Franconville (Val-d'Oise)

Franconville ou Franconville-la-Garenne, nom d'usage de la municipalité, est une commune française située dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France. Elle est la cinquième ville du département par sa population.

Pour les articles homonymes, voir Franconville.

Franconville

L'ancien hôtel de ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Argenteuil
Canton Franconville
(bureau centralisateur)
Intercommunalité Communauté d'agglomération Val Parisis
Maire
Mandat
Xavier Melki
2017-2020
Code postal 95130
Code commune 95252
Démographie
Gentilé Franconvillois
Population
municipale
36 762 hab. (2017 )
Densité 5 939 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 59′ 20″ nord, 2° 13′ 32″ est
Altitude Min. 54 m
Max. 167 m
Superficie 6,19 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Franconville
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Franconville
Géolocalisation sur la carte : France
Franconville
Géolocalisation sur la carte : France
Franconville
Liens
Site web ville-franconville.com

    Ses habitants sont appelés les Franconvillois.

    Géographie

    Localisation et communes limitrophes

    Franconville se situe à vingt kilomètres au nord-ouest de Paris, dans la vallée de Montmorency.

    Géologie et relief

    Franconville se situe au centre de la vallée de Montmorency. Les zones habitées occupent pour l'essentiel le fond de la vallée, à une soixantaine de mètres d'altitude, et sont dominées par un ensemble de buttes-témoins boisées à l'ouest nommées buttes du Parisis, qui atteignent 167 mètres d'altitude.

    Climat

    Franconville comme toute l'Île-de-France est soumise à un climat océanique dégradé. La localisation de la commune au sein de l'agglomération parisienne provoque une très légère élévation de la température d'un ou deux degrés en fonction des conditions climatiques par rapport aux zones rurales d'Île-de-France. Cet écart est particulièrement notable au lever du jour par temps calme et anticyclonique et la situation a tendance à s'accentuer au fil des années. La température moyenne annuelle est de 11 °C ; le mois le plus le froid est janvier avec +4 °C ; les mois les plus chauds sont juillet et août avec +19 °C (moyenne journalière). Le nombre moyen de jours où la température dépasse 25 °C est de 40, dont 8 au-delà de 30 °C. Dans le sud du Val-d'Oise, depuis 1955, la durée moyenne annuelle d'ensoleillement est de 1719 heures[3].

    MoisJanvFévMarsAvrMaiJuinJuilAoûtSeptOctNovDécAnnée
    Températures maximales moyennes (°C) 6 7 11 14 18 21 24 24 21 15 9 7 14,8
    Températures minimales moyennes (°C) 1 1 3 6 9 12 14 14 11 8 4 2 7,1
    Températures moyennes (°C) 4 4 7 10 14 17 19 19 16 12 7 5 11,2
    Source : Climatologie mensuelle - Aéroport de Roissy, France[Note 1]

    Toponymie

    Au fil des siècles, on relève ces différentes formes du nom de Franconville : Francorum Villa (1137), Francurtvilla (vers 1150), Francorvilla (1205), Franconvilla (1352), Franconville-la-Garenne (1382), Francovilla (1525), Franconville-la-Libre (1793)[4]...

    Francorum Villa peut se traduire par domaine des Francs. Quant au mot garenne, il vient du bas latin warenna, désigne une réserve de chasse[5] et fut sans doute ajouté pour distinguer Franconville-la-Garenne d’un autre Franconville-[aux-Bois], ancienne seigneurie "absorbée" au XVIIIe siècle par la paroisse de Saint-Martin-du-Tertre.

    Histoire

    L'abbé Suger (1081-1151).

    Antiquité et Moyen Âge

    L’histoire ancienne de Franconville est fort mal connue. Dans leurs publications respectives, les historiens locaux divergent sur la date de la première mention du nom de la commune dans les archives. Aujourd’hui, ce sont les thèses du Franconvillois André Vaquier qui font autorité : selon lui, le nom de Franconville apparaît pour la première fois en 1137, année de rédaction du testament de l’abbé Suger de Saint-Denis, seigneur de l’époque.

    L’historien Henri Mataigne, dans l’ouvrage qu’il consacre à Franconville[6], évoque une date beaucoup plus ancienne, 860, mais ne donne aucune indication permettant de retrouver le document auquel il se réfère.

    Cependant, l’étymologie du nom de la ville (Francorum Villa : domaine des Francs[7]) incline à penser que la ville existe bien avant les écrits de l’abbé Suger. Elle se constitue sans doute le long du « grand chemin de Pontoise » (rue de Paris et rue du Général-Leclerc). Le cœur de la « ville » se situe alors à l'emplacement de l'actuelle église. Plus au nord, séparée du village par des terres en friche, se trouve la chaussée Jules César, ancienne voie romaine de Lutèce à Lillebonne, construite dans les années 11-12 de notre ère[8].

