Jouarre
Jouarre est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Jouarre | |||||
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![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Meaux | ||||
Canton | La Ferté-sous-Jouarre | ||||
Intercommunalité | CA Coulommiers Pays de Brie | ||||
Maire Mandat |
Fabien Vallée 2014-2020 |
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Code postal | 77640 | ||||
Code commune | 77238 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Jotranciens | ||||
Population municipale |
4 337 hab. (2017 ![]() |
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Densité | 103 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 55′ 38″ nord, 3° 07′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 51 m Max. 183 m |
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Superficie | 42,19 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | jouarre.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Jotrancien(ne)s.
Géographie
Localisation
La ville est située à 3 km au sud de La Ferté-sous-Jouarre sur un plateau à 150 m d'altitude.
Avec 4 219 hectares, c'est en superficie la seconde commune de Seine-et-Marne après celle de Fontainebleau.
communes limitrophes
Hydrographie
Le système hydrographique de la commune se compose de dix-sept cours d'eau référencés :
- le ru de Péreuse , long de 3,3 km[1], affluent de la Marne ;
- la rivière le Petit Morin, long de 86,3 km[2], affluent de la Marne en rive gauche, ainsi que ;
- le ru du Rognon, long de 13,2 km[8], au sud-ouest de la commune ;
- le cours d'eau 01 du Petit Bibartault, 4,1 km[9], qui conflue avec le ru du Rognon ;
- le ru de Bourgogne, 7,5 km[12], qui conflue dans le ru du Rognon ;
- le fossé 01 du Bois d'Arrageon, long de 1,6 km[13], qui conflue dans le ru de Bourgogne ;
- le cours d'eau 01 de la commune de Saint-Germain-sous-Doue, 5 km[14], qui conflue avec le ru de l'Orgeval ;
- le fossé 01 de la Commune de Doue, 1,3 km[15], qui conflue avec le cours d'eau 01 de la Commune de Saint-Germain-sous-Doue ;
- le fossé 01 de l'Étang de Péreuse, 2,4 km[16] ;
- le fossé 01 de Villers, 2,8 km[17], qui conflue avec le ru du Rognon.
Par ailleurs, son territoire est également traversé par l’aqueduc de la Dhuis et aussi baignée de quelques plans d’eau dont l’étang de Perreuse.
La longueur linéaire globale des cours d'eau sur la commune est de 31,96 km[18].
Voies de communication et transports
- Gare de La Ferté-sous-Jouarre à 4 km.
- Réseau de bus Darche-Gros lignes 40 (La Ferté-sous-Jouarre - Jouarre - Coulommiers) et 41 (La Ferté-sous-Jouarre - Jouarre - Sept-Sorts).
Urbanisme
Lieux-dits, écarts et quartiers
La commune compte 270 lieux-dits administratifs répertoriés[19].
- Cinq lieux-dits peuvent être qualifiés de bourgs : Courcelles-sous-Jouarre (limitrophe de La Ferté-sous-Jouarre), Vanry, Romeny (à ne pas confondre avec la commune de Romeny-sur-Marne), Glairet et les Corbiers.
- Dans le nord-est de la commune : les Pommières, le Gouffre.
- Dans l'ouest de la commune : Petit Ballot, Grand Ballot, Perreuse (château)
- Dans le sud de la commune : L'Hôtel-du-Bois, la Fringale, Grand-Bilbartaut, les Loges, Nolongue (manoir-ferme), Choqueuse (forêt domaniale).
Occupation des sols
En 2018[20], le territoire de la commune se répartit[Note 1] en 64,5 % de terres arables, 26,7 % de forêts, 4,3 % de zones urbanisées, 3,4 % de prairies, 1 % de milieux à végétation arbusive et/ou herbacée[Note 2] et < 0,5 % de zones agricoles hétérogènes[Note 3] - [18].
Toponymie
Domus Dei de Jotro - Jouerre-en-Brie - Juere - Jouarre-Balleau et Courcelles[21].
Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Jouarre-la-Montagne[22].
La racine toponymique de Jouarre renvoie sans doute à une ancienne occupation celte, ce toponyme provient de l'agglutination des mots gaulois divo et durum qui signifie : la « forteresse sacrée ».
Histoire
Antiquité
L'occupation romaine du site, avec peut-être l’aménagement d’un castrum (camp retranché) faisant suite à un bourg fortifié gaulois, permettent d'accréditer cette explication.
