Mont-Saint-Aignan
Mont-Saint-Aignan est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Mont-Saint-Aignan | |||||
![]() L'église Saint-André de Mont-Saint-Aignan | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Rouen | ||||
Canton | Mont-Saint-Aignan | ||||
Intercommunalité | Métropole Rouen Normandie | ||||
Maire Mandat |
Catherine Flavigny 2014-2020 |
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Code postal | 76130 | ||||
Code commune | 76451 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Mont-Saint-Aignanais | ||||
Population municipale |
18 850 hab. (2017 ![]() |
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Densité | 2 374 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 27′ 45″ nord, 1° 05′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 44 m Max. 171 m |
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Superficie | 7,94 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
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Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | montsaintaignan.fr | ||||
Géographie
Localisation
Chef-lieu de canton, la commune est située sur une colline en surplomb et accolée à Rouen. Déville-lès-Rouen est l'autre commune du canton.
La ville compte quatre quartiers : la Vatine, le Village (Saint-Aignan), Le Mont-aux-Malades et Saint-André.
- Mont-Saint-Aignan
- Rouen et les communes environnantes
- La Seine
- Forêts
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Notre-Dame-de-Bondeville | Notre-Dame-de-Bondeville | Houppeville | ![]() |
Déville-lès-Rouen | N | Bois-Guillaume | ||
O Mont-Saint-Aignan E | ||||
S | ||||
Rouen | Rouen | Rouen |
Voies de communication et transports
Mont-Saint-Aignan est desservie par la ligne T1 de l'infrastructure TEOR depuis son inauguration en 2002. La ligne relie le campus au centre-ville de Rouen à une fréquence d'un bus toutes les 6 minutes en heure de pointe. Depuis , cette ligne connait notamment une extension de ses horaires le soir (jusqu'à 1 h 30 en semaine, et jusqu'à 2 h 30 le vendredi).
La ligne T1 est complétée par quatre lignes régulières de bus (F2 8 11 40 43 ) dont une à haute fréquence qui relie le centre commercial La Vatine au centre-ville de Rouen.
Mont-Saint-Aignan est également desservie par le Noctambus, circulant jusqu'à plus d'une heure du matin les dimanches, lundis, mardis, mercredis et jeudis, et circulant jusqu'à un peu plus de 3 h 30 du matin les vendredis, samedis et veilles de jours fériés.
Toponymie
Le nom de Mont-Saint-Aignan provient des anciennes communes du Mont-aux-Malades et de Saint-Aignan.
Le nom de la localité est attesté sous la forme Sanctum Anianum au XIIe siècle[1].
Saint Aignan, ancien évêque d'Orléans, saint patron de la paroisse[1].
Histoire
Dès l'âge de la Tène finale (Ier siècle av. J.-C. en Gaule) on retrouve des traces d'une activité agricole sur la commune de Mont-Saint-Aignan. « Les fouilles effectuées dans le cadre du contournement routier (de Bois Guillaume) ont mis au jour quatre occupations gauloises et gallo-romaines liées à l'aménagement du territoire rural » parmi lesquelles on retrouve aujourd'hui le site des Bouillons[2].
En 933, Guillaume Longue Epée sortit de la ville (de Rouen) avec ses partisans pour s'installer sur une colline dite Le Mont aux Malades[3].
Commune formée au 1819 par la fusion des deux anciennes paroisses de Saint-Aignan (Sanctum Anianum, ancien évêque d'Orléans patron de la paroisse, cité au XIIe siècle) et du Mont-aux-Malades (Monte Infirmorum vers 1251 qui tire son nom d'un établissement hospitalier fondé au XIIe siècle). Une léproserie fut fondée vers 1119 sous la garde d'un prieuré de chanoines réguliers, par dix-neuf paroisses de Rouen sur le mont Saint-Jacques. Elle prit le nom de Mont-des-Lépreux ou Mont-des-Malades. Le prieuré, tombé en commende en 1518, fut dévasté par les protestants en 1562 et ses archives détruites. Henri II y adjoignit en 1176 une église dédiée à saint Thomas de Cantorbéry dont il espérait ainsi expier le meurtre. Ce prieuré devint église paroissiale en 1790 et servit sous la Révolution aux réunions de la « Société populaire et républicaine du Mont-Libre ».