    Armes de la famille Bateste[Note 2].

    Bois, marais et terres incultes, voilà ce qui constitue l’environnement immédiat des premiers habitants de Franconville. Réfugiés sur les flancs de la butte de Cormeilles, à l'abri des inondations, ils vivent, difficilement, du travail de la terre et sans doute trouvent-ils, grâce au « grand chemin », une occasion de commercer.

    Aux XIe siècle et XIIe siècle, la terre de Franconville est morcelée entre divers seigneurs : l'abbaye de Saint-Denis, les barons de Montmorency mais aussi la commanderie des templiers de Cernay. Un des vassaux des barons de Montmorency, Guillaume Bateste, est le premier seigneur résident de Franconville identifié. Au début du XIIIe siècle, celui-ci fait construire un château de dimensions modestes à proximité de l'actuelle rue de Cormeilles. On lui attribue également la construction de la première église de Franconville[9]. Enfin, c'est à cette époque qu'est fondée la maladrerie Saint-Marc, ou malmaison, destinée à accueillir les lépreux.

    Au début du XVe siècle, le village peut compter 80 maisons, regroupées près de l’église, pour une population estimée à environ 300 âmes. La grand’ route, en tout cas sur sa partie franconvilloise, est déjà pavée. Mais les troubles de ce temps vont rapidement faire sentir leurs effets. Selon le testament du dernier des Bateste, daté de 1436, toute la région de Pontoise, dont Franconville, est dévastée et brûlée pendant la guerre de Cent Ans[10]. L'église, détruite, sera reconstruite en 1450-1470.

    Renaissance et époque moderne

    Franconville sur la carte de Cassini, vers 1780.

    À la fin du XVIe siècle, les temps étant encore peu sûrs, une assemblée des habitants de Franconville vote la dépense de 600 écus pour enclore et fortifier le village au moyen de murailles, portes, ponts-levis, éperons et fossés[11].

    Mais, peu à peu, la ville commence à se développer. Grâce à la grand’route, de plus en plus fréquentée[Note 3], agriculture et hôtellerie connaissent un véritable essor. Les chevaux des relais de poste font la prospérité des aubergistes et des artisans qui entretiennent voitures et carrosses.

    Au fil du XVIIIe siècle, Franconville devient même un lieu de résidence recherché. De belles demeures se construisent, dont le château Cadet-de-Vaux (1758). De riches familles, bourgeoises ou nobles, viennent s’y installer ou séjourner. Quelques résidents ou visiteurs célèbres ont laissé un souvenir de leur passage : le chimiste Antoine-Alexis Cadet de Vaux, l’homme d’ État américain Benjamin Franklin, l’astronome Jean-Dominique Cassini...

    Pendant la Révolution, Franconville est brièvement rebaptisée Franconville-la-Libre[12]. La municipalité de Franconville voit le jour le dimanche 12 août 1787. Le 25 février 1789, les habitants se réunissent pour rédiger leur cahier de doléances. Le premier maire de Franconville, l’aubergiste Gabriel Bertin, est élu le 6 février 1790. L’un des premiers actes de la nouvelle municipalité est d’attirer l’attention des autorités sur la grande misère des habitants. En effet, les épisodes de disette, voire de famine, se multiplient à cette époque, entraînant une certaine insécurité en ville[11].

    Seigneurs de Franconville

    Quelques noms, rangés par ordre chronologique : Guillaume Bateste (1200), Pierre Bateste (1315), Nicolas Leclerc (1620), Louis de Giffart (1640), Jacques Boutet (1675), François Boutet (1710), comte de Longaunay (1755)[11]...

    Époque contemporaine

    Le chemin de fer arrive à Franconville en juin 1846 avec la ligne Paris - Pontoise, entraînant ainsi comme dans toutes les communes de la vallée de Montmorency, de profondes mutations. Un nouveau centre se développe à proximité de la gare, située à un kilomètre au nord du village au milieu des champs.

    La gare vers 1900.

    Des lotissements apparaissent au début du XXe siècle. L'église du XVe siècle, tombant en ruine, est reconstruite en 1903.

    Durant les 1960 et 1970, le centre-ville est entièrement démoli et reconstruit selon les idées urbanistiques de l'époque : de nombreux immeubles, barres et tours, sont érigés contribuant à un fort accroissement de la population. Ainsi, au fil des années, Franconville est devenue la 5e commune la plus peuplée du Val-d'Oise derrière Argenteuil, Sarcelles, Cergy et Garges-lès-Gonesse.

