Jean Rochefort
Jean Rochefort est un acteur français, né le à Paris où il est mort le .

Nom de naissance | Jean Raoul Robert Rochefort |
---|---|
Naissance |
Paris 20e, France |
Nationalité |
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Décès |
Paris 14e, France |
Profession |
Acteur Réalisateur Éleveur de chevaux |
Films notables | voir filmographie |
À l'instar de ses amis de la « bande du Conservatoire » comme Jean-Pierre Marielle, Jean-Paul Belmondo et Philippe Noiret, Jean Rochefort s'est peu à peu imposé comme une figure du cinéma français dès les années 1960. Reconnaissable à sa voix chaude et à sa moustache, il a joué dans cent treize films et trente-sept téléfilms, jusqu'à son dernier rôle dans Floride, en 2015.
D'abord voué aux seconds rôles, notamment aux côtés de Belmondo dans Cartouche, Les Tribulations d'un Chinois en Chine ou L'Héritier, il devient un acteur de premier plan à partir de 1972 dans Les Feux de la Chandeleur, aux côtés d'Annie Girardot et Claude Jade. Il s'installe ensuite au sommet de l'affiche de nombreux films français notables, parmi lesquels Le Grand Blond avec une chaussure noire avec Pierre Richard, L'Horloger de Saint-Paul avec Philippe Noiret, Que la fête commence, Un éléphant ça trompe énormément et sa suite, Nous irons tous au paradis, Le Crabe-tambour, Le Moustachu, Tandem, Le Mari de la coiffeuse, Ridicule, ou encore Le Placard. Alternant des rôles dans des films grand public et des films d'auteurs, il est devenu une figure emblématique du cinéma français.
Plusieurs fois récompensé, Jean Rochefort remporte notamment le César du meilleur acteur dans un second rôle pour Que la fête commence en 1976 et le César du meilleur acteur pour Le Crabe-tambour en 1978, puis reçoit en 1999 un César d'honneur, couronnant l'ensemble de sa carrière.
Biographie
Jeunesse
Né à Paris[1],[2],[3], de parents bretons — Célestin Rochefort, cadre dans l'industrie pétrolière, originaire de Dinan, et Fernande Guillot, comptable[4] —, Jean Rochefort grandit à Vichy pendant la Seconde Guerre mondiale (à la Libération, il assiste au spectacle des femmes tondues, ce qui lui donnera une vision noire de la nature humaine[5]), puis à Vincennes.
Enfant rêveur, il fait des études médiocres au lycée Corneille de Rouen, au collège de Cusset et au lycée Marcelin-Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés[4]. Il désespère son père, à l'opposé de son frère aîné Pierre qui intègre Polytechnique[6],[7] et devient ultérieurement ingénieur général de l'armement[8].
Après la guerre, à seize ans, il est embauché comme garçon de bureau à la Banque de France. Durant la même période, la famille Rochefort achète une résidence secondaire à Saint-Lunaire. Mais en 1948, à la suite d'une mésentente passagère entre ses parents, Jean et sa mère sont contraints de rester en Bretagne après les vacances estivales. C'est durant l'hiver de cette année-là que l'ennui le lie à Pierre Besson, le fils de la marchande du bazar qui le persuade de prendre des cours de théâtre à Nantes, puis l'année suivante, de venir à Paris suivre à dix-neuf ans les cours à l'école de la rue Blanche[9].
Il entre ensuite au Conservatoire national supérieur d'art dramatique de Paris où il a pour condisciples Jean-Paul Belmondo, Claude Rich et Jean-Pierre Marielle, au sein de la « bande du Conservatoire », mais il apprend, le , qu'il n'est pas admis à concourir[4].
Après son service militaire en 1953, il travaille avec la Compagnie Grenier-Hussenot comme comédien durant sept ans. Il y est remarqué pour son aisance à jouer tant le drame que la comédie.
Carrière
Jean Rochefort commence sa carrière au théâtre à l'âge de vingt-trois ans. Il se dit comblé par cette expérience car il a interprété des auteurs anglais, comme Harold Pinter, et a eu des partenaires comme Delphine Seyrig[10].
Au cinéma, il connaît le succès dès 1961 avec Cartouche, puis avec Les Tribulations d'un Chinois en Chine en 1965. Porté par le succès, il enchaîne avec le tournage de trois épisodes de la série Angélique, marquise des anges, entre 1964 et 1966.
Il réalise deux courts-métrages documentaires : Rosine en 1973, qui témoigne de sa passion des chevaux et suit les épreuves d'équitation d'une jeune cavalière à Coëtquidan ; et T'es fou, Marcel? - Hommage irrespectueux comme tous les hommages en 1974, un portrait du comédien Marcel Dalio. Il se lie d'une forte amitié avec Philippe Noiret et Jean-Pierre Marielle.
En 1972, il joue son premier grand rôle dans Les Feux de la Chandeleur de Serge Korber. Il est dans ce drame l'ex-mari d'Annie Girardot et le père de la jeune Claude Jade, qui veut réconcilier ses parents, et du jeune Bernard Le Coq. Puis il a joué dans Le diable dans la boîte en 1977 et Il faut tuer Birgitt Haas en 1981. Dans Les Feux de la Chandeleur, il a joue à l'âge de 41 ans un père de famille d'enfants adultes (la jeune Claude Jade avait déjà 23 ans). Pour paraître plus âgé, il porte une moustache, sa marque distinctive, qu'il n'enlèvera qu'à deux reprises : en 1996, pour le film Ridicule, et en 2007 pour le film La Clé.