Au cours de la Révolution française, la commune, alors nommée Mont-aux-Malades, porte provisoirement le nom du Mont-Libre[4].
En 1815, la commune absorbe une partie de celle voisine de Saint-Denis-de-Bondeville, qui se retrouve partagée entre Notre-Dame-de-Bondeville, Le Houlme, Maromme, Saint-Aignan et Saint-Jean-du-Cardonnay[4].
En 1819, elle absorbe celle de Saint-Aignan et devient Mont-Saint-Aignan[4].
Le passé rural de Mont-Saint-Aignan a été bouleversé par une urbanisation rapide à partir des années 1960.
Politique et administration
Liste des maires
Tendances et résultats politiques
La ville de Mont-Saint-Aignan, tout comme sa voisine Bois-Guillaume, est très ancrée à droite (au sein d'une agglomération rouennaise nettement acquise à la gauche). Néanmoins, dans le cadre d'une élection triangulaire avec un candidat du MoDem, les élections municipales de 2008 ont porté, pour la première fois, une majorité de gauche aux responsabilités.
Lors du second tour des élections législatives de 2012, le candidat de l'UMP, Cyrille Grenot, a obtenu, dans la seule commune de Mont-Saint-Aignan, 17 voix de plus que Valérie Fourneyron, ministre des sports des gouvernements Ayrault et candidate PS, élue au niveau de la circonscription.
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours
- Élection présidentielle de 2017[5]: 84,38 % pour Emmanuel Macron (EM), 15,62 % pour Marine Le Pen (FN), 75,9 % de participation.
- Élection présidentielle de 2012[6]: 52,51 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 47,49 % pour François Hollande (PS), 83,03 % de participation.
- Élection présidentielle de 2007[7]: 56,43 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 43,57 % pour Ségolène Royal (PS), 84,92 % de participation.
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours
- Élections législatives de 2012[8]: 50,11 % pour Cyrille Grenot UMP), 49,89 % pour Valérie Fourneyron (PS), 61,41 % de participation.
- Élections législatives de 2007[9]: 51,23 % pour François Guégot (UMP), 48,77 % pour François Zimeray (PS), 62,49 % de participation.
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores
- Élections européennes de 2014[10]: 30,51 % pour Jérôme Lavrilleux (UMP), 15,84 % pour Gilles Pargneaux (PS), 51,37 % de participation.
- Élections européennes de 2009[11]: 35,74 % pour Dominique Riquet (UMP), 19,20 % pour Hélène Flautre (Europe Écologie), 47,85 % de participation.
Élections municipales
- Élections municipales de 2014[12]: 56,51 % pour Catherine Flavigny (UMP), 43,48 % pour Patrice Colasse (PS), 61,28 % de participation.
- Élections municipales de 2008[13]: 46,15 % pour Pierre Léautey (PS), 41,56 % pour Françoise Guégot (UMP), 12,29 % pour Philippe Grigy (MoDem), 58,95 % de participation.
Élections référendaires
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe[14]: 64,46 % pour le Oui, 35,54 % pour le Non, 71,57 % de participation (9 787 votants).
Jumelages
La commune entretient des accords de coopération[15] avec :
Barsinghausen (Allemagne) depuis 1967. Edenbridge (Angleterre) depuis 1973. Osica de Sus (Roumanie) depuis 1990. Brzeg Dolny (Pologne) depuis 2003. Rouko (Burkina Faso) depuis 2010.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[16],[Note 1].
En 2017, la commune comptait 18 850 habitants[Note 2], en diminution de 4,79 % par rapport à 2012 (France hors Mayotte : +2,36 %).