    La place Charles-de-Gaulle dans le centre-ville.

    Urbanisme

    Franconville est composée à la fois de zones d'habitations denses et de zones pavillonnaires.

    Commune jusqu'alors rurale dont les champs s'étendaient sur la majeure partie du territoire, une politique d'urbanisation est entreprise à partir de 1962 et se prolongera dans les 1970, avec la construction de quartiers résidentiels et nouvelles infrastructures (notamment écoles et collège, centres de sports et loisirs).

    En 2009, la politique d'urbanisme prend un nouvel essor avec la décision du conseil municipal de construire 1500 logements sur six ans dans le cadre du plan local d'urbanisme.

    Logement social

    La part de logement social à Franconville a atteint jusqu'à 35 % au début des années 1980 avant de décroître sous la majorité de Francis Delattre (UDF-DL puis UMP) depuis 1983. 27,5 % de logements sociaux étaient comptabilisés en 2000, 23,9 % en 2005[13] (alors que selon la mairie, la commune compte 3 350 logements sociaux soit 26 % de l'effectif total[14]) et 24,7 % en 2008. La ville remplissait donc les conditions posées par la loi SRU imposant pour les communes franciliennes d'au moins 1500 habitants un minimum de 20 % de logements sociaux, avant que ce taux soit porté à 25 % en 2013.

    Le parc social de Franconville date pour l'essentiel des années 1960 et 1970 qui ont vu la population communale croître rapidement sous les mandats des prédécesseurs du maire actuel, André Blondé (UDF-PR) de 1959 à 1977 et Annie Brunet (PCF) de 1977 à 1983.

    Voies de communication et transports

    Réseau routier

    Carte de France, dite d'état-major, vers 1870.

    La commune est traversée par l'autoroute A15 qui relie Gennevilliers à Cergy, l'autoroute A115 de Franconville à Méry-sur-Oise et Auvers-sur-Oise et la route départementale 14 qui relie Paris à Rouen via Pontoise et le Vexin.

    Transports ferroviaires

    Franconville est desservie par la gare Franconville - Le Plessis-Bouchard située sur son territoire.
    La ligne Paris - Pontoise traverse la ville depuis 1846, devenue la ligne H du Transilien Paris-Nord reliant la Gare du Nord à Pontoise. Par ailleurs, Franconville est desservi par la ligne C du RER depuis 1988.

    Transports en commun

    Le bus 95-19 C, rue du Général-Leclerc.
    Un train Transilien en gare de Franconville.

    La commune est desservie par les réseaux des Cars Lacroix, de la Régie autonome des transports parisiens (RATP) et du Noctilien.

    Valoise? 30.03 30.49 30.12 citéVal Franconville.

    Valoise? 30.14 Saint-Leu-la-Forêt Gare - Le Plessis-Bouchard - Franconville Gare.

    Valoise? 30.35 Franconville - Le Plessis-Bouchard - Ermont - Eaubonne - Saint-Prix - Montlignon.

    Valoise? 30.37 Franconville - Le Plessis-Bouchard - Franconville.

    Busval d'Oise 95.19 Argenteuil Gare - Montigny-Beauchamp Gare - Cergy Préfecture

    261 : Gare de Franconville - Villeneuve La Garenne Bongarde

    Gare Saint-Lazare - Gare de Cergy - Le Haut RER.

    Politique et administration

    L'hôtel de ville de Franconville.

    Rattachements administratifs et électoraux

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[15], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription du Val-d'Oise

    Elle faisait partie de 1801 à 1931 du canton de Montmorency, année où elle intègre le canton de Taverny du département deSeine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle devient en 1967 le chef-lieu du canton de Franconville[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais le bureau centralisateur de ce canton qui est modifié, passant de une à deux communes.

    Franconville fait partie du ressort de juridiction du tribunal d'instance de Montmorency, de celui du tribunal de grande instance de Pontoise et de celui du tribunal de commerce de Pontoise pour l'ordre judiciaire ainsi que de celui du tribunal administratif de Cergy-Pontoise pour l'ordre administratif. La commune fait en appel partie du ressort de la cour d'appel de Versailles pour l'ordre judiciaire et de la cour administrative d'appel de Versailles pour l'ordre administratif.

    Intercommunalité

    La commune, membre de la communauté d'agglomération Val-et-Forêt depuis 2003, décide de la quitter[17] et rejoint le , la communauté d'agglomération du Parisis[18].