L'année 1973 marque un tournant dans sa carrière. Il obtient un rôle dans L'Horloger de Saint-Paul. Il considère que ce film a fait de lui l'acteur qu'il allait être par la suite. Il explique que le réalisateur, Bertrand Tavernier, lui a appris à se détendre face à la caméra qui, auparavant, l'impressionnait[10]. Ensuite, il tourne avec Tavernier pour Que la fête commence (1975), un rôle qui lui permet de remporter, à 46 ans, le premier César de l'histoire[11].
Sa personnalité le conduit à jouer dans de nombreuses comédies célèbres, dont les deux diptyques du Grand Blond (1972-1974) et d'Un éléphant ça trompe énormément (1976-1977), ainsi que La Grande Cuisine (1978). Mais il excelle également dans les rôles dramatiques, grâce auxquels il obtient deux Césars. Il reconnaît aussi avoir tourné dans nombre de « navets » pour assouvir sa passion des chevaux. Il appelle ces films les « films avoines »[10],[11].
Il prête sa voix au doublage en français de nombreux films, notamment d'animation. Entre 1985 et 1988, il présente également Les Aventures de Winnie l'ourson, pour l'émission Le Disney Channel, diffusée sur FR3.
En 2000, il est Don Quichotte dans le projet de film inachevé L'Homme qui a tué Don Quichotte de Terry Gilliam avec Johnny Depp et Vanessa Paradis. Lors de ce tournage, qui tourne à la catastrophe, Jean Rochefort souffre d'une double hernie discale, l'empêchant à tout jamais de remonter à cheval. La production est arrêtée. En 2006, il participe au clip de Vincent Delerm, Sous les avalanches.
En 2006, au Grand Parc du Puy du Fou, il participe à la création du spectacle "Les Mousquetaires de Richelieu", en assurant la voix off de présentation.

En 2007, il joue avec son fils Julien Rochefort dans un téléfilm adapté d'un conte de Guy de Maupassant, Hautot père et fils. Il participe également à l'album La Mécanique du cœur du groupe français Dionysos[12].
En 2008, il préside la cérémonie des Césars. Cette même année il est choisi par la marque d'assurances en ligne Amaguiz pour une campagne de publicité[13].
En 2015, il est président du jury du Festival du film britannique de Dinard[14].
La même année, il intervient dans une vidéo réalisée par le collectif « Les Boloss des Belles Lettres », qui s'illustre sur son blog par des adaptions contemporaines des classiques de la littérature, dans laquelle l'acteur revisite Madame Bovary[15]. En 2016, une série télévisée financée par France 5 est lancée avec les créateurs du collectif, Quentin Leclerc et Michel Pimpant, où Jean Rochefort raconte chaque semaine en « langage jeune » et décalé un classique de la littérature comme Les Liaisons Dangereuses, Le Petit Prince ou encore Le Père Goriot[16].
Équitation
Le grand-père paternel de Jean Rochefort fut cocher à Dinan avant de devenir éleveur de chevaux en Bretagne[9]. À la trentaine, au cours du tournage de Cartouche en 1962, l'acteur se découvre une passion pour les chevaux et l'équitation. Il devient lui aussi éleveur et acquiert le haras de Villequoy à Auffargis dans les Yvelines. Il affirme avoir mis une centaine de poulains au monde[10]. Nashville III est le premier poulain qu'il a fait naître[17].
Après ce film, Jean Rochefort fait partager sa passion à son ami Philippe Noiret, qui devient lui aussi passionné de chevaux. Le film Les Ripoux et sa suite en donne un exemple. Ils apprennent ensemble à monter à cheval dans un manège avec des gosses de douze ans qui se débrouillaient mieux qu'eux, et se faisaient engueuler comme des gamins par le moniteur[18].
Sa passion équestre l'a amené à devenir consultant pour France Télévisions, pour qui il a commenté diverses épreuves équestres, dont celles des Jeux olympiques d'été de 2004[11], ainsi que la cérémonie d'ouverture, et les Jeux olympiques d'été de 2008.
Engagements
- Jean Rochefort est le parrain du phare de la Vieille (Finistère)[19].
- En 2007, il s'engage dans le combat des Enfants de don Quichotte en faveur des SDF[20].
- En 2013, il devient membre du comité d'honneur de l'Alliance anti-corrida[21].
- En 2014, il parraine l'association Agitateurs de rêves pour les arts du spectacle vivant.[22]
Vie privée
Le , Jean Rochefort se marie avec Élisabeth Marguerite Marie Camille Bardin à Saint-Lunaire, dont il divorcera en [3]. Plus tard cette même année, le à Varsovie en Pologne, Jean Rochefort épouse Aleksandra Moskwa[3], dont il a deux enfants : Marie (1962) et Julien (1965), lui aussi acteur[23]. Après 20 ans de mariage, il divorce et vit pendant sept ans avec Nicole Garcia dont il a un fils, Pierre Rochefort (1981), acteur également. En 1989, à Raizeux[24], il épouse en troisièmes noces l'architecte Françoise Vidal avec qui il a deux enfants, Louise (1990) et Clémence (1992)[25],[4].