Enseignement
La commune comprend la plus grosse partie du pôle universitaire, et est à ce titre, la ville de France où le taux d'étudiant est le plus élevé[18].
À sa population d'un peu plus de 21 000 habitants s'ajoutaient auparavant près de 20 000 étudiants. Depuis la répartition des différentes UFR sur l'ensemble de l'agglomération rouennaise, il reste environ 12 000 étudiants sur le campus historique de Mont-Saint-Aignan, principalement à travers l'UFR des lettres et sciences humaines, L'UFR des Sciences de L'Homme et de la Société, le pôle chimie/biologie de l'UFR des sciences, l'Institut régional de chimie organique fine, l'IUT de Rouen, l'UFR des STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives) et l'ESPE.
Par ailleurs, on peut mentionner aussi la présence d'un centre de formation du CNAM et d'une partie de l'INSA de Rouen. Depuis 1965, la ville abrite le campus du groupe Rouen Business School, regroupant au sein de NEOMA Business School l'IFI, l'ECAL et l'ISPP. En 2008, l'ÉSITPA est venu s'installer à Mont-Saint-Aignan alors que l'ESIGELEC l'a quitté en 2005 au profit de Saint-Étienne-du-Rouvray, campus que l'INSA de Rouen a également rejoint en septembre 2009.
L'enseignement du primaire est assuré par l'école Saint-André, l'école Albert-Camus, l'école Berthelot, l'école du Village, les écoles Pierre-et-Marie-Curie, et l'école Saint-Exupéry.
L'enseignement secondaire est assuré par le collège Jean-de-La Varende.
Manifestations culturelles et festivités
- Le centre culturel Marc-Sangnier organise régulièrement des spectacles et des expositions. Les séances Sésame proposent notamment des spectacles vivants (danse, musique, théâtre) pour les plus jeunes.
- Le cinéma l'Ariel participe également à divers festivals comme « la semaine Italienne », « À l'Est du Nouveau » ou encore « Le Courtivore ».
Labels
- La Ville est labellisée « Ville en poésie », « Ville amie des enfants »
- La commune a obtenu en 2017 le niveau 3 du label 0 % phyto de la charte d'entretien des espaces publics.
- Depuis le , la Ville est labellisée "Terre Saine communes sans pesticides"
Santé
- Centre hospitalier du Belvédère.
- L'EHPAD Boucicaut est l'un des établissements de soins et d'hébergement du Centre hospitalier universitaire de Rouen.
Sports
- Mont-Saint-Aignan Basket Club
- Le Rugby Club Mont-Saint-Aignan au stade Boucicaut
- Golf de Rouen Mont-Saint-Aignan
- Rink hockey
- L'ASRUC (Association Sportive Rouen Université Club), club universitaire dont les installations sont situées sur la commune de Mont-Saint-Aignan, rue de la Croix-Vaubois. Le club est constitué de nombreuses sections (tennis, rugby, hockey sur gazon, judo, apnée, etc.).
- Le Judo club de Mont-Saint-Aignan au centre sportif des Coquets
Médias
- Presse
- Paris Normandie (édition de Rouen)
- Liberté-Dimanche (parution le dimanche)
Économie
Le secteur agricole en tant qu'exploitation a totalement disparu de la commune - Il subsiste une seule ferme maraîchère, non exploitée[19] - mais reste présent sur la ville notamment par la coopérative agricole Cap Seine qui y a son siège (plus d'un milliard d'euros de CA en 2013).
- Parc d'activités technologiques de la Vatine : siège de Ferrero France ;
- siège de la société Replitec (duplication CD, DVD, clés USB et disquettes 3" ½)
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'ancienne église Saint-Jacques (ruines) est bâtie dans la première moitié du XIIe siècle. Il en subsiste encore la nef, ornée de corbeaux et de chapiteaux. Elle est située près de la mairie actuelle[20]. Elle fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [21].