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante en Île-de-France afin d'équilibrer leurs relations avec la métropole du Grand Paris, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le 4 mars 2015 un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment « l'extension du périmètre de la communauté d'agglomération Le Parisis aux communes de Frépillon, Saint-Leu-la-Forêt, Le Plessis-Bouchard, Ermont et Eaubonne[19] ».

    C'est ainsi que, après délibérations des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion intervient le , permettant ainsi la création de la communauté d'agglomération Val Parisis dont la commune est désormais membre.

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[20]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1800 1813 Jean-Baptiste Guichard    
    1813 1821 Guillaume Bouju    
    1821 1830 Louis-Philippe Leclerc    
    1830 1835 Guillaume Bouju    
    1835 1835 Louis Faucon    
    1835 1836 Antoine Jugier    
    1836 1837 Jean Bertin    
    1837 1843 Émile de Perthuis    
    1843 1873 François Chenel    
    1873 1876 Nicolas Védy    
    1876 1878 Louis de Ribaucourt    
    1878 1884 Louis Baudier    
    1884 1904 Toussaint Lucas    
    1904 1908 Claude Bonne    
    1908 1919 Georges Leredu   Député de Seine-et-Oise (1914 → 1927)
    Ministre (1920)
    Sénateur de Seine-et-Oise (1927 → 1936)
    1919 1925 Octave Bucourt    
    1925 1945 Albert Bigeard    
    1929 1930 Émile Gentil    
    1930 1944 Claude Lagoutte    
    1944 1945 Octave Bucourt    
    1945 1955 Ferdinand Grosdemange    
    1955 1959 Georges Fournier    
    1959 1977 André Blondé UDF-PR Conseiller général de Franconville (1967 → 1973)
    1977 1983 Annie Brunet PCF Conseiller général de Franconville (1973 → 1979)
    1983 décembre 2017[21] Francis Delattre[22],[23],[24],[25],[26] UDF-DL,
    UMP,
    LR
    Sénateur du Val-d'Oise (2011 → 2017)
    Député du Val-d'Oise (4e circ.) (1986 → 2007)
    Conseiller général de Franconville (1979 → 1988)
    Vice-président de la CA Val-et-Forêt (2004 → 2008)
    Démissionnaire
    décembre 2017[27],[28] En cours
    (au 10 janvier 2018)
    Xavier Melki LR  

    Démocratie participative

    La ville est divisée[Quand ?] en neuf quartiers, chacun doté de son conseil de quartier disposant de son enveloppe budgétaire[réf. nécessaire]. Les neuf quartiers sont :

    • le quartier de l'Hôtel-de-Ville ;
    • le quartier des Fontaines ;
    • le quartier Jean-Monnet ;
    • le quartier de l'Europe ;
    • le quartier du Vieux marché ;
    • le quartier du Stade ;
    • le quartier des Noyers de Saint-Edme ;
    • le quartier de l'Épine Guyon ;
    • le quartier du Séquoia de la gare

    Politique de développement durable

    Chemin des Crêtes dans le Bois des Rinvals

    La commune de Fanconville est située dans un espace très urbanisé, cependant le sud de la commune, la colline d'Argenteuil, a conservé son couvert forestier. Cet espace forestier est isolé du centre de Franconville par l'autoroute A15. Le Bois des Rinvals et le bois de Saint-Marc sont gérés par l'Office national des forêts. Le site constitue un poumon pour la ville de Franconville, absorbant une partie nuisances générées par l'autoroute A15.

    Le bois des Éboulures et le bois de Boissy complètent cet ensemble d'espaces verts vitaux pour les habitants de la commune.

    Distinctions et labels

    La ville de Franconville a été récompensée[Quand ?] de deux fleurs au concours des villes et villages fleuris[réf. nécessaire].

    Jumelages

     Viernheim (Allemagne) depuis 1966, 32 884 habitants (2005) ;

     Potters Bar (Royaume-Uni) depuis 1973, 21 618 habitants (2001).

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[29],[Note 4].

    En 2017, la commune comptait 36 762 habitants[Note 5], en augmentation de 10,74 % par rapport à 2012 (Val-d'Oise : +3,5 %, France hors Mayotte : +2,36 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0821 0161 0051 1241 1931 1521 2481 2221 154
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0921 1471 2071 3001 3521 4311 5251 5181 640
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7792 1882 8693 4984 9346 2786 1516 1307 697
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    11 18516 20524 23132 94833 80233 49732 98833 51236 112
    2017 - - - - - - - -
    36 762--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune compte douze établissements d'enseignement pré-élémentaire, onze établissements d'enseignement élémentaire et six établissements d'enseignement secondaire (dont quatre collèges et deux lycées).