Il possède une maison à Grosrouvre dans les Yvelines[26].
Fin de vie

En , Jean Rochefort est hospitalisé à Paris pour « des douleurs abdominales »[27].
Le , il rend un hommage par téléphone sur Europe 1 à l'acteur Claude Rich, mort la veille. Se connaissant depuis le Conservatoire, ils avaient notamment joué ensemble dans Le Crabe-tambour, qui avait valu à Jean Rochefort le César du meilleur acteur. En 2002, il avait remis à Claude Rich un César d'honneur[28].



Jean Rochefort meurt d'un cancer à Paris le à l'âge de 87 ans[29], alors qu'il était hospitalisé à l'hôpital Saint-Joseph[30]. Ses funérailles ont lieu le à l'église Saint-Thomas-d'Aquin[31]. Il est inhumé au cimetière de Grosrouvre[32] (Yvelines). Sa sépulture est des plus discrètes.
Filmographie
Acteur
Cinéma
Années 1950 et 1960
- 1955 : Rencontre à Paris de Georges Lampin : l’interne
- 1958 : Une balle dans le canon de Charles Gérard et Michel Deville : Leopold
- 1959 : Vingt mille lieues sur la terre (Léon Garros ishchet druga) de Marcello Pagliero : Fernand
- 1961 : Le Capitaine Fracasse de Pierre Gaspard-Huit : Malartic
- 1961 : Le Soleil dans l'œil de Jacques Bourdon
- 1961 : Cartouche de Philippe de Broca : la Taupe
- 1962 : Le Masque de fer d'Henri Decoin : Lastreaumont
- 1962 : Fort du fou de Léo Joannon : Hérange
- 1963 : Symphonie pour un massacre de Jacques Deray : Jabeke
- 1963 : La Porteuse de pain de Maurice Cloche : Ovide Soliveau'
- 1963 : Du grabuge chez les veuves de Jacques Poitrenaud : l'inspecteur Laforêt
- 1963 : La Foire aux cancres de Louis Daquin : le père de Didier
- 1964 : Les Pieds Nickelés de Jean-Claude Chambon : Croquignol
- 1964 : Angélique, marquise des anges de Bernard Borderie : Desgrez
- 1964 : Merveilleuse Angélique de Bernard Borderie : Desgrez
- 1964 : Ah ! Les Belles Familles (Le belle famiglie) (sketch Amare è un po' morire) d'Ugo Gregoretti : le marquis Osvaldo
- 1965 : Les Tribulations d'un Chinois en Chine de Philippe de Broca : Léon
- 1965 : Angélique et le Roy de Bernard Borderie : Desgrez
- 1966 : À cœur joie de Serge Bourguignon : Philippe
- 1966 : Qui êtes-vous, Polly Maggoo ? de William Klein : Grégoire Pecque
- 1967 : Ne jouez pas avec les Martiens d'Henri Lanoë : René Mastier
- 1967 : Pour un amour lointain d'Edmond Séchan : Guillaume
- 1967 : Le Dimanche de la vie de Jean Herman : le capitaine Bordeille
- 1968 : Le Diable par la queue de Philippe de Broca : le comte Georges
- 1969 : Le Temps de mourir d'André Farwagi : Hervé Breton
Années 1970
- 1970 : La Liberté en croupe d'Édouard Molinaro : Moss
- 1970 : Céleste de Michel Gast : Georges Cazenave
- 1972 : L'Œuf (de Félicien Marceau), film de Jean Herman : Victor Dugommier
- 1972 : Le Grand Blond avec une chaussure noire d'Yves Robert : le colonel Toulouse
- 1972 : Les Feux de la Chandeleur de Serge Korber : Alexandre Boursault
- 1972 : L'Héritier de Philippe Labro : André Berthier, dit « le nonce »
- 1972 : Le Complot de René Gainville : Dominique
- 1973 : Bel ordure de Jean Marbœuf : l’inspecteur
- 1973 : Salut l'artiste d'Yves Robert : Clément
- 1973 : L'Homme aux nerfs d'acier (Dio, sei proprio un padreterno !) de Michele Lupo : Louis Annunziata
- 1973 : Comment réussir quand on est con et pleurnichard de Michel Audiard : Foisnard
- 1973 : L'Horloger de Saint-Paul de Bertrand Tavernier : l'inspecteur Guilboud
- 1974 : Le Retour du grand blond d'Yves Robert : le colonel Toulouse
- 1974 : Le Fantôme de la liberté de Luis Buñuel : Legendre
- 1974 : Isabelle devant le désir de Jean-Pierre Berckmans : monsieur Vaudois
- 1974 : Mon Dieu, comment suis-je tombée si bas ? (Mio Dio come sono caduta in basso !) de Luigi Comencini : Henri de Sarcey
- 1974 : Les Innocents aux mains sales de Claude Chabrol : maître Albert Légal
