ruine de l'édifice nécessitera sa démolition[93].
Sa reconstruction, validée par le conseil municipal fontenaisien, est confiée en 1832 à l'architecte Auguste Molinos. Des travaux d'amélioration sont alors effectués entre 1835 et 1836, sur décision de l'architecte Visconti, en raison de défauts de construction et des mauvais matériaux utilisés lors du premier chantier. Des dégradations dues aux pierres friables rendent nécessaire la rénovation du clocher qui est prise en charge en 1968 par la municipalité[94].
Collège Sainte-Barbe-des-Champs

Ce château a été construit dans la première moitié du XVIIIe siècle à l'emplacement d'une ancienne maison seigneuriale vouée à Sainte Geneviève. Cet édifice est acheté en 1851 par le collège Sainte-Barbe de Paris qui réaménage l'édifice en 1852[95], et ce, par l'architecte Henri Labrouste[96]. L'aile donnant sur le jardin, et l'aile ouest ont été construites entre 1854 et 1862. Le collège Sainte-Barbe quitte la commune en 1899. Le château est alors racheté par le séminaire Notre-Dame-des-Champs de Paris, ce dernier fera reconstruire l'ancienne chapelle de 1862. Les bâtiments sont d'abord saisis, puis attribués à la commune de Fontenay-aux-Roses (en 1907) à la suite de la séparation de l'Église et de l'État de 1905. Par la suite, des logements sont aménagés en 1927 par l'architecte Georges Boiret. En 1937, une garderie est installée au rez-de-chaussée puis une école est installée dans l'aile donnant sur le jardin. La chapelle est démolie en 1974, puis en 1990 les anciens bâtiments de la cour sont démolis à leur tour. Depuis 2004 - 2005, une médiathèque a été aménagée dans l'aile est, et le jardin est accessible au public[97].
Valery Larbaud est pensionnaire du collège Sainte-Barbe-des-Champs de 1891 à 1895. Il s'en inspire pour le collège Saint-Augustin, cadre de son roman Fermina Márquez[98].
Autres monuments
- Château Laboissière, du nom d'un de ses anciens propriétaires du XIXe siècle, Charles Pillault Laboissière. Édifié à la fin du XVIIe siècle pour Denis Thierry, éditeur des Fables de La Fontaine, le château est racheté en 1720 par Pierre Saintard, directeur de la Compagnie des Indes ; revendu en 1747, il passera entre plusieurs mains. Propriété des établissements Citroën en 1955, le château est actuellement propriété de la commune et, après travaux, abrite le Conservatoire à rayonnement intercommunal de musique et de danse, Maison de la musique et de la danse.
- Centre maternel Ledru-Rollin
- Maison de Paul Léautaud
- Maison de M. Donard par l'architecte décorateur : Louis Süe (1875-1968), en 1922
- La statue "Le Printemps"
- Le portail de la maison Suard
- Maison de René Letourneur, sculpteur, prix de Rome en 1926, rue Gambetta, réalisée entre 1934 et 1957 par André Leconte.
- La statue “ Éléphant-Roses “ de Thierry Benenati à la Roseraie
Espaces verts
- Le parc Sainte-Barbe (18 000 m2).
- La Coulée verte (10 hectares).
- Le square Pompidou.
- Le site du Panorama (16 800 m2).
- Les coteaux boisés du Panorama (6 000 m2).
- Le square Elstree-Borehamwood (2 527 m2)
- Le square de Wiesloch (1 800 m2).
- Le square des Anciens-Combattants.
- Le square des Potiers.
- Le square Philippe-Kah.
Patrimoine culturel

- Un théâtre : Le Théâtre des Sources[99].
- Un cinéma : « Le Scarron »[100].
- Une médiathèque[101].
- Une école municipale de musique et de danse agréée par l'État (EMDA)[102].
- Un espace socio-culturel d’animation et de loisirs éducatifs (Escale), rebaptisée la« maison de quartier des Paradis » en décembre 2009[103].
- Un centre culturel de jeunesse et de loisirs (C.C.J.L)[104].
- Un centre de loisirs : Pierre-Bonnard[105].
- Une ludothèque : Le Manège aux Jouets[106].
Fontenay-aux-Roses au cinéma
- 1964 : Le Bonheur d'Agnès Varda (tournage de septembre à octobre 1964).
- 1982 : Après tout ce qu'on a fait pour toi de Jacques Fansten.
- 1989 : Comédie d'amour de Jean-Pierre Rawson.
