Michel Galabru

Michel Galabru, né le à Safi (protectorat français au Maroc) et mort le à Paris, est un acteur français. Il a également été metteur en scène et directeur du théâtre Montmartre-Galabru.

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Michel Galabru
Michel Galabru sur le tournage du film
Le Gendarme et les Extra-terrestres (1978).
Nom de naissance Michel Louis Edmond Galabru
Naissance
Safi, Protectorat français au Maroc
Nationalité Française
Décès
Paris, France
Profession Acteur
Films notables Le Gendarme de Saint-Tropez
Le Juge et l'Assassin
Subway
Uranus
Astérix et Obélix contre César
Bienvenue chez les Ch'tis

Premier prix du Conservatoire national d'art dramatique, Michel Galabru est pensionnaire de la Comédie-Française durant sept ans, de 1950 à 1957. Il acquiert un début de notoriété au cinéma avec le film La Guerre des boutons d'Yves Robert, succès de l'année 1962. Le Gendarme de Saint-Tropez, en 1964, le révèle auprès du grand public. Aux côtés de Louis de Funès, il interprète l'adjudant Gerber de la gendarmerie de Saint-Tropez.

Dès lors, il devient un acteur récurrent et prolifique du cinéma comique français, tournant régulièrement sous la direction de Jean Girault, Jean-Pierre Mocky, Georges Lautner, Claude Zidi et Bertrand Blier. Très populaire, il joue dans de nombreuses comédies à succès telles que Le Viager, Le Grand Bazar, Flic ou Voyou, Papy fait de la résistance, La Cage aux folles ou Les Sous-doués, tout en retrouvant Louis de Funès dans les cinq suites du Gendarme ou encore dans L'Avare. En parallèle, pour des raisons alimentaires, il participe à d'innombrables films comiques qualifiés de « nanars ».

Il livre aussi des prestations dramatiques remarquées dans L'Ibis rouge, Monsieur Balboss, Le Juge et l'Assassin, Le Choix des armes, Subway, Kamikaze ou encore Uranus. En 1977, son interprétation d'un tueur en série dans Le Juge et l'Assassin lui vaut le César du meilleur acteur. Il est nommé au César du meilleur acteur dans un second rôle, en 1986 pour Subway et en 1991 pour Uranus.

Figure du cinéma français avec plus de soixante ans de carrière et son nom aux génériques de plus de deux cent cinquante films, Michel Galabru reste également fidèle à la scène, étant souvent à l'affiche des théâtres de boulevard mais aussi de pièces d'auteurs comme Molière, Jean Anouilh et surtout Marcel Pagnol, qu'il affectionne particulièrement. En 2008, le Molière du comédien lui est décerné pour son rôle dans Les Chaussettes-Opus 124. Il poursuit sa carrière quasiment jusqu'à sa mort, notamment avec Le Cancre, spectacle seul en scène qui revient avec humour sur sa carrière.

Biographie

Jeunesse et formation

Né le à Safi au Maroc[1], Michel Galabru est le fils de Paul Galabru (1892-1988), ingénieur et professeur à l'École nationale des ponts et chaussées[2], et d'Yvonne Payré (1895-1979). Il passe les sept premières années de sa vie à Safi, où son père participe à la construction du port de la ville, puis une grande partie de son enfance dans la maison familiale au Bousquet-d'Orb, dans l'Hérault[3]. Il passe quelques années au Havre[4].

Il a deux frères, Marc Galabru (1929-2014), médecin, et un autre Jean, l'aîné, qui écrivait des poèmes, mort à l'âge de 18 ans de la tuberculose[5],[4].

Se destinant d'abord à devenir joueur de football professionnel (il est d'ailleurs depuis son enfance un grand supporter du Stade olympique montpelliérain[6]), c'est finalement le métier de comédien qui l'attire. Le parcours de Sacha Guitry, piètre élève à l'école, tout comme lui, mais avec la carrière de comédien que l'on connaît, a une grande influence sur son désir de devenir artiste. « J'ai été mis dehors de sept écoles différentes. Remarquez, Guitry a été viré douze fois. Ça prouve bien qu'il avait plus de talent que moi[5]. » Il écrit d'ailleurs un livre sur lui, en 2001 : Galabru raconte Sacha Guitry. Un autre artiste qui a une influence sur lui, durant sa jeunesse, fut Tino Rossi, qu'il admire au point de se coiffer comme lui.