Ancien Régime
Cependant, l’essor jotrancien est à rechercher dans la première moitié du VIIe siècle, lorsque saint Adon fonde à cet endroit une abbaye, encore en activité à l’heure actuelle. Les invasions normandes du IXe siècle, les dégradations de la guerre de Cent Ans au XVe siècle, la Révolution française, autant d’événements majeurs qui ont touché cette commune. Mais le patrimoine local est resté intact, et si chaque époque a laissé sa trace, c’est pour mieux révéler ce qui avait été fait antérieurement… Ainsi Jouarre reste l’une des rares communes de la région à conserver autant de vestiges des temps révolus. Joyau du patrimoine et de l’art mérovingien, les cryptes de Jouarre demeurent un ensemble unique en Europe de par leur conservation et de par leur âge[23].
Au temps du roi Dagobert Ier, une grande école du palais réunissait à la cour les fils des plus hauts dignitaires du royaume où il leur était donné une grande culture et une initiation à l’administration royale. C’est ainsi que le roi Dagobert choisissait ses ministres et ses évêques. Authaire, un haut fonctionnaire du palais, y fit instruire ses trois fils, Adon, Dadon et Radon. Originaires de la région, et plus particulièrement d’Ussy-sur-Marne, Authaire reçut chez lui, l'hiver 610-611, la visite du moine irlandais Colomban. Après avoir acquis un haut niveau de culture, Adon, Dadon et Radon assurèrent de grandes fonctions au service du roi Clotaire II, puis de Dagobert Ier. Dadon fut chancelier du royaume puis nommé évêque de Rouen, Radon, fut trésorier de Dagobert Ier et Adon référendaire[23].
Adon quitta assez rapidement la cour du roi pour fonder un monastère sur le site de Jouarre et dota ce dernier de son patrimoine exceptionnel. Des membres de la famille d’Authaire, tels qu'Agilbert et Ebrégisile rejoignirent Adon à Jouarre, puis ce fut au tour de Mode, sa sœur Balde et leurs nièces Telchilde et Aguilberte pour former une communauté de femmes. C’est ainsi que l’abbaye de Jouarre devint un temps un monastère double, où hommes et femmes mènent une vie monastique, en même lieu, en des bâtiments séparés. Techilde en fut la première abbesse. Ainsi, la crypte Saint Paul de Jouarre abrite les tombeaux des fondateurs[23].
Époque contemporaine
En 1915, les bâtiments de l'abbaye de Jouarre sont réquisitionnés pour servir d'hôpital militaire à l'arrière du front.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Politique de développement durable
La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2003[26].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].
En 2017, la commune comptait 4 337 habitants[Note 4], en augmentation de 3,76 % par rapport à 2012 (Seine-et-Marne : +3,7 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Enseignement
École maternelle et primaire.
Manifestations culturelles et festivités
Économie
- Zone Industrielle la Croix de Mission de 3 hectares.
- Exploitations agricoles.
Culture locale et patrimoine





Lieux et monuments
Les cryptes de Jouarre
Les cryptes de Jouarre ont subi plusieurs campagnes de travaux depuis le XVIIe siècle. Jusqu’au XIe siècle, il y avait vraisemblablement un plafond de bois qui reposait sur tous les chapiteaux, dans les deux cryptes. Au XVIIe siècle, les tombeaux sont vidés, pour placer les restes des corps dans des reliquaires et des châsses et on perce des ouvertures pour que les cryptes ne soient plus dans l’obscurité totale.
- Les cryptes renferment les tombeaux de la famille fondatrice de l’abbaye.
- La crypte Saint-Paul : ses chapiteaux du VIIe siècle sont faits de marbre des Pyrénées. Les fûts sont des réemplois gallo-romains du IVe siècle.
- - Le mur occidental de la crypte est un mur dit « réticulé » car les pierres forment un dessin de filet, à la fois par leur disposition, mais aussi par leur taille.
- - Le sarcophage de saint Agilbert qui fut évêque de Dorchester puis de Paris. Il fonda également la première communauté d’hommes de l’abbaye. Le côté du sarcophage présente un magnifique bas-relief. À la tête de ce tombeau, un bas relief, représente le Christ tétramorphe, dans une mandorle, symbolisant les quatre évangélistes.
- - Le tombeau de saint Adon.
- - Les tombeaux de sainte Osanne, sainte Balde, sainte Mode, sainte Telchilde.
- - Le tombeau de sainte Aguilberte, avec des parements d'inspiration coptes sur le dessus et des svastikas, retrouvées dans les temples hindous[30].