    Franconville relève de l'académie de Versailles. Les écoles de la commune sont gérées par l’inspection générale de l'inspection départementale de l’Éducation Nationale d'Ermont (1, rue de l'Est 95120 Ermont)[31]. La circonscription fait partie du bassin d'éducation et de formation d'Enghien-les-Bains[32].

    Le groupe scolaire Ferdinand Buisson.

    Équipements culturels

    La ville dispose de l'espace Saint-Exupéry, d'un bibliobus et d'une école municipale de musique, de danse et d'art dramatique.

    L'espace Saint-Exupéry

    L'espace Saint-Exupéry.

    L'espace construit en 1980 et agrandi en 1996 comporte :

    L'espace accueille chaque année des chanteurs en résidence et organise des rencontres « jeunes talents » afin de venir en aide à la création et à la diffusion.

    Le centre Saint-Exupéry héberge également l'académie de danse de Franconville (ADF) dont la création remonte à 1977.

    Le bibliobus

    Il sillonne la commune et s'arrête périodiquement dans les quartiers et dans les écoles pour prêter divers documents mais surtout des livres. Il dessert la résidence Yvonne-de-Gaulle, le foyer AREPA et les quartiers de l'Épine Guyon, la Mare de Noues, Montédour et la Fontaine Bertin.

    L'École municipale de musique, de danse et d'art dramatique

    La Maison Suger.

    Elle dispense des enseignements de musique, de danse et de théâtre. Cet établissement est installé dans la Maison Suger rénovée. L'établissement dispose de l'agrément du ministère de la Culture et est un service public d'enseignement artistique.

    Sports

    La patinoire.

    Clubs importants

    • Entente Franconville Césame Val d'Oise
    • COYOTES : Club de handball à Franconville
    • Parisis Rugby Club PRC (champion IDF réserve en promotion d'honneur en 2014)
    • Basketball Club de Franconville
    • Jorkyball parisien.
    • SCAF : Club d'Activités Subaquatiques de Franconville
    • Le Club de Football FCF (DHR) U15 en exelence
    • Club de Tennis de Table de Franconville
    • Judo Club de Franconville
    • Le club de gymnastique Albonaise, avec plus de 700 licenciés en 2013
    • L'Echiquier de Franconville (qui évolue en 2e Division Nationale
    • Franconville Hockey-Club

    Jumping

    Créé en 1985, le jumping de Franconville est un rendez-vous majeur du calendrier International ou National du saut d’obstacles. Il se déroule dans le Bois des Eboulures. Ses 55 hectares sont spécialement aménagés, avec village d’exposants, restaurants, points de restauration rapide, buvettes, points d’accueil et une aire de concours de 8 hectares, entourée de loges et de 3000 places en tribunes.

    Équipements sportifs

    Cultes

    Culte catholique

    L'église Notre-Dame-des-Noues.

    La paroisse de Franconville dépend du doyenné d'Ermont-Eaubonne qui se trouve dans le diocèse de Pontoise, lui-même situé dans la province ecclésiastique de Paris. Le presbytère est situé à côté de l'église Sainte-Madeleine[34]. Outre cette église principale, la paroisse dispose également de l'église Notre-Dame-des-Noues, située au 2 rue des Quatre-Fourchettes. À noter l'existence d'un parc paroissial, 64 boulevard Maurice-Berteaux, sur lequel se trouve également la maison Jean-Paul II.

    Culte protestant

    L'église adventiste de Franconville, située au 79 chaussée Jules-César, dépend de la Fédération Nord de l'Église adventiste du septième jour qui fait partie de l'Union franco-belge des fédérations adventistes. Le pasteur de l'église est actuellement Johan van Bignoot[35].

    L'église protestante évangélique est située au 161 rue du Plessis-Bouchard.

    Économie

    Une partie de la zone commerciale de la Patte d'Oie d'Herblay se situe à l'ouest du territoire de la commune, sur la route départementale 14 et à proximité de la sortie de l'autoroute A15.

    Jusque dans les années 1990, cette zone d'activité de Franconville comprenait essentiellement deux centres commerciaux : une grande surface et un centre commercial composé de boutiques de déstockage. Dans les années 2000, cette zone commerciale prend un nouvel essor. Ainsi, le plus grand magasin Ikea de France y a ouvert ses portes en 2005 (titre qu'il perdra en 2011 pour l'Ikéa de Villefranche-sur-Saône)[36]. Puis, ce sont des boutiques vestimentaires, culturelles et sportives, deux restaurants, un pub et deux salles de sports qui se sont implantées dans cette zone appelée le "Parisis Park". À noter que le distributeur E. Leclerc, qui y possède une grande surface, y a lancé son premier magasin d'optique discount en décembre 2005[37], avant d'ouvrir une parapharmacie et un magasin de sport à son enseigne.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Sainte-Madeleine.
    Château Cadet-de-Vaux.