- 2001 : Joséphine, ange gardien - Saison 5 - Épisode 1 de Laurent Dussaux.
- 2010 : La Permission de minuit de Delphine Gleize.
- 2017 : Juste un regard de Harlan Coben, avec Virginie Ledoyen et Julie Gayet.
- 2018 : Le Flic de Belleville de Rachid Bouchareb, avec Omar Sy.
- 2020 : Le Lion de Ludovic Colbeau-Justin, avec Dany Boon et Philippe Katerine.
Fontenay-aux-Roses dans la chanson
- 1972 : artiste Maxime Le Forestier, album Mon frère, titre Fontenay aux Roses
Personnalités liées à la commune

De nombreuses personnalités ont eu un attachement particulier à la ville, notamment :
- Paul Scarron (1610-1660) – Écrivain, a vécu à Fontenay-aux-Roses.
- Madame de Maintenon (1635-1719) – vivait avec son époux Paul Scarron dans une propriété de la commune.
- Thérésa Cabarrus (1773-1835) – Dite « Madame Tallien » dont la résidence est devenue l'École normale supérieure de Fontenay-aux-Roses.
- Alexandre Ledru-Rollin (1807-1874) – Décédé à Fontenay-aux-Roses, avocat, homme politique, député et ministre.
- Aristide Boucicaut (1810-1877) – Fondateur du Bon Marché et bienfaiteur de la commune dans laquelle il a longtemps vécu.
- Florestine de Monaco (1833-1897) – Née à Fontenay-aux-Roses, princesse monégasque.
- Joris-Karl Huysmans (1848-1907) – Écrivain, a vécu à Fontenay-aux-Roses.
- Rudolf Ernst (1854-1932) – Décédé à Fontenay-aux-Roses, peintre orientaliste de l'académie de Vienne puis de Paris.
- Pierre Gauthiez (1862- ?) - Écrivain, critique d'art, né à Fontenay-aux-Roses.
- Edmond Defonte (1862-1948) - Peintre, mort à Fontenay-aux-Roses.
- Pierre Bonnard (1867-1947) – Né à Fontenay-aux-Roses, peintre.
- Julien Benda (1867-1956) – Décédé à Fontenay-aux-Roses, critique, philosophe et écrivain.
- Paul Langevin (1872-1946) - Physicien, habitait à Fontenay-aux-Roses avec sa femme, Jeanne Desfosses, et leurs quatre enfants.
- Paul Léautaud (1872-1956) – Écrivain, a vécu à Fontenay-aux-Roses.
- Alexandra Exter (1882-1949) – Décédée à Fontenay-aux-Roses, peintre.
- Yvonne Diéterle (1882-1974) - A vécu plus de 50 ans à Fontenay-aux-Roses et y est décédée, sculptrice et peintre.
- Maurice Toussaint (1882-1974) – Né à Fontenay-aux Roses, illustrateur et spécialiste d'uniformologie.
- Jean Lébédeff (1884-1972) – Graveur sur bois et peintre libertaire français.
- Raymond Valabrègue (1899-1966), député de la Drôme, décédé à Fontenay-aux-Roses
- Hélène Langevin (1909-1995) – Née à Fontenay-aux-Roses, femme politique, députée.
- Stéphane Hessel (1917-2013) – Diplomate et militant politique, a vécu à Fontenay-aux-Roses.
- Shozo Awazu (1923-2016) – Judoka, 9e dan, un des fondateurs du Judo en France, a vécu à Fontenay-aux-Roses.
- Gérard Avran (1927-2014), déporté à Auschwitz, survivant qui témoigne sur la Shoah, un des plus jeunes rescapés des camps d'extermination nazis, a vécu à Fontenay-aux-Roses.
- Paule Emanuele (1927) – Née à Fontenay-aux-Roses, comédienne.
- Yves Klein (1928-1962) – Plasticien, a vécu à Fontenay-aux-Roses. (une plaque lui est consacrée 5, rue Gentil-Bernard en face de la Chapelle Sainte-Rita depuis 2012)
- Jean-Paul Escande (1939) – Professeur de médecine, a exercé à Fontenay-aux-Roses.
- Véronique Pestel (1960) – Née à Fontenay-aux-Roses, chanteuse, autrice-compositrice-interprète française.
- Isabelle Giordano (1963) – Née à Fontenay-aux-Roses, journaliste.
- Vincent Dubois (1964) – Né à Fontenay-aux-Roses, humoriste et membre du duo comique Les Bodin's
- Jean-Marc Laurent (1965) – Homme de média, présentateur radio et journaliste vivant à Fontenay-aux-Roses.
