Loir-et-Cher
Le Loir-et-Cher [lwaʁ‿eˑʃɛʁ] est un département français situé dans la région Centre-Val de Loire. Son nom provient de deux rivières le traversant, le Loir au nord et le Cher au sud. Sa préfecture est Blois. L'Insee et la Poste lui attribuent le code 41.
Loir-et-Cher | |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Centre-Val de Loire |
Création du département | |
Chef-lieu (Préfecture) |
Blois |
Sous-préfectures | Romorantin-Lanthenay Vendôme |
Président du conseil départemental |
Nicolas Perruchot (LR) |
Préfet | Jean-Pierre Condemine |
Code Insee | 41 |
Code ISO 3166-2 | FR-41 |
Code Eurostat NUTS-3 | FR245 |
Démographie | |
Gentilé | Loir-et-Chériens |
Population | 331 915 hab. (2017) |
Densité | 52 hab./km2 |
Géographie | |
Superficie | 6 343 km2 |
Subdivisions | |
Arrondissements | 3 |
Circonscriptions législatives | 3 |
Cantons | 15 |
Intercommunalités | 11 |
Communes | 276 |
Histoire
Le territoire a été habité dès les temps préhistoriques, mais c’est du Moyen Âge que datent les premiers efforts d’organisation locale : de nombreux châteaux et places fortes sont érigés pour permettre aux habitants de résister aux invasions successives des Normands, Bourguignons, Anglais, etc.
L’économie est assez florissante : commerce dans les vallées, agriculture en expansion dans la Beauce et le Perche et jusqu’en Sologne, qui connaît une relative prospérité jusqu’au XVIIe siècle.
Toutefois, politiquement, la région demeure écartelée entre les comtés et duchés voisins. En 1397, le comté de Blois entre en propriété de la maison d’Orléans. En 1498, Louis d’Orléans (23e comte héréditaire de Blois) monte sur le trône de France, sous le nom de Louis XII : c’est le point de départ de l'importance de Blois et du Blésois dans la vie politique française, notable précisément sous les derniers Valois (1515-1589).
Rois et grands financiers rivalisent alors pour construire châteaux et demeures élégantes qui, par leur nombre, leur importance et leur intérêt, se placent aujourd’hui au premier plan du patrimoine national : Chambord, Blois, Cheverny, etc.
Les guerres de religions suivront, avec une réelle férocité, sous Charles IX.
En 1576 et 1588, les États généraux sont réunis à Blois.
Révolution
Sous la Révolution, la naissance du département de Loir-et-Cher est laborieuse et difficile. Dans son rapport du , le Comité de constitution avait prévu d’attribuer à la ville de Blois l’un des 80 départements. Mais les prétentions des villes voisines se révèlent, en premier lieu celles des chefs-lieux de généralités, Tours et Orléans. À l’intérieur même du département, Montrichard se tourne vers Amboise et Tours, Saint-Aignan veut se rattacher au Berry et Salbris à Vierzon. Finalement, Orléans abandonne à Blois une grande partie de la Sologne tout en conservant Beaugency tandis que Tours refuse de céder Amboise. Le département est créé, le en application de la loi du , à partir d'une partie des anciennes provinces de l'Orléanais et de la Touraine ainsi qu'une parcelle du Berry (rive gauche du Cher de Selles en Berry devenue Selles-sur-Cher à Saint-Aignan). Ces vicissitudes expliquent l’étranglement du département en son milieu et l’étirement maximum de sa surface au-delà du Loir au nord et du Cher au sud.
Après la victoire des coalisés à la bataille de Waterloo (), le département est occupé par les troupes prussiennes de à novembre 1818[1].
Révolution de 1848
La révolution de février 1848 ne suscite pas de troubles particuliers ; le préfet Albert-Magdelaine Claude, comte de Lezay-Marnésia, annonce l'installation du gouvernement provisoire lequel le remplace par Germain Sarrut, un républicain démocrate admirateur de Proudhon. Germain Sarrut a été professeur au Collège de Pontlevoy en 1822 avant de partir à Paris pour devenir avocat.