    La commune ne possède aucun monument historique classé ou inscrit sur son territoire[38]. On peut néanmoins signaler :

    • l'église Sainte-Madeleine, édifiée à partir de 1903 par l'architecte Lucien Roy, à l'emplacement de l'ancien sanctuaire du XVe siècle qui tombait en ruine. Le chœur et le transept de style néo-roman furent édifiés les premiers, le clocher dans les années 1950. Plusieurs vitraux dégradés et peu esthétiques furent remplacés en 1963 sous l'impulsion du curé Maurice Nassoy[Note 6], qui munit également le clocher du coq qui lui manquait. Le vitrail que l'on peut voir près de l'entrée de l'église est celui du chœur de l'église précédente sur le même lieu, aujourd'hui 79 rue du Général-Leclerc[39]
    • Le château Cadet-de-Vaux : Caractéristique du XVIIIe siècle, il fut construit par la famille Becquet sur un vaste terrain, racheté aux héritiers de la veuve de Couet de Montbayeux, avocat au Parlement. Il fut ensuite acquis le 22 août 1788 par le savant et philanthrope Antoine Alexis Cadet de Vaux qui lui laissa son nom. Le domaine changea ensuite de nombreuses fois de propriétaires. Il subsiste la glacière du XVIIIe siècle et une grande partie du parc paysager du XVIIIe siècle. Il est planté de nombreuses essences remarquables : Ginkgo biloba, séquoia, pins de l'Himalaya, cèdres, hêtre pourpre, ainsi qu'une rivière sinueuse qui accueille canards et poules d'eau[39].
    • La maison Suger : Elle fut édifiée vers 1850 par la famille Baudouin. Le pavillon de l'aile nord fut agrandi par un notaire, Blanchet, et son gendre Radius. Après la Seconde Guerre mondiale, la fondation Suger s'y installe et lui donne son nom. Elle laisse la place, à la suite de difficultés financières, à une école privée, de plein air, qui fermera ses portes en 1970. Rachetée par la municipalité, elle a été rénovée et elle accueille l'école municipale de musique, de danse et d'art dramatique[39].
    • La statue de Rébecca : En fonte peinte, elle orne le massif à droite de l'entrée de l'hôtel de ville depuis 1868 environ. Elle surmontait à l'origine une fontaine en pierre au milieu d'un carrefour circulaire lors de la création du lotissement du Parc[39].
    • Le parc Cadet-de-Vaux, rue d'Ermont, est ouvert, chaque jour du 1er octobre au 31 mars, de 8 h 30 à 18 h et du 1er avril au 30 septembre, de 8 h 30 à 20 h 30.
    • Le bois des Éboulures : Sur 55 hectares, il constitue un exemple réussi d'intégration d'une zone naturelle dans un périmètre urbain.


    Franconville au cinéma et à la télévision

    Personnalités liées à la commune

    Hippolyte Passy.
    Jean-François Clervoy.

    Histoire

    Politique

    Culture et divertissement

    • Jean Daudin (début du XIVe siècle-1382), chanoine français, traducteur du poète et humaniste italien Pétrarque, est né à Franconville.
    • Marcel L'Enfant[42](1884-1963), peintre post-impressionniste qui vécut et eut son atelier Chaussée Jules-César pendant 40 ans (1923-1963).
    • André Vaquier (1886-1976), bibliothécaire et historien, vécut de nombreuses années à Franconville. Il publia plusieurs études sur l'histoire de la commune et fut à l'origine de la création d'un musée communal (1975), aujourd'hui disparu.
    • Jean Daurand (1913-1989), comédien, l'inspecteur Dupuy de la série Les Cinq Dernières Minutes, exploita quelque temps un café à l'enseigne toute trouvée : Les Cinq Dernières Minutes, à Franconville, à la fin de sa vie.
    • Hassan Koubba (né en 1973), comédien, le lieutenant Micky Zafraoui de la série de TF1 Diane, femme flic, y fait son footing quotidien, le long du stade municipal, chaussée Jules-César[réf. nécessaire].
    • Lorie (née en 1982), chanteuse et comédienne française, y a passé sa jeunesse.
    • Massacra (1987-1997), groupe de Death Metal français précurseur du genre.