- La crypte Saint-Ebrégésile, d'origine carolingienne et utilisée comme chapelle jusqu'au début du XXe siècle abrite le sarcophage de saint Ebrégésile, évêque de Meaux au VIIe siècle, frère de sainte Aguilberte.
- À l’extérieur des cryptes, les vestiges de la basilique funéraire qui fut entièrement détruite lors de la guerre de Cent Ans peuvent être aperçus. L’accumulation des sols au fil des siècles, explique qu’il faille descendre une douzaine de marches avant d’accéder au mausolée[31].
L’abbaye Notre-Dame de Jouarre
L'abbaye bénédictine fondée au VIIe siècle par un disciple de Saint Colomban de Luxeuil, encore habitée par une communauté bénédictine.
- Elle fut démolie en 1792 et rebâtie en 1837. Sa reconstruction intégra des éléments datant du XIIe siècle, notamment le clocher-porche de la tour[31].
La tour romane
La tour romane abrite notamment le magasin des sœurs. On y découvre également une exposition sur l’histoire de l'abbaye et il est possible d'assister à une projection audiovisuelle sur la vie monastique.
- C'est sans doute le monument qui résume le mieux l’histoire de Jouarre. Édifiée à la fin du XIe siècle sur des ruines carolingiennes, elle était le clocher de l’église abbatiale. Incendiée par les partisans anglais pendant la guerre de Cent Ans, la tour n’offrait au regard que des pans de murs calcinés, les planchers en bois ayant été détruits. Des pierres rougies permettent encore aujourd’hui de constater la violence de l’incendie.
- À la fin du XVe siècle, une flèche est construite. Son sommet est surmonté d’une boule de métal dans laquelle sont enchâssées des reliques, dans la pensée de protéger l’édifice des calamités.
- Au XVIe siècle, sous l’impulsion des abbesses Madeleine d’Orléans et Jeanne de Lorraine, la tour est restaurée. Les armoiries de Madeleine d’Orléans sont sculptées aux clefs de voûte dans la salle du deuxième étage. Sur le blason, supporté par deux lions, trois fleurs de lys qui rappellent que l’abbesse était demi-sœur du roi François Ier sont distinguées.
- À la Révolution, la tour est transformée en habitation, annexée d’une forge.
- Au XIXe siècle, la tour, en mauvais état a perdu sa flèche. Pour la sauver, il est alors décidé de la réduire d’un étage, ceci explique sa silhouette massive aujourd’hui.
- La tour offrant un panorama impressionnant sur la vallée servit enfin de poste d’observation et de réglage d’artillerie pendant la bataille de la Marne, en .
- Bombardée en 1914 et 1940, foudroyée en 1951, ses vestiges furent sauvés par l’association « Les amis de l’Abbaye »[31].
Le musée de la Civilisation paysanne
Dans le musée, deux salles de collections données par l’abbaye, et par des familles de Jouarre y sont présentées ; des outils agricoles en tous genres, des châles, des coiffes traditionnelles ainsi que du mobilier rural. Installé "provisoirement" au-dessus des cryptes au début des années 1960, il y resta jusqu'en 2005. En 2015, à la suite d'un changement de destination du bâtiment qui l'abritait, il a regagné la chapelle Saint Martin au-dessus des cryptes.
L'église Saints-Pierre-et-Paul
L'église Saints-Pierre-et-Paul édifiée au XVIe siècle, elle abrite divers joyaux. On peut ainsi citer les châsses des abbesses de Jouarre et autres saints protecteurs, un christ en croix du XVe siècle, une piéta du XVe siècle, une représentation du Christ au tombeau du XVIe siècle, des vitraux du XVIIe siècle, de nombreuses statuettes et sculptures en pierre dont la finesse révèle une maîtrise de l’art et de l’expression et dans la nef de très belles châsses contenant les reliques qui sont portées à dos d'homme chaque année lors de la procession de la Pentecôte[31],[32].
Le manoir de Nolongue
La construction du manoir-ferme de Nolongue remonte probablement à la première moitié du XIVe siècle. Cette ferme est la seule de la région à avoir supporté le poids de la guerre de Cent Ans, conservant encore aujourd’hui son ancien logis, visible sur la façade méridionale des bâtiments. À l’origine, c’était une construction fortifiée, entourée de douves, à l’intérieur de laquelle on pénétrait par un pont-levis. Un manuscrit de 1544 nous livre une excellente description de l’état du domaine d’alors. Aborder Nolongue, c’est aussi évoquer la mémoire de Jean de Brie, qui y fut « gardeur de pourceaux » à partir de 1357. Par la suite, auteur d’un traité de bergerie, intitulé le Bon Berger, il entra dans les faveurs du roi Charles V de France qui en fit son secrétaire particulier[31].