- Dieudonné M'bala M'bala (1966) – Né à Fontenay-aux-Roses.
- Laurent Aïello (1969) - Né à Fontenay-aux-Roses, pilote automobile.
- Richard Marazano (1971) – Né à Fontenay-aux-Roses, scénariste et dessinateur.
- Loup-Denis Elion (1979) – Né à Fontenay-aux-Roses, acteur et chanteur d'opéra.
- Ian Brossat (1980) – Né à Fontenay-aux-Roses, homme politique, conseiller de Paris.
- Swann Arlaud (1981) – Né à Fontenay-aux-Roses, acteur français ayant reçu un césar pour le film Petit Paysan en 2018.
- Aatif Chahechouhe (1986) – Franco-Marocain né à Fontenay-aux-Roses, footballeur international marocain évoluant au poste de milieu offensif.
- Adrien Moerman (1988) – Né à Fontenay-aux-Roses, joueur français de basket-ball.
Héraldique
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Elles peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui : D'azur à la fontaine d'or jaillissante d'argent, posée sur une terrasse du même, au chef d'or chargé de trois roses de gueules boutonnées d'argent. De leur création en septembre 1942 jusque dans les années 1960, les armes étaient accompagnées d'une devise : Olim notissima rosis, nunc valet ipsa, celle-ci signifie « Autrefois très connue pour ses roses, maintenant elle vaut pour elle-même ». |
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Pour approfondir
Bibliographie
- Alexandre Dumas, Les mille et un fantômes, Éditions Manitoba - Les belles lettres, 1849[Note 3],[Note 4].
- Alexandre Dumas, Le Comte de Monte-Cristo, Folio classique, 1845[Note 5],[Note 6].
- Alphonse Allais, À se tordre, 1891[Note 7],[Note 8].
- Archives municipales de Fontenay-aux-Roses (ss la dir. David Descatoire), Fontenay-aux-Roses à l'ombre du château Boucicaut 1879-1954, Editions Sutton, 2014.
- Bruno Rodriguez-Haney, Les murs gris de Fontenay-aux-Roses, Éditions Édilivre, 2007.
- Étienne de Jouy, L'Hermite de la Chaussée d'Antin, ou observations sur les mœurs et les usages français au commencement du XIXe siècle, 1812-1814[Note 9].
- Émile Zola, Le Capitaine Burle, 1882[Note 10],[Note 11].
- Émile Zola, La Confession de Claude, 1865[Note 12],[Note 13].
- Fontenay Mag, mensuel édité par la ville.
- Germaine Mailhé, Histoire de Fontenay-aux-Roses, 1969.
- Marcel Hégelbacher, La Parfumerie et la Savonnerie, Éditions Garnier Frères, 1924[Note 14],[Note 15].
- Simonne Pouey-Mounou, Éclats de vert, Ubiquité Éditions, 2013[107].
- Collectif, Hier… aujourd'hui, l'histoire de Fontenay-aux-Roses.
Articles connexes
Infrastructures |
Politique et administration
Personnalités |
Patrimoine civil Patrimoine religieux Parcs et jardins |
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le 4 mars 2020).
- « Fontenay-aux-Roses », Ma commune de Fontenay-aux-Roses (92032), Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le 4 mars 2020).
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste : Gran Enciclopèdia Catalana
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2020, millésimée 2017, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2019, date de référence statistique : 1er janvier 2017.
- Alexandre Dumas, Les mille et un fantômes, vol. La rue de Diane à Fontenay-aux-Roses, Éditions Manitoba,
- Citation originale : Sorrente est une forêt d'orangers ; Fontenay est un bouquet de roses. Chaque maison a son rosier qui monte le long de la muraille, protégé au pied par un étui de planches ; arrivé à une certaine hauteur, le rosier s'épanouit en gigantesque éventail ; l'air qui passe est embaumé.
- Alexandre Dumas, Le Comte de Monte-Cristo, Folio,
- Citation originale :Il est encore temps, dit vivement Bertuccio, et si votre Excellence veut me charger de chercher partout ailleurs, je lui trouverai ce qu'il y aura de mieux, soit à Enghien, soit à Fontenay-aux-Roses, soit à Bellevue.
- Alphonse Allais, À se tordre, Flammarion,
- Citation originale :À quelques jours de là, Vincent tomba éperdument amoureux d’une jeune fille de Fontenay-aux-Roses. ; Peu de jours après cette regrettable scène, il reçut des nouvelles de Fontenay sous la forme d’une demande de divorce.