Après des études au collège Saint François-Pierre Rouge de Montpellier (fondé par Charles Prévost) puis au lycée jésuite Saint-Louis de Gonzague à Paris 16e[7], il suit, après le bac, une année de droit pour obéir à l'injonction de son père : « Fais ton droit, je te ferai entrer chez Schneider au contentieux. Ce mot m'a effrayé. »

Requis par le STO, à 20 ans dans la classe 42, il est envoyé en 1942[8] comme ouvrier dans un camp de travail à Klagenfurt en Autriche, puis comme forgeron en Yougoslavie. N'ayant pas les qualifications qu'il a déclarées, il est accusé de sabotage et envoyé dans un camp disciplinaire duquel il est libéré par les Partisans yougoslaves[8]. Il est nommé « commissaire politique de Tito » par ses camarades. Il épargne alors un soldat allemand, qui, selon ses dires avait à peine une vingtaine d'années, et évite le lynchage à un autre, qui était selon lui, chef des jeunesses hitlériennes[9],[10].

Débuts

Après la guerre, Michel Galabru gagne Paris afin d’y préparer le Conservatoire national d'art dramatique. Après trois ans d’études dans la classe de Denis d'Inès, couronné par un premier prix du Conservatoire, il est engagé à la Comédie-Française le . Il débute dans George Dandin ou le Mari confondu, et interprète les différents auteurs classiques et modernes du répertoire du Français : Shakespeare, Molière, Marivaux, Feydeau, Courteline, Jules Romains. Il y reste jusqu'au . Il sera pensionnaire de la Comédie pendant sept ans. Il décide alors de prendre des risques et quitte ce prestigieux cénacle pour voler de ses propres ailes.

Il travaille également pour le cinéma, il y débute en 1951 avec Ma femme, ma vache et moi de Jean-Devaivre[1].

Carrière au cinéma

Années 1960 à 1990

Acteur de la comédie populaire française, Michel Galabru a tourné dans plus de 250 films et téléfilms ; si certains de ces films ont connu un grand succès, d'autres très nombreux ont été, de son propre aveu, des films purement alimentaires. À propos de ces films, il confia, dans une interview, avoir entendu le producteur de la saga du Gendarme de Saint-Tropez déclarer au réalisateur : « Tu me prends Louis de Funès, et je ne veux que des ringards autour ». Exacte ou non, cette anecdote révèle en tout cas la modestie de l'acteur. Cependant, il a su aussi briller dans le registre dramatique, notamment dans Le Juge et l'Assassin, rôle pour lequel il a reçu le César du meilleur acteur en 1977.

À l'affiche des théâtres de boulevard, Michel Galabru tourne en 1961 dans La Guerre des boutons d'Yves Robert. À partir de 1964, la saga du Gendarme de Saint-Tropez le révèle au grand public. Il joue ensuite plusieurs rôles dramatiques. Il revient au théâtre avec La Femme du boulanger et Le Bourgeois gentilhomme. En 1972, il interprète le rôle du docteur dans Viager de Pierre Tchernia.

Rencontré dans Nous irons à Deauville en 1962 puis retrouvé dans Le Gendarme de Saint-Tropez en 1964, Louis de Funès l'engage régulièrement dans ses films : il a beaucoup d'estime pour lui, le considérant comme un nouveau « Raimu avec un coin de rêve dans l'œil »[11].

Dans les années 1980 et suivantes, il est notamment le père conservateur de La Cage aux folles, le commissaire des Sous-doués, le proviseur dans Le bahut va craquer, le papy de Papy fait de la résistance, le collabo d'Uranus, le chef du village dans Astérix et Obélix contre César.

Michel Galabru en 1999, lors de l'inauguration d'i-Télé.