- 1975 : Un divorce heureux (En Lykkelig skilsmisse) de Henning Carlsen : Jean-Baptiste Morin
- 1975 : Les vécés étaient fermés de l'intérieur de Patrice Leconte : le commissaire Pichard
- 1975 : Les Magiciens de Claude Chabrol : Édouard
- 1975 : Que la fête commence de Bertrand Tavernier : l'abbé Dubois
- 1976 : Calmos de Bertrand Blier : Albert
- 1976 : Le Diable dans la boîte de Pierre Lary : Alain Brissot
- 1976 : Un éléphant ça trompe énormément d'Yves Robert : Étienne Dorsay
- 1977 : Le Crabe-tambour de Pierre Schoendoerffer : le commandant
- 1977 : Nous irons tous au paradis d'Yves Robert : Étienne Dorsay
- 1977 : La Grande Cuisine (Who Is Killing The Great Chefs of Europe?) de Ted Kotcheff : Auguste Grandvilliers
- 1978 : Le Cavaleur de Philippe de Broca : Édouard Choiseul
- 1978 : French Postcards de Willard Huyck : monsieur Tessier
- 1979 : Grandison d'Achim Kurz : Carl Grandison (inédit en France)
- 1979 : Courage, fuyons d'Yves Robert : Martin Belhomme / Adrien Belhomme
- 1979 : Chère inconnue de Moshé Mizrahi : Gilles Martin
Années 1980
- 1980 : Je hais les blondes (Odio le bionde) de Giorgio Capitani : Donald Rose
- 1980 : Un étrange voyage d'Alain Cavalier : Pierre
- 1981 : Il faut tuer Birgitt Haas de Laurent Heynemann : Charles-Philippe Bauman
- 1981 : L'Indiscrétion de Pierre Lary : Alain Tescique
- 1982 : Le Grand Frère de Francis Girod : Charles-Henri Rossi
- 1983 : Un dimanche de flic de Michel Vianey : Rupert
- 1983 : L'Ami de Vincent de Pierre Granier-Deferre : Vincent Lamarre
- 1984 : Frankenstein 90 d'Alain Jessua : Victor Frankenstein
- 1984 : Réveillon chez Bob de Denys Granier-Deferre : Louis Alban
- 1985 : David, Thomas et les autres de László Szabó : M. Louis
- 1985 : La Galette du roi de Jean-Michel Ribes : Arnold III
- 1987 : Le Moustachu de Dominique Chaussois : le capitaine Duroc
- 1987 : Mes quarante premières années (I miei primi quarant'anni) de Carlo Vanzina : Principe Riccio
- 1987 : Tandem de Patrice Leconte : Michel Mortez
- 1989 : Je suis le seigneur du château de Régis Wargnier : Monsieur Bréaud
Années 1990
- 1990 : Le Mari de la coiffeuse de Patrice Leconte : Antoine
- 1990 : Le Château de ma mère d'Yves Robert : Lois de Monmajour / Adolphe Cassignol
- 1991 : Amoureux fou de Robert Ménard : Rudolph
- 1992 : Le Bal des casse-pieds d'Yves Robert : Henri Sauveur
- 1992 : El largo invierno de Jaime Camino : Jordi Casals
- 1992 : Visionarium de Jeff Blyth : Louis XV (court-métrage d'attraction Disney)
- 1992 : L'Atlantide de Bob Swaim : Le Meige
- 1993 : Tango de Patrice Leconte : Bellhop
- 1993 : Cible émouvante de Pierre Salvadori : Victor Meynard
- 1993 : Tombés du ciel de Philippe Lioret : Arturo Conti
- 1994 : Et ensuite, le feu de Fabio Carpi : Amedeo
- 1994 : Prêt-à-Porter de Robert Altman : inspecteur Tantpis
- 1994 : Même heure, l'année prochaine (Tutti gli anni una volta l'anno) de Gianfrancesco Lazotti : Raffaele
- 1995 : Tom est tout seul de Fabien Onteniente : Jean-Pierre
- 1996 : Palace de Joan Gràcia, Paco Mir et Carles Sans : Thomas Fausto
- 1996 : Les Grands Ducs de Patrice Leconte : Eddie Carpentier
- 1996 : Ridicule de Patrice Leconte : le marquis de Bellegarde
- 1996 : Never Ever de Charles Finch : Gérard Panier
- 1997 : Barracuda de Philippe Haïm : Monsieur Clément
- 1998 : Le serpent a mangé la grenouille d'Alain Guesnier : Monsieur Moreau
- 1998 : Le Vent en emporte autant d'Alejandro Agresti : Edgard Wexley
- 1998 : In and out of fashion de William Klein : images d'archives
- 1999 : Rembrandt de Charles Matton : Nicolaes Tulp
Années 2000 et 2010
- 2000 : La Vie sans secret de Walter Nions d'Hugo Gélin : Walter Nions
- 2000 : À propos de Buñuel (documentaire) de José Luis Lopez Linares et Javier Rioyo : lui-même
- 2001 : Le Placard de Francis Veber : Kopel, le directeur de l'usine