    Sports

    Sciences

    Religion

    • Jacques Baudoin (1630-1715), curé de Franconville pendant 54 ans[Note 7].

    Héraldique

    Les armes de Franconville se blasonnent ainsi :

    Tiercé en bande, au premier d’azur semé de lys d’or, au deuxième d’argent à la francisque de sable posée dans le sens de la bande, au troisième de gueules à trois arbres d’or mouvant de la pointe

    Ornements extérieurs : l’écu timbré de la couronne murale à trois tours crénelées d’or, maçonnée et ouverte de sable est soutenu par deux branches de noyer, tigées, feuillées et fruitées d’or, croisées en pointe en sautoir et liées du même.

    Le 15 octobre 1964, les armoiries définitivement adoptées sont celles retenues par la direction des archives de France pour figurer sur les documents officiels de la ville.

    Explication : L’azur semé de lys d’or indique l’appartenance à l’Île-de-France. La francisque est l’arme des francs qui ont donné leur nom à la ville. Les arbres d’argent évoquent la garenne et les branches de noyer les forêts qui couvraient le territoire.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Association « En passant par Franconville », En passant par Franconville-la-Garenne, 1986, 511 p., (ISBN 2950157505).
    • Daniel Bœuf et Maurice Menassade, L'art ancien et moderne dans le canton de Taverny, Imprimerie Paris à Pontoise, 1945, 170 p.
    • Jean-Pierre Debard, Mémoire en images : Franconville, Éditions Alan Sutton, 2007
    • Henri Mataigne, Franconville-la-Garenne depuis le IXe siècle, Paris, Le livre d'Histoire, coll. « Monographie des villes et villages de France », (1re éd. 1927), 412 p. (ISBN 2-84373-734-6)
    • André Vaquier, Franconville en cartes postales anciennes, Bibliothèque européenne Zaltbommel (Pays-Bas), Diffusion SFL (Paris), 1975, 80 p.
    • André Vaquier, Si Franconville m'était conté, Bulletin de la Société historique de Pontoise, n° 23, 1977

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle distant de 25 kilomètres au sud-est en plaine constitue la station de référence pour le département du Val-d'Oise.
    2. Selon l'abbé Lebeuf, les armes des Bateste étaient semblables à celles des Harcourt : « De gueules à deux fasces d'or ».
    3. Celle-ci deviendra par la suite la route royale de Paris à Rouen puis la route nationale 14
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2020, millésimée 2017, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2019, date de référence statistique : 1er janvier 2017.
    6. Le curé Maurice Nassoy est également initiateur de la construction de la deuxième église de Franconville, Notre-Dame des Noues.
    7. Il est amusant de noter que la durée du « règne » du curé Baudoin, 54 ans, est la même que celle de... Louis XIV (!) et que les deux hommes sont morts la même année à trois mois d’intervalle (1715).