Sous la pression de la bourgeoisie locale qu'effraie le socialisme de Sarrut, le gouvernement renvoie Sarrut en invoquant une faillite commerciale en 1845, indigne d'un bon républicain, et le remplace par Ducoux, un notable Blésois.
Ducoux continue la faible épuration initiée par Sarrut : 26 maires, 15 adjoints, 7 juges proches de la monarchie de juillet sont remplacés par des notables. De plus, pour implanter la république dans le département, il publie Le catèchisme républicain ou manuel du peuple.
Les élections législatives du 23- donnent lieu à une participation importante dans le Loir-et-Cher ; sur 68 677 inscrits, on compte 61 700 votants soit 10 % d'abstention malgré une faible campagne électorale et des bureaux de vote qui se situent au chef-lieu de canton. Les résultats sont sans surprise : 5 des 6 députés élus (Ducoux, Durant, Normant, Gérard, Salvat) appartiennent à l'opposition bourgeoise de la monarchie de juillet, seul Germain Sarrut représente les républicains démocrates.
Les élections municipales (30-) et du conseil général () sont marquées par une très forte abstention et une forte stabilité dans les résultats ; les journées de ne semblent pas avoir affectées les résultats.
Il n'en est pas de même des élections présidentielles du , qui sont un désaveu pour les notables qui avaient appelé à voter Cavaignac. Le Loir-et-Cher vote massivement pour Louis Napoléon Bonaparte (67 % des inscrits) contre 8,5 % pour Eugène Cavaignac et 4 % pour Ledru Rollin. Lamartine obtient un peu plus de 100 voix, Raspail 59 voix . En effet, Louis Napoléon bénéficie du vote de la paysannerie (80 % de voix dans le Canton de Mondoubleau, 76 % à Lamotte Beuvron) mais également, dans une moindre mesure, de celui des cantons urbanisés (60 % de voix) . Seul point de résistance, le canton de Saint Aignan qui ne donne pas la majorité à Louis Napoléon (42 %) et fait émerger la candidature de Ledru-Rollin (27 % des voix). Cette singularité est due à l'implantation à Saint-Aignan de la Solidarité Républicaine, organisation née à Paris en novembre 1848 sous l'impulsion de républicains démocrates dont Sarrut.
Les élections législatives du donnent également des résultats discordants par rapport aux élections précédentes :
- les notables élus en , républicains modérés, ne sont pas élus : Ducoux perd 37 000 voix, Durand 46 000 voix ;
- on ne trouve qu'un seul élu (Gérard Alexandre) parmi les candidats napoléoniens qui ne recueillent que 27 % des voix des inscrits ;
- quatre députés de gauche et d'extrême gauche (Salvat, Sarrut, Benier, Cantagrel) sont élus.
La période qui suit cette élection est une période de répression pour le mouvement républicain, surtout à partir des manifestations parisienne du 13 juin 1849. Elle se traduit dans le Loir-et-Cher par l'annulation de l'élection de Sarrut. Cette annulation provoque un nouveau vote le qui oppose Sarrut, Ducoux et le candidat bonapartiste, le Vicomte de Clary. C'est ce dernier qui l'emporte avec une faible avance sur Sarrut (1 000 voix) et un fort taux d'abstention (55 %). Mais cette répression montre ces limites : lors de l'élection du visant à remplacer le député Cantagrel en fuite suite à la manifestation du , le candidat fouriériste Etchegoyen l'emporte sur le candidat bonapartiste Crosnier avec une forte participation 72,26 %.
Coup d'État du 2 décembre 1850
Le coup d'État de Louis Napoléon Bonaparte ne provoque pas de manifestation dans le Loir-et-Cher mais, dès le , des arrestations ; au total 137 personnes sont arrêtées dont 21 sont déportées à Cayenne et en Afrique, 9 sont expulsées de France et 12 sont internées. Ces arrestations préparent le plébiscite du qui valide le coup d'État du futur Napoléon III : 85% de participation dont 77 % de Oui contre 7,3 % de Non. Les seules poches de résistance sont le canton de Marchenoir (22 %), lié aux votes des bucherons, Mer (14 %), Blois(13,5 %), Vendôme (14,5 %).