- 2001 : The Man Who Killed Don Quixote de Terry Gilliam : Don Quixote (inachevé)
- 2001 : Honolulu Baby de Maurizio Nichetti : Cri-Cri
- 2002 : L'Homme du train de Patrice Leconte : Manesquier
- 2002 : Blanche de Bernie Bonvoisin : le cardinal Mazarin
- 2003 : Les Clefs de bagnole de Laurent Baffie : un comédien qui refuse de tourner avec Laurent (simple apparition)
- 2004 : RRRrrrr !!! d'Alain Chabat : Lucie
- 2005 : Akoibon d'Édouard Baer : Chris Barnes
- 2005 : L'Enfer de Danis Tanović : Louis
- 2006 : Ne le dis à personne de Guillaume Canet : Gilbert Neuville
- 2006 : Désaccord parfait d'Antoine de Caunes : Louis Ruinard
- 2007 : Les Vacances de Mr. Bean de Steve Bendelack : le maître d'hôtel
- 2007 : La Clef de Guillaume Nicloux : Joseph Arp
- 2008 : J'ai toujours rêvé d'être un gangster de Samuel Benchetrit : Jean
- 2008 : Agathe Cléry d'Étienne Chatiliez : Louis Guinard
- 2010 : Le Joueur de citernes d'Emmanuel Gorinstein[33]
- 2012 : Astérix et Obélix : Au service de sa Majesté de Laurent Tirard : Lucius Fouinus
- 2012 : L'Artiste et son modèle de Fernando Trueba : Marc Cros
- 2013 : Jappeloup de Christian Duguay : Lui-même
- 2015 : Floride de Philippe le Guay : Claude Lherminier[34]
- 2019 : Je ne sais pas si c'est tout le monde de Vincent Delerm : lui-même[35]
Télévision
- 1957 : Fiancés du paradis de Lazare Iglesis : le serpent
- 1958 : Monsieur de Saint-Germain de Philippe Ducrest : inspecteur
- 1958 : La Dame de pique de Stellio Lorenzi : Tomski
- 1958 : La caméra explore le temps : La Mort de Marie-Antoinette
- 1960 : Arden de Faversham de Marcel Bluwal
- 1961 : La caméra explore le temps : Les Templiers : Guillaume de Plaisians
- 1961 : Loin de Rueil de Claude Barma : Jacques l'Aumône
- 1961 : Le Mariage de Figaro de Marcel Bluwal : Comte Almaviva
- 1962 : La Lettre dans un taxi de Pierre Badel : Paul
- 1962 : La Nuit des rois de Claude Barma : Sir André
- 1963 : Le Scieur de long de Marcel Bluwal : Jean-Marie Bonnefoit
- 1965 : Genousie de Claude Loursais : Philippe Hassingor
- 1965 : Le Naïf amoureux de Philippe Ducrest : Paul
- 1967 : Le Lapin de Noël de Jean-Pierre Bastid dans l'émission Dim, Dam, Dom
- 1968 : Don Juan revient de guerre de Marcel Cravenne : Don Juan
- 1971 : Le Misanthrope de Pierre Dux : Alceste
- 1983 : Le Scénario défendu de Michel Mitrani : Antoine Rossi
- 1983 : Les chiens de Jérusalem de Fabio Carpi : Nicodème
- 1985 : L'Énigme blanche de Peter Kassovitz : Henri
- 1988 : Guerra di spie de Duccio Tessari : Giovanni Sperelli
- 1988 : Sueurs froides : Un cœur de pierre d'Alain Bonnot : Arnaud Delamarre
- 1990 : La Seconde de Christopher Frank : Farou
- 1995-2001 : Les Bœuf-carottes : commissaire Antoine Venturi (série TV de 9 épisodes)
- 1997 : Clara et son juge de Joël Santoni : le juge Larcher
- 1998 : Le Comte de Monte-Cristo , mini-série de Josée Dayan : Fernand Mondego, comte de Morcerf
- 2002 : Saint-Germain ou la Négociation de Gérard Corbiau : Henri de Malassise
- 2004 : Frankenstein de Kevin Connor : l'homme aveugle jouant du violon
- 2006 : Chez Maupassant : Hautot père et fils de Marc Rivière : Hautot père
- 2010 : Le Grand restaurant (divertissement) de Gérard Pullicino : un client
- 2011 : Belmondo, itinéraire... de Vincent Perrot et Jeff Domenech : témoignage
- 2016 : Les Boloss des Belles Lettres, série
Documentaire
- 2002 : Lost in La Mancha de Keith Fulton et Louis Pepe : lui-même
- 2014 : Le Chercheur inquiet d'Avril Tembouret : lui-même
Clips

- 2006 : Clip Sous les avalanches de Vincent Delerm
- 2008 : Clip L'homme sans trucage de Dionysos
Publicités
Réalisateur
- 1973 : Rosine - court-métrage (+ scénariste et acteur)
- 1974 : T'es fou Marcel... - court-métrage, avec Marcel Dalio et Jean-Paul Belmondo entre autres.