En 1999, il assiste à l'inauguration de la chaîne TV i-Télé. La même année il tourne dans la première adaptation d'Astérix au cinéma, tournage qui marque l'un des derniers films de Claude Zidi et les retrouvailles de Galabru avec Christian Clavier, qu'il avait rencontré sur le plateau de Papy fait de la résistance.

Années 2000 et 2010

En 2003, il tourne avec Gérard Depardieu et Gérard Lanvin dans San-Antonio, et accepte de se faire raser complètement le crâne pour les besoins du tournage[12][source insuffisante]. Cette même année, il se lance dans le doublage pour les besoins du film d'animation La prophétie des grenouilles : il prête sa voix à d'autres dessins animés comme Le manège enchanté (2005) et Louis la chance (non sorti)[13],[14]. En 2008, il fait une brève apparition remarquée dans le film Bienvenue chez les Ch'tis, qui connut un grand succès en salle avec 20 489 303 entrées, en interprétant le rôle de l’oncle de Julie qui se remémore sa jeunesse dans le Nord. Cette scène est une parodie de la rencontre du capitaine Willard (Martin Sheen) avec le colonel Kurtz (Marlon Brando), dans Apocalypse Now évoquant « le Nord » et non « l'horreur ». En 2009, il tourne des petits rôles dans Neuilly sa mère et dans Le Petit Nicolas.

Le , Michel Galabru joue la pièce Le voyage de Monsieur Perrichon au festival de Ramatuelle, dans le Théâtre de Verdure[15],[16]. Après la représentation, alors que le comédien salue le public, une délégation de quatre gendarmes de la véritable brigade de Saint-Tropez monte sur scène pour lui décerner le titre honorifique d'« adjudant d'honneur de la gendarmerie nationale » et lui remettre un képi d'adjudant, en hommage à son rôle de l'adjudant Gerber dans Le Gendarme de Saint-Tropez[15],[16]. Ému, Michel Galabru déclare avec humour « C'est un retour glorieux au passé. Hélas, nous ne sommes qu’un ou deux survivants ! Et regardez dans quel état que je suis » avant de conclure : « Cet honneur, je le reçois avec beaucoup de plaisir et je vous remercie infiniment »[15],[16]. Ce sont les directeurs du festival de Ramatuelle, Jacqueline Franjou et Michel Boujenah, qui sont à l'origine de cette surprise[15],[16].

En 2010, il est présent au festival de Luchon pour le téléfilm À deux c'est plus facile, et au Festival de Cannes avec le film Un poison violent. En 2011, il reçoit le Brigadier d'Honneur pour l'ensemble de sa carrière ainsi que la Grande médaille de vermeil de la ville de Paris[17].

À 90 ans, en 2012, Michel Galabru est sur tous les fronts : au cinéma avec La Mémoire dans la chair de Dominique Maillet, à la télévision avec les séries Scènes de ménages, Storsky et Futch, Bref et Profilage et le court métrage Le Jeu de cette famille, et au théâtre avec La Femme du boulanger puis Tartarin de Tarascon retransmis en direct sur France 2. Par décret du , il est élevé à la dignité de grand officier de l'ordre national du Mérite[18].

Du 22 au , il préside le jury de la 27e édition du Festival international du Film de Vébron, en Lozère, aux côtés de sa fille Emmanuelle et des actrices Sophie Barjac, Alice Béat et du jeune comédien Nassim Boutelis. Un hommage lui est rendu avec la projection du film Le Juge et l'Assassin.

Carrière au théâtre

En 1984, Michel Galabru rachète et reconstruit, pour sa fille Emma, la salle de spectacle délabrée du conservatoire Maubel qui ouvre par la suite sous le nom du Théâtre Montmartre Galabru[19].

En 1985, il achète le Théâtre de 10 heures pour en faire un tremplin pour les jeunes auteurs et comédiens, mais ne parvient à l'exploiter que durant quatre années.

Au milieu des années 1980, il crée « Les estivales de Malaucène », dans le Vaucluse. Ce festival qui réunit plus de 50 000 spectateurs, accueille de nombreuses personnalités et amis de Michel dont Rosy Varte, Micheline Dax ou encore Yolande Folliot, mais cesse au bout de 8 ans.