- L'église Saint-Thomas-de-Cantorbéry fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [22],[23].
- Église Saint-Aignan, située dans le quartier du village (Saint-Aignan)[24].
- Église Saint-André (fin du XIXe siècle)[25]
Le musée national de l'Éducation, issu du musée pédagogique créé par décision de Jules Ferry en 1879, est transféré à Rouen dans les années 1970[26].
Sur le site de l'université, dans le prolongement du boulevard André-Siegfried et avant de redescendre vers Rouen, on trouve un panorama de la ville de Rouen et d'une partie de la vallée de la Seine.
Patrimoine naturel
- 80 hectares de forêts
- 3 grands massifs forestiers : le bois du Cotillet, le bois l'Archevêque et le bois des Compagnons
- 3 169 arbres en milieu urbain, hors parc et bois, soit l'équivalent de 30 hectares d'espaces boisés
- plus de 200 espèces de plantes
- 121 arbres remarquables recensés en 2015
- 70 espèces d'oiseaux
- 20 espèces de papillons
- De nombreux arbres centenaires : chênes, magnolias, cèdres bleus, désespoir des singes...
Personnalités liées à la commune
- Nicolas Marsolet de Saint-Aignan (mort en 1667), aventurier et seigneur en Nouvelle-France
- Henri Frère (1836-1903), avocat et historien
- Charles Lenepveu (1840-1910), musicien
- Charles Frechon (1856-1929), peintre
- Narcisse Guilbert (1878-1942), peintre
- Narcisse Hénocque (1879-1952), peintre, né dans la commune
- Ernest Cloërec-Maupas (1883-1940), ténor et auteur-compositeur, mort dans la commune
- Georges Lanfry (1884-1969), entrepreneur et archéologue, né dans la commune
- Lucien Tesnière (1893-1954), linguiste, né dans la commune
- Hervé Bazin (1911-1996), écrivain, y a vécu de 1984 à 1992
- Maurice Cantor (1921-2016), ecclésiastique dissident, fondateur de l'Église Sainte-Marie de Mont-Saint-Aignan
- Claude Le Ber, (1931- ), ancien coureur cycliste, né dans la commune
- Jacques Anquetil (1934-1987), cycliste, né dans la commune
- Jean-Claude Bateux (1939- ), homme politique, né dans la commune
- Éric Delcroix (1944- ), avocat, né dans la commune
- Thierry Foucaud (1954- ), homme politique, né dans la commune
- Allain Leprest (1954-2011), poète, chanteur
- Daniel Delarue (1955- ), chanteur lyrique, né dans la commune
- Vincent Lagaf' (1959- ), animateur de télévision, né dans la commune
- Pascal Wintzer (1959- ), archevêque de Poitiers, curé de la commune de 1989 à 1996[27]
- Franck Haise (1971- ), footballeur, né dans la commune
- Trantkat (1974- ), dessinateur de BD, né dans la commune
- David Cormand (1974- ), homme politique, né dans la commune
- Élodie Woock (1976- ), footballeuse française qui joue actuellement pour le Toulouse F.C. (B) et en équipe de France (dernière sélection en 2004), née dans la commune
- Aurélie Félix (1979- ), athlète, née dans la commune
- Jérôme Pineau (1980- ), coureur cycliste, né dans la commune
- Emmanuel "El Worm" Lévy (1980-), musicien (Wormfood, Carnival in Coal, Erdh) et comédien
- Tiffany Hopkins (1981- ), actrice de films X, née dans la commune
- Tony Parker (1982- ), joueur de basket-ball professionnel ; il a donné son nom au gymnase municipal
- Tatiana-Laurens Delarue (1982- ), candidate de téléréalité et animatrice de télévision, né dans la commune
- Pierric Poupet (1984- ), joueur de basket-ball professionnel, né dans la commune
- Pierric Poupet (1984- ), joueur de basket-ball professionnel, né dans la commune
- Jamel Aït Ben Idir (1984- ), footballeur, né dans la commune
- Sébastien Le Toux (1984- ), footballeur, né dans la commune
- Mathieu Duhamel (1984- ), footballeur, né dans la commune
- Mohamed Sissoko (1985- ), footballeur malien, né dans la commune
- Ousmane Camara (1989- ), joueur de basket-ball professionnel, né dans la commune
- Ugo Legrand (1989-), judoka médaillé olympique de bronze 2012, né dans la commune
- Flora Coquerel (1994-), Miss France 2014
- Olivier Saladin, acteur