- 2010 : Cavaliers seuls - documentaire co-réalisé avec Delphine Gleize
Théâtre
- 1953 : Azouk d'Alexandre Rivemale, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Fontaine
- 1953 : L'Huitre et la Perle de William Saroyan, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Fontaine
- 1953 : Les Images d'Épinal d'Albert Vidalie, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Cabaret La Fontaine des Quatre-Saisons
- 1954 : Responsabilité limitée de Robert Hossein, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Fontaine
- 1954 : L’Amour des quatre colonels de Peter Ustinov, adaptation Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Fontaine
- 1957 : Romanoff et Juliette de Peter Ustinov, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Marigny
- 1957 : L’Amour des quatre colonels de Peter Ustinov, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre de l'Ambigu-Comique
- 1958 : Tessa la nymphe au cœur fidèle de Jean Giraudoux d'après Basil Dean et Margaret Kennedy, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Marigny
- 1958 : L’Étonnant Pennypacker de Liam O'Brien, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Marigny
- 1960 : Champignol malgré lui de Georges Feydeau et Maurice Desvallières, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Marigny
- 1960 : Le Comportement des époux Bredburry de François Billetdoux, mise en scène de l'auteur, Théâtre des Mathurins
- 1960 : Génousie de René de Obaldia, mise en scène Roger Mollien, TNP Théâtre Récamier
- 1961 : Loin de Rueil de Maurice Jarre et Roger Pillaudin d'après Raymond Queneau, mise en scène Maurice Jarre et Jean Vilar, TNP Théâtre national de Chaillot
- 1962 : Frank V de Friedrich Dürrenmatt, mise en scène André Barsacq, Théâtre de l'Atelier
- 1964 : Cet animal étrange de Gabriel Arout d’après Anton Tchekhov, mise en scène Claude Régy, Théâtre Hébertot
- 1965 : La Collection et L’Amant d'Harold Pinter, mise en scène Claude Régy, Théâtre Hébertot
- 1966 : La prochaine fois je vous le chanterai de James Saunders, mise en scène Claude Régy, Théâtre Antoine
- 1969 : Le Prix d'Arthur Miller, mise en scène Raymond Rouleau, Théâtre Montparnasse
- 1970 : Un jour dans la mort de Joe Egg de Peter Nichols, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
- 1971 : C'était hier d'Harold Pinter, mise en scène Jorge Lavelli, Théâtre Montparnasse
- 1982 : L'Étrangleur s'excite d'Éric Naggar, mise en scène Jean Rochefort, Théâtre Hébertot
- 1985 : Boulevard du mélodrame de Juan Pineiro et Alfredo Arias, mise en scène Alfredo Arias, Centre dramatique national d'Aubervilliers[36]
- 1988 : Une vie de théâtre de David Mamet, adaptation Pierre Laville, mise en scène Michel Piccoli, Théâtre des Mathurins
- 1988 : La Femme à contre-jour d'Éric Naggar, mise en scène Jean Rochefort, Théâtre des Mathurins
- 1988 : L'Histoire du soldat d'Igor Stravinsky, mise en scène Jean Rochefort, Théâtre de Paris
- 1988 : Le Carnaval des animaux musique Camille Saint-Saëns
- 1989 : Une vie de théâtre de David Mamet, mise en scène Michel Piccoli
- 1991 : L'Histoire du soldat d'Igor Stravinsky, mise en scène Jean Rochefort
- 1995 : Oraison funèbre sur la mort de Condé de Jacques-Bénigne Bossuet, musique de Jean-Baptiste Lully, direction Hervé Niquet, chapelle royale du château de Versailles
- 1996 : Le Petit Tailleur, musique de Tibor Harsányi et Le Carnaval des animaux, musique Camille Saint-Saëns, Théâtre du Châtelet, Bruxelles
- 1998 : « Art » de Yasmina Reza, mise en scène Patrice Kerbrat, avec Pierre Vaneck et Jean-Louis Trintignant, Théâtre Hébertot
- 2004 : Heureux ? sketchs de Fernand Raynaud, avec Bruno Fontaine, Comédie des Champs-Élysées
- 2006 : Mousquetaires de Richelieu, spectacle du Puy du Fou
- 2007 : Entre autres, spectacle seul en scène, accompagné à l'accordéon par Lionel Suarez, dans lequel il rend hommage aux auteurs qui l’ont toujours accompagné, de Roland Barthes à Jean Yanne en passant par Fernandel, Verlaine, Boby Lapointe ou Primo Levi, Théâtre de la Madeleine
- 2007 à l'Olympia : a chanté Félicie aussi, chanson de Fernandel, lors des trois derniers concerts de la tournée de Vincent Delerm les 30, et
Voix off et narration

Cinéma
- 1971 : Les Malheurs d'Alfred ou Les Malheurs d'Alfred ou après la pluie... le mauvais temps de Pierre Richard
- 1995 : Les Affinités électives (affinita elective) de Vittorio et Paolo Taviani : voix du récitant
- 2003 : Il était une fois Jean-Sébastien Bach de Jean-Louis Guillermou : le narrateur
- 2003 : Fanfan la Tulipe de Gérard Krawczyk : voix du récitant
Télévision
- 1978 : Encyclopédie audiovisuelle du cinéma (TV) : narrateur
- 1985 : Les Aventures de Winnie l'ourson (série TV) : narrateur
- 2004 : Les Bottes de Renaud Bertrand : voix du récitant
- 2005 : De Gaulle intime : narrateur du documentaire
- 2010 : Docteur Tom ou la liberté en cavale de Tristan Carné : narrateur
Livre audio