Michel Galabru lors d'une représentation de La Femme du boulanger, en 2012.

Tout en exerçant son métier sur les planches et sur l'écran, Michel Galabru a donné, à partir du début des années 1980, des cours de théâtre, au Théâtre Montmartre Galabru, puis au Théâtre des Variétés, et enfin au Théâtre du Gymnase.

En 2008, le Molière du meilleur comédien lui est décerné, à 85 ans, pour son rôle dans Les Chaussettes – opus 124[20].

En 2014, il remonte sur scène au théâtre avec Les Diablogues après plus de soixante ans sur les planches. Michel Galabru adore jouer les pièces de Marcel Pagnol, comme le prouvent ses rôles au théâtre entre 1980 et 2015.

À la fin 2014, l'acteur joue Cancre, un texte autobiographique dans lequel il revient avec humour sur sa carrière mais il met fin aux représentations prématurément en [21].

Vie privée

Marié tout d'abord avec Anne Jacquot, avec qui il a deux fils, Jean et Philippe, Michel Galabru rencontre ensuite, sur le tournage de La Honte de la famille, celle qui devient sa seconde femme, Claude Etevenon[22], ex-juge d'instruction. Il entretient avec elle, pendant de nombreuses années, une liaison « clandestine » : elle lui donne une fille du nom d'Emmanuelle.

Claude Etevenon est la fille de Michel Etevenon, publicitaire français et la nièce de Micheline Etevenon, mieux connue sous son nom de scène, Micheline Dax, une actrice française.

Michel Galabru et Claude Etevenon se marient finalement au début des années 1990. Le , Claude Etevenon meurt des suites de la maladie de Parkinson[23].

Devenu âgé, Michel Galabru a confié avoir toujours souffert de l'image de pitre, juste bon à amuser la galerie, que lui renvoyaient les gens depuis son enfance. Il concevait une grande amertume de ce que les autres n'ont jamais compris que, derrière le masque du « rigolo » affiché par défaut, il y avait eu un enfant conscient de ses faiblesses (notamment scolaires) qui lui causaient beaucoup de souffrances intérieures. Faire rire ses camarades de classe était un exutoire et aussi une manière de se faire remarquer et apprécier malgré tout... et faute de mieux. Comme il le disait lui-même : « il n'y a pas de cancre heureux, c'est une image folklorique et littéraire ». Sa carrière artistique fut également frappée du sceau de « comique », à la manière dont en France on colle des étiquettes à vie aux artistes du spectacle. Ce sont sans doute ces blessures jamais cicatrisées qui lui ont permis de donner une dimension particulièrement intense et dramatique à ses personnages dans Le Juge et l'Assassin ou Kamikaze.[réf. souhaitée]

Mort

Tombe de Michel Galabru au cimetière de Montmartre.

Très affecté par la mort de son frère Marc en , puis celle de sa deuxième femme Claude en [23], Michel Galabru meurt le , dans son sommeil, à l'âge de 93 ans[24], le jour de l'anniversaire de naissance de son épouse disparue moins d'un an auparavant.

Ses obsèques sont célébrées le en l'église Saint-Roch, à Paris. Il est inhumé au cimetière de Montmartre[25], dans la division 32.