Second Empire
Femmes et hommes célèbres
Le poète Pierre de Ronsard, l'inventeur Denis Papin et l'historien Augustin Thierry sont à l'origine du coup d'État de 1850. D’autres personnages célèbres y sont également liés, parmi lesquels François Ier, Gaston d'Orléans, le maréchal Maunoury et l'abbé Grégoire (évêque de Blois, élu député à la Constituante).
Sur le plan artistique, peut être cité le compositeur Antoine Boësset (1587-1643), musicien à la cour de Louis XIII, qui fut surintendant de la Musique de la Chambre du roi de 1623 à 1643.
Emblèmes
Blason
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Blasonnement :
« Coupé ondé, au premier d'azur aux deux fleurs de lys d'or surmontées d'un lambel d'argent, au second aussi d'or à la fleur de lys aussi d'azur. » |
Géographie


Le département de Loir-et-Cher fait partie de la région Centre-Val de Loire. Il est limitrophe des départements d'Eure-et-Loir, du Loiret, du Cher, de l'Indre, d'Indre-et-Loire et de la Sarthe.
Le département de Loir-et-Cher a une superficie de 6 343 km2 qui le place au 31e rang national en importance de taille. Il bénéficie d'une situation géographique privilégiée, au cœur de la région Centre-Val de Loire et à proximité du Bassin parisien. L'axe ligérien, vivant et dynamique, rapproche Blois, chef-lieu du département, des deux grandes agglomérations voisines, Orléans et Tours.
Situé aux confins du Perche, de la Beauce, de la Sologne et de la Touraine, il trouve son identité territoriale dans la diversité de sa géographie et de ses paysages. Coupé en son centre par la Loire, il donne une image d'équilibre et de diversité. Il est traversé par deux rivières importantes dont il tire son nom : le Loir au nord-ouest et le Cher au sud, qui constituent des points de fixation majeurs de la population hors agglomération de Blois. Il se caractérise aussi par de nombreux étangs principalement localisés au sud, en Sologne.
Contrasté dans ses paysages, le Loir-et-Cher possède également un important patrimoine biologique, ainsi qu'un réseau hydrographique de plus de 4 000 kilomètres de cours d'eau.
Relief
Le Loir-et-Cher est un département relativement plat avec un point culminant de 256 m à Bouffry (la table de valeur est à la sortie du bourg de Fontaine Raoul sur un domaine appartenant à Bouffry), les principaux vallons du département se concentrent au bord du Loir et de la Braye près de Vendôme, le reste du département est très plat que ce soit près des étangs en Sologne ou aux alentours de Blois et de la Loire, ces plaines avoisinent les 100 mètres d'altitude.
Climat
Économie
Agriculture
Le Loir-et-Cher regroupe traditionnellement les dix petites régions agricoles du département en quatre sous-ensembles :
- le Perche (nord du Loir) ;
- la Beauce (nord de la Loire) ;
- la grande Sologne (sud de la Loire) ;
- la Sologne viticole (sud de la Loire).
La diminution continue du nombre des actifs agricoles depuis plusieurs années[Quand ?] se traduit à la fois par un accroissement progressif de la taille des exploitations, notamment dans les zones d’élevage et de grandes cultures du Perche et de la Beauce et, au sud de la Loire, par une tendance à la désertification.
Dans ce cadre, les principales caractéristiques de l’agriculture de Loir-et-Cher sont les suivantes :
- une prédominance des grandes cultures (céréales et oléo-protéagineux) au nord de la Loire ;
- une production viticole ancienne, importante et de qualité ;
- des productions spécialisées, porteuses d’image pour le département : asperges, fraises ;
- un élevage bien implanté : bovins et porcins, en particulier ;
- la sylviculture, qui est un enjeu économique important, avec 200 000 ha de forêts de production.
Industrie
Le secteur secondaire s’appuie sur des filières privilégiées :
- aéronautique ;
- agro-alimentaire ;
- secteur pharmaceutique ;
- la logistique ;
- BTP.
Tertiaire
Le Loir-et-Cher possède plusieurs branches du tertiaire développées :
- le secteur des nouvelles technologies de l’information et de la distribution ;
- le tourisme : 150 monuments sont classés et 285 sont inscrits à l’inventaire supplémentaire du département. Les villes de Blois et Vendôme bénéficient du label « ville d’art et d’histoire » délivré par le ministère de la Culture.