- Le Pont de la rivière Kwaï, de Pierre Boulle (5 cassettes audio, 1988, Auvidis)
Doublage
Cinéma
- 1989 : Les Dieux sont tombés sur la tête 2 : le narrateur
- 1998 : Dr. Dolittle : le tigre (voix française)
- 2004 : Les Dalton de Philippe Haïm : la voix de Jolly Jumper
- 2004 : La Dernière Minute de Nicolas Salis (court-métrage d'animation)
- 2005 : Robots de Chris Wedge et Carlos Saldanha : Bigweld
- 2011 : Titeuf, le film de Zep
- 2014 : Jack et la Mécanique du cœur de Mathias Malzieu et Stéphane Berla : Georges Méliès
- 2015 : Avril et le monde truqué de Franck Ekinci et Christian Desmares : Prosper "Pops" Franklin, le grand-père d'Avril
Télévision
- 2004 : Le Clan des rois : Eddie
Discographie
- 1977 : Jean Rochefort et Jean-Pierre Marielle : Paris jadis, paroles de Jean-Roger Caussimon et musique de Philippe Sarde ;
- 1982 : compositeur et interprète du disque de conte pour enfants Le Lièvre bleu ;
- 1982 : voix du conteur pour le livre-disque Rox et Rouky de Walt Disney Pictures ;
- 2007 : voix du conteur pour le livre-disque Le Silence de l'opéra de Pierre Créac'h aux éditions Sarbacane ;
- 2008 : voix sur la chanson L'Homme sans trucage, présente sur l'album La Mécanique du cœur de Dionysos : le personnage de Georges Méliès ;
- 2011 : Weepers Circus, N'importe où, hors du monde, livre-disque auquel participe une quarantaine d'invités aux titres d'auteurs ou d'interprètes. Jean Rochefort y donne sa voix sur le titre Anywhere out of the World, la dernière plage de l'album ;
- 2015 : Puisque vous partez en voyage, duo avec Sandrine Kiberlain, chanson du film Floride de Philippe Le Guay.
Publications
- Jean Rochefort et Edwart Vignot, Le Louvre à cheval, Éditions Place des Victoires / Musée du Louvre éditions, 2011. [présentation en ligne]
- Jean Rochefort, Ce genre de choses, Paris, Éditions Stock, , 208 p. (ISBN 978-2-2340-7013-4)
Distinctions

Récompenses
- Prix du Syndicat de la critique 1970 : meilleur comédien dans une pièce de théâtre pour Un jour dans la mort de Joe Egg (1969).
- 1re cérémonie des César 1976 : César du meilleur acteur dans un second rôle dans un drame historique pour Que la fête commence (1975).
- César 1978 : César du meilleur acteur dans un drame d'aventure pour Le Crabe-tambour (1977).
- 1982 : Festival des films du monde de Montréal du meilleur acteur dans un thriller pour L'Indiscrétion (1981).
- 1983 : Mystfest du meilleur acteur dans un thriller pour L'Indiscrétion (1981).
- 1994 : Festival des films du monde de Montréal de la meilleure distribution dans une comédie dramatique pour Prêt-à-Porter (1994) partagée avec Marcello Mastroianni, Sophia Loren, Jean-Pierre Cassel, Kim Basinger, Chiara Mastroianni, Stephen Rea, Anouk Aimée, Rupert Everett, Rossy de Palma, Tara Leon, Georgianna Robertson, Lili Taylor, Ute Lemper, Forest Whitaker, Tom Novembre, Richard E. Grant, Anne Canovas, Julia Roberts, Tim Robbins, Lauren Bacall, Lyle Lovett, Tracey Ullman, Sally Kellerman, Linda Hunt, Teri Garr, Danny Aiello et Michel Blanc.
- César du cinéma 1999 : Lauréat du César d'honneur pour l’ensemble de sa carrière.
- Mostra de Venise 2002 : Lauréat du Prix du Public du meilleur acteur dans un thriller dramatique pour L'Homme du train (2002).
- Prix Lumières 2003 : Meilleur acteur dans un thriller dramatique pour L'Homme du train (2002).
- Prix Henri Desgrange de l'Académie des sports : 2006[37]
Nominations
- César du cinéma 1980 : nomination au César du meilleur acteur pour Courage, fuyons
- César du cinéma 1988 : nomination au César du meilleur acteur pour Tandem
- César du cinéma 1991 : nomination au César du meilleur acteur pour Le Mari de la coiffeuse
- César du cinéma 1997 : nomination au César du meilleur acteur dans un second rôle pour Ridicule
- Prix Goya 2013 : nomination au Prix Goya du meilleur acteur pour El artista y la modelo[38]
Décorations[39]
Chevalier de la Légion d'honneur Officier de l'ordre national du Mérite Chevalier de l'ordre du Mérite agricole (2004) ; décoration remise par le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin le , à l'Hôtel de Matignon[40] Officier de l'ordre des Arts et des Lettres
Notes et références
- Selon le Who's Who et son extrait de naissance n° 20/1240/1930, Jean Rochefort est né à Paris et non à Dinan.
- Jean Rochefort, ce Breton de l’intérieur sur ouest-france.fr
- « Acte de naissance », sur CinéArtistes (consulté le 16 novembre 2018)
- Jacques Lafitte, Stephen Taylor, Qui est qui en France, J. Lafitte, , p. 1471
- Christophe Colera, La nudité : pratiques et significations, Cygne, , p. 141
- De la promotion X1946, cf. « Fiche de Pierre Rochefort », sur le site de l’Association des anciens élèves et diplômés de l'École polytechnique (l’AX), Paris (consulté le 27 août 2015) ; y sont notamment indiqués sa date de décès — le — et le corps de fonctionnaires qu'il choisit à la sortie de l'École : le « génie maritime ».