Filmographie

Théâtre

Période à la Comédie-Française

Après la Comédie-Française

Années 1950 et 1960

Années 1970 et 1980

Années 1990 et 2000

Années 2010

Metteur en scène

Œuvres

Livres

  • Michel Galabru, Je l'ai perdue au 18, Neuilly-sur-Seine, Harca, , 252 p. (ISBN 9782911462047, notice BnF no FRBNF36963835)
  • Michel Galabru, Galabru raconte Pagnol, Paris, Flammarion, , 297 p. (ISBN 978-2080677464, notice BnF no FRBNF37058417)
  • Michel Galabru, Galabru raconte Guitry, Paris, Flammarion, , 365 p. (ISBN 978-2080679673, notice BnF no FRBNF37222970)
  • Michel Galabru, Trois petits tours et puis s'en vont : mémoires, Paris, Flammarion, , 369 p. (ISBN 978-2080682123, notice BnF no FRBNF38898351)
  • Michel Galabru, Vous m'avez compris : pensées, répliques et anecdotes, Paris, Le Cherche midi, , 252 p. (ISBN 978-2749101378)
  • Michel Galabru, Rire c'est vivre : le grand livre de l'humour, Cachan, Sélection du Reader's digest, , 415 p. (ISBN 978-2709816687)
  • Michel Galabru (en coll. avec Sophie Galabru), Je ne sais pas dire non !, Neuilly-sur-Seine, Michel Lafon, , 317 p. (ISBN 978-2749914909, notice BnF no FRBNF42530247)
  • Michel Galabru (propos recueillis par Sophie Galabru), Tout est comédie : abécédaire du théâtre et autres fantaisies, Paris, Le Cherche midi, coll. « Documents », , 243 p. (ISBN 978-2749124988, notice BnF no FRBNF43558848)
  • Michel Galabru, avec Alexandre Raveleau, Les Rôles de ma vie, Paris, Hors Collection, , 316 p. (ISBN 2258135818)

Pièces audiophoniques

  • 1989 : Le malade imaginaire de Molière (audio), enregistrement de la pièce de 1964, éditions Hachette (CD audio).
  • 1999 : Autoportrait d'un Funambule, autobiographie en 20 épisodes par Grégory Choquené de Radio France.
  • 1999 : La danse des Gaulois (CD audio), éditions La Tribu.
  • 2001 : Michel Galabru raconte Pierre et le Loup (Livre CD audio), éditions Didier Jeunesse.
  • 2003 : Le Prince de Nicolas Machiavel (CD audio), éditions Fremeaux & Associés, (ISBN 978-2878622294).
  • 2003 : Les fables de La Fontaine vol. 1 (CD audio), éditions Frémeaux & Associés.
  • 2005 : La Chèvre de monsieur Seguin et autres lettres de mon moulin (CD audio).
  • 2006 : Les fables de La Fontaine vol. 2 (CD audio), éditions Frémeaux & Associés.
  • 2010 : Michel Galabru raconte la véritable histoire des santons de Provence (Livre CD audio), éditions Eponymes.
  • 2010 : De la Terre à la Lune de Jules Verne (CD audio), éditions La Compagnie du savoir.
  • 2010 : Le Bourgeois gentilhomme de Molière, enregistrement de la pièce à la Comédie Française de 1955, (CD audio), éditions Eponymes.
  • 2011 : Michel Galabru raconte Ali Baba et les 40 voleurs (Livre CD audio), éditions Eponymes.
  • 2011 : Michel Galabru raconte Peter Pan (Livre CD audio), éditions Eponymes.
  • 2011 : Michel Galabru raconte Le petit chaperon rouge (Livre CD audio), éditions Eponymes.
  • 2011 : Michel Galabru raconte Tom Pouce (Livre CD audio), éditions Eponymes.
  • 2012 : Les 20 contes indispensables pour enfants sages (CD audio), éditions Eponymes.
  • 2012 : L'Avare" de Molière (CD audio), éditions La Compagnie du savoir.
  • 2012 : L'Iliade et l'Odyssée de Homère (CD audio), éditions La Compagnie du savoir.
  • 2013 : Histoires de loup (CD audio), éditions Eponymes.
  • 2014 : Contes de Grimm (CD audio), éditions Eponymes.
  • 2014 : Contes des mille et une nuits (CD audio), éditions Eponymes.
  • 2014 : De la Terre à la Lune : autour de la lune, document parlé de 1958, (CD audio), éditions BNF.
  • 2014 : Cyrano de Bergerac de Edmond Rostand, enregistrement de la pièce de 1960, (CD audio), éditions BNF.
  • 2014 : Michel Galabru raconte De Funès, série de 10 interviews par Eric Bastien de France Bleu.