- Certains passages relatent Fontenay-aux-Roses dans cet ouvrage, de plus, quelques paragraphes sont clos par un «À Fontenay-aux-Roses, le…»
- Émile Zola, Le Capitaine Burle, Le Livre de poche,
- Citation originale :Nous descendions à la station de Fontenay-aux-Roses. On trouve là une magnifique allée d’arbres. ; La mère Sens tenait un cabaret, entre Fontenay-aux-Roses et Robinson. ; La nuit devenait noire, les rires se mouraient, et l’on n’apercevait plus, dans les ténèbres, que le quinquet éclatant de la station de Fontenay-aux-Roses.
- Émile Zola, La Confession de Claude, Flammarion,
- Citation originale :Plus loin, plus haut, au bord du ciel, à travers des ombrages, se montraient les premiers toits de Fontenay-aux-Roses.
- Marcel Hégelbacher, La Parfumerie et la Savonnerie, Éditions Garnier Frères,
- Citation originale :Dans la région de Paris notamment la rose est cultivée avec succès, en particulier du côté de Fontenay-aux-Roses et de l'Haÿ.
Références
- Voir sur linternaute.com.
- « Calcul de l'orthodromie entre Fontenay-aux-Roses et Paris » (consulté le 19 juin 2010)
- « Carte de Fontenay-aux-Roses et ses alentours », sur Carte-France (consulté le 5 mars 2010).
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne]
- « Fiche géographique de Fontenay-aux-Roses. » (consulté le 19 juin 2010).
- « Calcul de l'orthodromie entre Fontenay-aux-Roses et Paris » (consulté le 5 mars 2010).
- « Plan d'accès et plan de la ville », sur site officiel de la ville (consulté le 30 octobre 2009).
- « Fiche sur Fontenay-aux-Roses », sur site de Météo France (consulté le 27 janvier 2009).
- « LES INONDATIONS ET LES SUBMERSIONS DE LA BIEVRE », sur site du ministère de l'Équipement, (consulté le 18 septembre 2009).
- « Données climatiques de la station d’Orly - Val-de-Marne (94310) », sur www.journaldunet.com (consulté le 2 septembre 2009)
- « Le climat à Paris-Montsouris (en °C et mm, moyennes mensuelles 1971/2000 et records depuis 1873) », sur du climat parisien (consulté le 5 mars 2010).
- « Le projet sur la commune de Fontenay-aux-Roses, la RD 906 se trouve à l'entrée ouest de la commune », sur site de « l'extension réseau » de la RATP. (consulté le 6 août 2010).
- « Déplacements dans Fontenay-aux-Roses », sur fontenay-aux-roses.fr (consulté le 26 juillet 2010).
- « Plan de la circulation à Fontenay-aux-Roses », sur fontenay-aux-roses.fr (consulté le 26 juillet 2010).
- « Des projets ville par ville, section : Fontenay-aux-Roses », sur leparisien.fr (consulté le 26 juillet 2010)
- « Décret n° 2008-754 du 30 juillet 2008 portant diverses dispositions de sécurité routière », sur legifrance.gouv.fr.
- « Circulations douces », sur www.fontenay-aux-roses.fr.
- « Transports en Île-de-France - Temps de trajet », sur RATP (consulté le 7 août 2010).
- « Tramway Châtillon-Viroflay » (consulté le 2 juin 2010).
- « Fontenay Mag - Juin 2010 - N°352. » (consulté le 2 juin 2010).
- « Plan d'accès et plan de la ville » (consulté le 30 octobre 2009).
- « Plans RATP : « Hauts-de-Seine — Sud » et « Au sud de Paris » montrant les différentes lignes de bus passant à Fontenay-aux-Roses. » (consulté le 15 décembre 2010).
- « Plan du réseau de bus Paladin » (consulté le 6 avril 2013)
- « Plan d'accès et plan de la ville - Section Le Petit Fontenaisien », sur de Fontenay-aux-Roses (consulté le 12 août 2010).
- « Plan d'accès et plan de la ville - Section Mobi'Bus », sur de Fontenay-aux-Roses (consulté le 12 août 2010).
- « Accès à l'Orlyval - Aéroport d'Orly », sur de l'Orlyval (consulté le 7 août 2010).
- « Aéroports de Paris », sur des Aéroports de Paris (consulté le 7 août 2010).