Héraldique
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Les armes de Mont-Saint-Aignan se blasonnent ainsi : D'or au léopard de gueules accosté de branches de laurier de sinople, les tiges passées en sautoir liées de gueules, au chef endenté d'azur chargé de trois fleurs de lys et de deux demies d'or. |
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Voir aussi
Bibliographie
- Claude Boudin et Patrice Macqueron, Mont-Saint-Aignan à la Belle-Époque, Mont-Saint-Aignan, MIL/Maury, , 123 p. (ISBN 978-2-9504019-0-8, OCLC 34500688)
- Philippe Deschamps et François Gay (ill. Marcel Laquay et Christophe Ronel), Mont-Saint-Aignan, hier, aujourd'hui, Mont-Saint-Aignan, MIL/CRDP, , 106 p. (OCLC 461737229)
- « Mont-Saint-Aignan », dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5)
- Études normandes, « Saint André, histoire d'un quartier de l'agglomération », no 2, 2010
- Claude Boudin et Patrice Macqueron, Mont-Saint-Aignan : naissance d'une ville, éditions des Falaises, , 176 p. (ISBN 978-2-84811-147-6)
- Tougard, A., Le Clocher de l'église du Mont-aux-Malades et la cérémonie de la bénédiction des cloches, Imprimerie Nouvelle Paul Leprêtre, Rouen, 1889.
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2020, millésimée 2017, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2019, date de référence statistique : 1er janvier 2017.
Références
- François de Beaurepaire - 1979 - Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Page 132.
- , Philippe Fargeon, Les Implantations des habitats ruraux antiques.
- Davy, André, 1940-, La véritable histoire des ducs de Normandie (ISBN 9782355931444, OCLC 743277575, lire en ligne)
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Mont-Saint-Aignan (76130) : résultats élections législatives 2017 », Franceinfo, (lire en ligne, consulté le 6 juin 2017)
- Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/06/2012.
- Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/06/2012.
- Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 18/06/2012.
- Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/06/2012.
- Résultats de l'élection européenne 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 25/05/2014.
- Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/06/2012.
- Résultats de l'élection municipale 2014 sur le site du Monde.fr. Consulté le 25/05/2014.
- Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site des Echos. Consulté le 12/06/2012.
- Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/06/2012.
- « Jumelage(s) de Mont-Saint-Aignan », sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures du Ministère des Affaires étrangères (consulté le 19 janvier 2013)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016 et 2017.
- Classement des villes étudiantes
- « Notre Dame des Bouillons, la ferme normande qui ne veut pas se laisser abattre », Breizh Journal, publié le 1er janvier 2012
- Henry Decaëns, Aperçu historique et descriptif architectural des ruines
- « Église Saint-Jacques », notice no PA00100763, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Église Saint-Thomas-de-Cantorbéry », notice no PA00100764, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Henry Decaëns, Aperçu historique et architectural de l'église
- « Église Saint-Aignan », notice no IA00020691, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Église Saint-André », notice no IA00021930, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Danièle Alexandre-Bidon, Marie-Madeleine Compère, Yves Galupeau... et al., Le Patrimoine de l'Éducation nationale, Charenton-le-Pont, Flohic Ed, coll. « Le patrimoine des institutions politiques », , 989 p. (ISBN 978-2-84234-034-6, OCLC 196910812, LCCN 00333449), p. 962
- Fiche biographique de l’archevêque sur poitiers-catholique.fr consulté le 21/09/2013
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