- Ouvrir la « Page d’accueil », sur le site de la bibliothèque de l’École polytechnique, Palaiseau (consulté le 27 août 2015), sélectionner l’onglet « Catalogues de la BCX → Famille polytechnicienne », effectuer la recherche sur « Pierre Rochefort », résultat obtenu : « Rochefort, Pierre Fernand Paul (X 1946) ».
- D'après l’émission de France 2, Un jour, un destin diffusée le samedi , présentée par Laurent Delahousse. Est notamment mentionné dans cette émission que son frère Pierre vient rendre visite à Jean au retour du Jauréguiberry à Lorient, à la fin du tournage du Crabe-tambour.
- Jean Rochefort, mémoires d'un breton de l'intérieur, Ouest-France, 30 août 2014.
- Ciné télé Obs samedi 16 au vendredi 22 mars : Jean Rochefort, le magnifique. p. 6
- « Mort de Jean Rochefort : une allure, un flegme, une carrière », Fabien Randanne, 20 minutes.fr, 9 octobre 2017.
- Sur le titre L'Homme sans trucages.
- « Jean Rochefort mis en scène pour Amaguiz.com », sur https://www.e-marketing.fr/
- Président du jury. sur Festival du film Dinard.com
- « L'improbable résumé de Madame Bovary en "langage de jeunes" par Jean Rochefort », Fabien Morin, Le Figaro.fr, 21 mars 2015
- « Les Boloss des Belles Lettres poursuivent l’aventure à la télévision », Jérôme Gicquel, 20 minutes.fr, 20 janvier 2016.
- Claire Feltesse, « Nashville III, cheval de cœur de Jean Rochefort », L'Eperon, (lire en ligne).
- Jean Rochefort : «Je suis un acteur éleveur», L'Équipe, 9 octobre 2017, tiré d'un article paru en 2013
- Émission pour les trente ans de Thalassa du 5 septembre 2005, France 3.
- « Des SDF chassés de leurs tentes à Paris », L'Obs, (lire en ligne[archive du ], consulté le 17 mai 2019)
- « L'acteur Jean Rochefort rejoint les anti-corrida », Le 'Huffington Post.fr, 21 février 2013 (consulté le 26 juin 2015).
- « Décès de Jean Rochefort : les Agitateurs de Rêve d'Annecy perdent leur parrain », sur France Bleu,
- « Jean Rochefort et ses cinq enfants : Qui sont les héritiers du grand acteur ? », sur www.purepeople.com
- « Généalogie de "Célestin" Jean Baptiste Léon ROCHEFORT », sur Geneanet (consulté le 17 mai 2019)
- Sasha Beckermann, « Jean Rochefort : "Je regrette d'avoir été un mauvais père" [Photos] - Télé Star », sur Téléstar.fr, (consulté le 17 mai 2019)
- Claude Askolovitch, « Le Crépuscule des hommes », Vanity Fair n°49, août 2017, pages 90-97.
- « Jean Rochefort, mort d'un acteur élégant », sur Le Figaro.fr, .
- « Jean Rochefort : "Claude Rich avait la gourmandise de son art" », Europe 1.fr, 21 juillet 2017.
- « L’acteur Jean Rochefort est mort », sur Le Monde.fr, .
- « Mort de Jean Rochefort : Télé 7 Jours lui rend hommage », sur programme-television.org, consulté le 9 octobre 2017.
- « Jean Rochefort : ses obsèques célébrées ce vendredi à Paris », Le Figaro.fr, 11 octobre 2017
- ROCHEFORT Jean (1930-2017) - cimetière de Grosrouvre (78), site Cimetières de France et d'ailleurs
- « Le Joueur de citernes (2010) », sur www.unifrance.org (consulté le 21 mars 2018)
- Philippe Le Guay tourne Floride, sur le site cineuropa.org du 16 septembre 2014.
- JE NE SAIS PAS SI C'EST TOUT LE MONDE, sur le site allocine.fr .
- Télé 7 jours no 1377, du 18 au 24 octobre 1986, p. 99, « Note critique : Un hommage flamboyant au Boulevard du crime. Une mise en scène insolente et une troupe de comédiens qui joue le jeu avec un bonheur évident. En tête, Jean Rochefort qui interprète avec panache le célèbre Robert Macaire. »
- Prix Henri Desgrange 2006, sur le site de l'Académie des sports.
- « Goya al mejor actor, los Goya 2013 », sur www.premios-cine.com (consulté le 9 octobre 2017)
- « Biographie Jean Rochefort Artiste dramatique », sur Who's who in France, Lafitte-Hébrard,
- « Jean Rochefort décoré du Mérite agricole », L'Obs.com, 14 septembre 2004.
Bibliographie
- Jean-Philippe Guerand, Jean Rochefort, prince sans rire, Robert Laffont, 2018, 616 p.
Liens externes
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- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes : Encyclopædia Universalis • Munzinger Archiv • Store norske leksikon • Who's Who in France
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