Le domaine de Perreuse
Le domaine de Perreuse et son château du XVIe siècle :
- Durant la première bataille de la Marne, le château fut mis à disposition de l'état-major allié et devint l'un des plus grands hôpitaux militaires de la région. Par la suite, Perreuse devient un centre de repos puis une maison d'accueil et de traitement.
- L’étang de Perreuse a été creusé par les premiers moines bénédictins il y a plus d'un millénaire.
Cimetière militaire du Château de Perreuse
Cette nécropole rassemble des tombes britanniques et françaises.
L'aqueduc de la Dhuis
L'aqueduc de la Dhuis traverse le territoire de la commune.
La Fromagerie Ganot
La Fromagerie Ganot est l'une des fromageries les plus importantes de Seine-et-Marne, elle transforme la crème et le lait en yaourt ou fromage. Elle reçoit plus de 10 000 visiteurs par an.
Personnalités liées à la commune
- Antoine-Laurent de Jussieu, botaniste (1748-1836). En 1817, il achète le domaine de Venteuil, qui devient un véritable centre intellectuel où Antoine–Laurent reçoit ses amis, dont André-Marie Ampère, célèbre mathématicien et physicien. Le domaine est également un lieu de fêtes familiales, puisque chaque année la famille de Jussieu y fêtait la Saint-Antoine le . Très attaché à ce lieu, Antoine–Laurent choisit de terminer ses jours au château de Venteuil et y mourut en 1836.
- Hippolyte Fizeau, physicien (1819-1896), élève de François Arago. Après de grands travaux, calcul de la vitesse de la lumière, il reçut de nombreux prix tels que le prix triennal de l’Institut de France en 1856, il entra dans la section physique de l’Académie des sciences pour en devenir le vice-président en 1877 puis président l’année suivante.
- Brice Parain, philosophe et essayiste français (1897-1971), y est né.
Héraldique
![]() |
Les armes de la commune se blasonnent ainsi : « D’azur à la montagne de sinople, portant la tour carrée du lieu d’or, essorée de gueules, sommé en chef de 3 étoiles d’or. » |
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Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Statistiques de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols “Corine Land Cover”.
- Pelouses, pâturages naturels, landes et broussailles, végétation sclérophylle, forêt et végétation arbustive en mutation.
- Elles comprennent les cultures annuelles associées aux cultures permanentes, les systèmes culturaux et parcellaires complexes, les surfaces essentiellement agricoles, interrompues par des espaces naturels importants et les territoires agro-forestiers.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2020, millésimée 2017, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2019, date de référence statistique : 1er janvier 2017.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Péreuse (F6262000) »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Petit Morin (F62-0400) »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Petit Morin (F6255001) »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Petit Morin (F6255101) »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Petit Morin (F6254101) »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Vorpilliere (F6256000) »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Choisel (F6255000) »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Le ru du Rognon (6544000) »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 01 du Petit Bibartault (F6544500) »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Grand Bibartault (F6544600) »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Petite Brosse (F6544550) »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Bourgogne (F6544800) »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Bois d'Arrageon (F6544850) »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 01 de la Commune de Saint-Germain-sous-Doue (F6542000) »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Commune de Doue (F6542100) »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de l'Étang de Péreuse (F6262050) »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Villers (F6544700) »
- Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 30 novembre 2018
- Site territoires-fr.fr consulté le 29 décembre 2019 sous le code commune 77238.
- Site Corine Land Cover Mises à jour.
- « Jouarre », sur http://www.genea77-shage.info (consulté en mai 2017)
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « L'Histoire de Jouarre (1) », sur Jouarre.fr (consulté en novembre 2014)
- Georges Blond, « La liste de gauche lance un questionnaire », Le Parisien, 4 janvier 2001
- « Annuaire des communes de Seine-et-Marne », sur um77.fr (Union des maires de Seine-et-Marne) (consulté en février 2019).
- Agenda 21 de la commune de Jouarre
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016 et 2017.
- « Objets mobiliers des cryptes de Jouarre », base Palissy, ministère français de la Culture
- « L'Histoire de Jouarre (2) », sur Jouarre.fr (consulté en novembre 2014)
- « Objets mobiliers de l'église Saints-Pierre-et-Paul de Jouarre », base Palissy, ministère français de la Culture
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