Démographie
En 2017, le département comptait 331 915 habitants[Note 1], en augmentation de 0,08 % par rapport à 2012 (France hors Mayotte : +2,36 %).
Communes les plus peuplées
Nom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
Modifier |
---|---|---|---|---|---|---|
Blois | 41018 | CA de Blois « Agglopolys » | 37,46 | 46 086 (2017) | 1 230 | ![]() ![]() |
Romorantin-Lanthenay | 41194 | CC du Romorantinais et du Monestois | 45,31 | 17 754 (2017) | 392 | ![]() ![]() |
Vendôme | 41269 | CA Territoires Vendômois | 23,89 | 16 569 (2017) | 694 | ![]() ![]() |
Vineuil | 41295 | CA de Blois « Agglopolys » | 22,34 | 7 815 (2017) | 350 | ![]() ![]() |
Le Controis-en-Sologne | 41059 | CC Val-de-Cher-Controis | 100,41 | 6 866 (2017) | 68 | ![]() ![]() |
Mer | 41136 | CC Beauce Val de Loire | 26,47 | 6 238 (2017) | 236 | ![]() ![]() |
Salbris | 41232 | CC La Sologne des rivières | 106,61 | 5 166 (2017) | 48 | ![]() ![]() |
Lamotte-Beuvron | 41106 | CC Cœur de Sologne | 23,34 | 4 724 (2017) | 202 | ![]() ![]() |
Selles-sur-Cher | 41242 | CC Val-de-Cher-Controis | 25,74 | 4 567 (2017) | 177 | ![]() ![]() |
La Chaussée-Saint-Victor | 41047 | CA de Blois « Agglopolys » | 6,63 | 4 503 (2017) | 679 | ![]() ![]() |
Saint-Laurent-Nouan | 41220 | CC du Grand Chambord | 60,98 | 4 357 (2017) | 71 | ![]() ![]() |
Montrichard Val de Cher | 41151 | CC Val-de-Cher-Controis | 19,20 | 3 810 (2017) | 198 | ![]() ![]() |
Montoire-sur-le-Loir | 41149 | CA Territoires Vendômois | 21,02 | 3 782 (2017) | 180 | ![]() ![]() |
Veuzain-sur-Loire | 41167 | CA de Blois « Agglopolys » | 37,96 | 3 503 (2017) | 92 | ![]() ![]() |
Beauce la Romaine | 41173 | CC des Terres du Val de Loire | 136,50 | 3 484 (2017) | 26 | ![]() ![]() |
Démographie
Densité
En 2017, la densité de la population dans le Loir-et-Cher (52,3 habitants par km2) est très inférieure à la moyenne nationale (103,7 habitants par km2). L'armature urbaine s'appuie sur trois villes moyennes (Blois = 46 086 habitants, Vendôme = 16 569 habitants et Romorantin-Lanthenay = 17 754 habitants en 2017) et sur un maillage de pôles secondaires et de bourgs centres qui structurent la vie locale. Les aires de population stable ou croissante correspondent à ces trois centres urbains.
Population active
Le département est avant tout tertiaire, mais encore agricole et très industrialisé. La répartition de l'emploi salarié est la suivante (source INSEE, 31/12/1997) :
- Tertiaire : 63,2 % ;
- Industrie : 27,3 % ;
- Agriculture : 3,0 % ;
- BTP : 6,0 %.
Le secteur tertiaire continue à progresser sans pour autant atteindre les valeurs régionales et nationales. Le secteur secondaire reste sensiblement supérieur à la moyenne nationale et se situe au deuxième rang de la région Centre. L’agriculture représente toujours une part significative de l’économie.
Les habitants de Loir-et-Cher sont les « Loir-et-Chériens ».
Culture
Sport
Tourisme en Loir-et-Cher
Le Cœur Val de Loire, nom de destination touristique de Loir-et-Cher, a la plus forte spécificité touristique de la région Centre. Le département abrite ainsi plus d’un millier d’établissements touristiques.