- Fontenay Magazine no 349 - mars 2010 : Une carte des quartiers de Fontenay-aux-Roses a été dressée par la mairie
- Fiche communale d'occupation des sols sur le site de l'Iaurif. Consulté le 8 septembre 2009
- « Plan d'assemblage Grands Quartiers - IRIS 2000 – Fontenay-aux-Roses », sur le site de l'Insee (consulté le 28 février 2011).
- https://www.insee.fr/fr/statistiques/3564300?sommaire=3561690
- https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/taux-de-logements-sociaux/
- https://www.fontenay-aux-roses.fr/1161/les-projets-de-la-ville.htm
- https://www.fontenay-aux-roses.fr/1056/autorisations-d-urbanisme.htm
- http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/fontenay-aux-roses-harceles-par-les-promoteurs-05-06-2018-7755036.php
- http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/fontenay-aux-roses-voila-a-quoi-ressemblera-le-parvis-du-chateau-19-01-2018-7510629.php
- http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/querelle-autour-d-un-carrefour-a-fontenay-aux-roses-17-01-2018-7506513.php
- http://www.leparisien.fr/fontenay-aux-roses-92260/fontenay-aux-roses-aux-blagis-la-crainte-de-devoir-changer-de-ville-21-09-2017-7276635.php
- « Histoire de Fontenay-aux-Roses », sur le site officiel de Fontenay-aux-Roses (consulté le 6 mars 2010).
- Liste des Rosati d'honneur depuis 1892, Archives de Fontenay-aux-Roses
- Histoire de Fontenay-aux-Roses de Germaine Mailhé - page 9
- « Communautés ecclésiastiques à Fontenay-aux-Roses », sur le site officiel de la ville (consulté le 11 août 2011).
- Dictionnaire historique des environs de Paris du docteur Ermete Pierotti
- Journal Officiel, Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne
- « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et ds libertés (consulté le 8 mars 2013).
- Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
- Décret n° 2015-1655 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Antony sur Légifrance.
- « Vos élus », sur http://www.fontenay-aux-roses.fr (consulté le 21 mars 2020).
- https://www.fontenay-aux-roses.fr/997/les-videos-des-seances-du-conseil-municipal.htm
- « Vos élus », Le Conseil municipal, sur http://www.fontenay-aux-roses.fr (consulté le 19 janvier 2018).
- https://www.fontenay-aux-roses.fr/218-2927/fiche/conseil-municipal-du-24-janvier.htm
- http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/le-maire-de-fontenay-aux-roses-exclut-cinq-elus-de-sa-majorite-15-01-2018-7502607.php
- Ariane Riou, « Le maire de Fontenay-aux-Roses exclut cinq élus de sa majorité : Le maire (UDI) Laurent Vastel vient notamment de retirer les délégations de deux de ses adjoints. Lesquels demandent la tenue d’élections anticipées. », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le 4 mars 2020).
- « Les maires de Fontenay-aux-Roses », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le 20 août 2014).
- « Après vingt ans, le socialiste Pascal Buchet cède sa place », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne).
- « À Fontenay, un médecin quasi inconnu a décroché la mairie », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne) « Sans l'alliance avec les trois autres candidats opposés à Pascal Buchet, Laurent Vastel n'aurait en effet, probablement pas gagné le siège de maire. Au premier tour, sa liste, soutenue par l'UMP, l'UDI et le MoDem, n'a obtenu que 25 % des voix. Deux points de moins qu'en 2008, où elle était menée par Muriel Galante-Guillemont. « Nous avons constitué une sorte de coalition à l'allemande, insiste Michel Faye (SE), l'un des trois candidats. Si le maire rompt ses engagements, il se retrouvera facilement en minorité ».
- « La droite installée dans le siège de Pascal Buchet », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne) « L'ancien maire et les sept autres élus d'opposition ont ensuite refusé de prendre part au vote, laissant les 27 élus de la majorité entériner le choix de Laurent Vastel ».
- Charles-Edouard Ama Koffi, « Municipales à Fontenay-aux-Roses : le match retour entre Laurent Vastel et Pascal Buchet ? : Le maire sortant (UDI) Laurent Vastel et son prédécesseur Pascal Buchet (PS) s’affrontent de nouveau. La coalition ayant amené le premier au pouvoir s’est fissurée. Mais l’opposition est aussi divisée. », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le 4 mars 2020) « Têtes de listes : Céline Alvaro (SE) ; Suzanne Bourdet (SE) ; Gilles Mergy (PRG) ; Pascal Buchet (PS) ; Corine Schäfer-Bénétreau (LFI) ; Laurent Vastel (UDI) ».
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