Distinctions

Notes et références

  1. Jacques Mandelbaum et Brigitte Salino, « Michel Galabru, de la Comédie-Française à la comédie française », Le Monde.fr, (lire en ligne).
  2. « Galabru Paul », sur Association pour la Connaissance des Travaux Publics, (consulté le 31 janvier 2016).
  3. Espérance Giral, « Galabru, les pieds dans l'eau », La Dépêche du Midi.fr, (lire en ligne)
  4. Christophe Preteux, « Les souvenirs d’enfance de Michel Galabru au Havre », sur Paris Normandie.fr, (consulté le 7 janvier 2016)
  5. René Solis, « Michel Galabru, l'ogre de barbarie », Libération.fr, (lire en ligne)
  6. « Entretien avec Michel Galabru », sur Montpellierinteractif.com (consulté le 22 février 2011)
  7. Alain Spira, « Michel Galabru, la gueule de l'emploi », Paris Match.com, (lire en ligne)
  8. « C’est de famille - Michel et Marc Galabru », Interview de Michel Galabru et de son frère Marc, sur Europe 1.fr, (consulté le 31 janvier 2016) : « Passage concernant le STO, minutes 31 à 35. ».
  9. Eric Mandel, « Galabru fait le film de sa vie », Interview de Michel Galabru et de son frère Marc, sur Le Journal du dimanche.fr, (consulté le 31 janvier 2016).
  10. F. F., « Quand Michel Galabru évoquait ses souvenirs de guerre sur Europe 1 », Interview d'avril 2015, sur Europe 1.fr, (consulté le 31 janvier 2016).
  11. Bertrand Dicale, Louis de Funès, grimace et gloire, Paris, Grasset & Fasquelle, , 528 p. (ISBN 2246636612, présentation en ligne, lire en ligne), p. 477-478.
  12. CinEmotions, « San Antonio : Interview de Frédéric Auburtin », sur CinEmotions.com (consulté le 9 janvier 2016)
  13. (en) « Louis La Chance », sur cinemamanagementgroup.com, (consulté le 11 décembre 2018).
  14. « Louis La Chance », sur allocine.fr (consulté le 11 décembre 2018).
  15. [vidéo] Michel Galabru et les gendarmes de Saint-Tropez (2009) sur Dailymotion
  16. Clémentine Coreau, « Michel Galabru : Il rempile chez les gendarmes ! », sur www.francedimanche.fr, France Dimanche, (consulté le 12 mars 2016).
  17. par AFP, « Michel Galabru, "monument de talent et de générosité", honoré par Paris », Le Point.fr, (lire en ligne)
  18. « Décret du 14 mai 2013 portant élévation aux dignités de grand'croix et de grand officier », sur Journal officiel de la République française, (consulté le 22 avril 2015).
  19. « Théâtre Montmartre Galabru », sur evene.fr (consulté le 10 mars 2012).
  20. « RFI - Myriam Boyer et Michel Galabru, Molières 2008 », sur www1.rfi.fr (consulté le 14 mars 2019)
  21. Nathalie Simon, « Michel Galabru, «très fatigué», annule ses représentations », Le Figaro.fr, (lire en ligne)
  22. « Qui était Claude, la femme de Michel Galabru qui vient de disparaître », sur Téléstar.fr, (consulté le 4 janvier 2016).
  23. « Michel Galabru et la mort de sa femme et de son frère : "C'est à peine vivable" », sur Pure People.com (consulté le 9 janvier 2016)
  24. « L'acteur Michel Galabru est mort à l'âge de 93 ans », sur Francetvinfo.fr, (consulté le 4 janvier 2016).
  25. Hugo-Pierre Gausserand avec AFP, « Les obsèques de Michel Galabru auront lieu le 12 janvier », Le Figaro.fr, (lire en ligne)
  26. « Décorations », sur Assocnsmd.fr (consulté le 11 février 2014).

Annexes

Bibliographie

  • Christian Dureau, Michel Galabru : une vie d'artiste, Paris, Carpentier, coll. « Stars de l'écran », , 158 p. (ISBN 978-2-84167-823-5, notice BnF no FRBNF43539784)

Liens externes

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