En plus d’un patrimoine naturel important, le Loir-et-Cher compte :
- 24 châteaux ouverts au public, dont cinq sont propriété de l’État,
- plus d’une trentaine de musées,
- de nombreux manoirs et édifices religieux.
Le ZooParc de Beauval à Saint-Aignan avec 1 001 889 visiteurs en 2012 est le lieu le plus visité de la région devant les châteaux de Chenonceau et de Chambord (775 744 visiteurs en 2012)[5].
Les résidences secondaires
Selon le recensement général de la population du , 8,8 % des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires.
Ce tableau indique les principales communes de Loir-et-Cher dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 10 % des logements totaux.
Commune | Population SDC | Nombre de logements | Résidences secondaires | % résidences secondaires |
---|---|---|---|---|
Chaumont-sur-Tharonne | 1 076 | 1 344 | 851 | 63,36 % |
Souesmes | 1 116 | 810 | 199 | 24,63 % |
Gièvres | 2 217 | 1 072 | 184 | 17,17 % |
Saint-Georges-sur-Cher | 2 343 | 1 338 | 220 | 16,43 % |
Onzain | 3 432 | 1 826 | 259 | 14,20 % |
Nouan-le-Fuzelier | 2 496 | 1 393 | 166 | 11,93 % |
Noyers-sur-Cher | 2 833 | 1 479 | 154 | 10,44 % |
Sources :
- Source Insee, chiffres au .
Politique
Le Loir-et-Cher est divisé en 3 circonscriptions électorales envoyant un Député à l'Assemblée Nationale :
Administration
Communes
Les principales communes de Loir-et-Cher sont :
- Blois
- Bracieux
- Cellettes
- Chambord
- Chaumont-sur-Loire
- Chaumont-sur-Tharonne
- Contres
- Cour-Cheverny
- Courmemin
- Huisseau-sur-Cosson
- Herbault
- La Ferté-Beauharnais
- Lamotte-Beuvron
- Lunay
- Marchenoir
- Mennetou-sur-Cher
- Mer
- Mondoubleau
- Montoire-sur-le-Loir
- Montrichard
- Mont-près-Chambord
- Morée
- Muides-sur-Loire
- Neung-sur-Beuvron
- Nouan-le-Fuzelier
- Noyers-sur-Cher
- Onzain
- Oucques
- Ouzouer-le-Marché
- Pontlevoy
- Romorantin-Lanthenay
- Saint-Aignan
- Saint-Amand-Longpré
- Saint-Viâtre
- Salbris
- Sambin
- Selles-sur-Cher
- Selommes
- Souesmes
- Saint-Léonard-en-Beauce
- Saint-Laurent-Nouan
- Trôo
- Vendôme
- Villiers-sur-Loir
- Vineuil
- Vouzon
Medias
Presse écrite
- 30 jours pays blésois
- La Nouvelle République
- Le petit Blaisois
- Le Petit Solognot
- Le Petit Berrichon
- Le Petit Vendômois
Radio
Dans la culture populaire
Le département de Loir-et-Cher est connu en France notamment grâce à la chanson de Michel Delpech écrite en 1977 « Le Loir-et-Cher » qui a connu un succès fulgurant à cette époque, et qui décrit les rapports du chanteur avec sa famille, qui habite ce département. On le retrouve également cité dans la chanson John de Desireless comme symbole d’espace rural banal.
Notes et références
Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2020, millésimée 2017, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2019, date de référence statistique : 1er janvier 2017.
Références
- Voir occupation de la France à la fin du Premier Empire
- Site sur la Population et les Limites Administratives de la France - fiche historique du département
- Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
- Fiches Insee - Populations légales du département pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016 et 2017
- Source : enquête Observatoire de l'Économie et des Territoires de Loir-et-Cher / ADT Loir-et-Cher / CRT Centre Val de Loire
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes : Encyclopædia Britannica • Gran Enciclopèdia Catalana • Encyclopédie Larousse
- Ressource relative à la géographie :
- Département de Loir-et-Cher : Les Comptes des Communes et des groupements à fiscalité propre : Données Individuelles Budget principal seul - Données consolidées « Budget principal et budgets annexes »
- Conseil général de Loir-et-Cher
- Comité Départemental du Tourisme
- Emploi en Loir-et-Cher
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