    Références

    1. « Communes limitrophes de Franconville (Val-d'Oise) » sur Géoportail.
    2. « Communes limitrophes de Franconville (Val-d'Oise) » sur Géoportail.
    3. Météo France - Climatologie
    4. Mémoire en images : Franconville, Jean-Pierre Debard, Éditions Alan Sutton, 2007
    5. Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Albert Dauzat et Charles Rostaing, Librairie Guénégaud, 1963
    6. Franconville-la-Garenne depuis le IXe siècle, Monographie des villes et villages de France, réédition de 2005
    7. Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, A. Dauzat et Ch. Rostaing, 1963
    8. En passant par Franconville-la-Garenne, 1986
    9. Abbé Lebeuf
    10. En passant par Franconville-la-Garenne, 1986.
    11. Franconville-la-Garenne depuis le IXe siècle - Henri Mataigne - Imprimerie L. Paris - Pontoise - 1927
    12. http://assphilateliquelilloise.wifeo.com/documents/Correspondance-entre-les-dnominations-des-villes-sous-l.pdf Correspondance entre les dénominations des villes sous l'Ancien Régime et les appellations modifiées à la Révolution
    13. Mémoire de Caroline Levron, étudiante en master 1 de sociologie à l'université de Paris X-Nanterre sous la direction de Philippe Batifoulier.
    14. Page du service logement sur le site internet de la mairie
    15. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Alexandre Porcu, « Franconville: Val et Forêt s’invite au coeur de la campagne municipale : Dès son intégration dans la communauté d’agglomération, en décembre 2003, Franconville, à travers son maire Francis Delattre, avait émis des réserves… Le projet de la gare d’Ermont-Eaubonne aura mis fin à cette relation tumultueuse. Le résultat des municipales de mars prochain, où UMP et PS sont opposés sur le projet, sera déterminant », VO News95, (lire en ligne, consulté le 11 janvier 2018).
    18. Sébastien Thomas, « Val et Forêt réclame 1,8 M€ à Franconville », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    19. « Arrêté du Préfet de la région Île-de-France du 4 mars 2015 portant adoption du schéma régional de coopération intercommunale » [PDF], sur http://www.marneetgondoire.fr (consulté le 14 janvier 2016).
    20. Les anciens maires de Franconville, consulté le 26 mars 2015
    21. C.L., « Françis [sic] Delattre se confie sur ses 34 années passées à la tête de Franconville : Une page de l’histoire de Franconville va se tourner ce jeudi soir. Le maire (LR) Francis Delattre laissera son écharpe tricolore à son adjoint, Xavier Melki », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le 22 décembre 2017) « Il a été conseiller général, député, sénateur… Francis Delattre (LR) prendra ce jeudi sa retraite politique, en laissant son écharpe de maire de Franconville, qu’il porte depuis 1983, à son adjoint, Xavier Melki ».
    22. Christine Fauvet-Mycia., « Avec Léotard, pour le cœur, avec Barre, pour la victoire », Le Monde, (lire en ligne).
    23. « Elections sénatoriales : les biographies des élus », Le Monde, (lire en ligne) « Francis Delattre, 65 ans, a obtenu de l'UMP le droit de conduire une deuxième liste aux sénatoriales. Le parti présidentiel ne lui a visiblement pas tenu rigueur d'avoir perturbé la campagne des régionales de Valérie Pécresse. Le maire de Franconville avait qualifié la tête de liste PS, Ali Soumaré, de "délinquant multirécidiviste". Une sortie qui lui avait barré la route des cantonales alors qu'il rêvait de reprendre le département à la gauche ».
    24. Réélu en 1993 : « Francis Delattre (UDF-PR) est réélu maire de Franconville (Val-d'Oise). », Le Monde, (lire en ligne).
    25. Béatrice Jérôme, « Francis Delattre, un maire UMP aux méthodes "peu stylées" », Le Monde, (lire en ligne).
    26. Marie Persidat, « Francis Delattre prêt pour un sixième mandat à Franconville : Le sénateur-maire UMP de Franconville a mis fin hier aux interrogations sur son avenir à la tête de la ville. Élu pour la première fois en 1983, il briguera bien un nouveau mandat en mars », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    27. « Xavier Melki, nouveau maire de Franconville », Franconville / le journal, no 241, , p. 4 (lire en ligne [PDF], consulté le 22 décembre 2017) « C’est au courant de l’année 2008 que Xavier Melki est élu chargé du Commerce, du développement économique et des marchés de détail. Après cette première délégation, il devient, en 2008 également, maire adjoint chargé de la Jeunesse, de la politique de la Ville puis de la Voirie et des Conseils de quartier avant son élection à la tête de la municipalité ».
    28. C.L., « Franconville : Xavier Melki dans « la proximité et la bienveillance » : Élu à la tête de Franconville le 21 décembre dernier, Xavier Melki a succédé à Francis Delattre. Le nouveau maire fait le point sur ses projets. », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le 11 janvier 2018).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016 et 2017.
    31. Site municipal d'Ermont - Les instances éducatives
    32. Inspection académique du Val-d'Oise
    33. Site web de la médiathèque municipale
    34. Site de la paroisse de Franconville
    35. Site de l'Église adventiste du septième jour
    36. Journal 20 minutes, édition du 23 février 2005
    37. Journal 20 minutes, édition du 16 décembre 2005
    38. IAURIF - Sites et monuments historiques protégés
    39. Henri Bertin et Stéphane Gasser, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Franconville », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I, , p. 279-291 (ISBN 2-84234-056-6).
    40. voir http://archives.valdoise.fr/ark:/18127/vta52031285137fb/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_0eebc843743cf404aacc9b0cb35426cf#id:1840147666?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=1444.000,-1016.000&zoom=6&rotation=0.000. Vue 247/253.
    41. voir http://www.archives43.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMTktMDItMjQiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6MztzOjQ6InJlZjIiO2k6NDMzNDtzOjE2OiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sIjtiOjE7czoyMToidmlzaW9ubmV1c2VfaHRtbF9tb2RlIjtzOjQ6InByb2QiO30=#uielem_move=172%2C76&uielem_rotate=F&uielem_islocked=1&uielem_zoom=77. Vue 339/343.
    42. Site internet consacré à Marcel l'Enfant
    • Portail du Val-d'Oise
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Sharealike. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.