Plouay
Plouay [pluɛ] est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne. Historiquement, elle fait partie du Kemenet-Héboé et du Pays de Lorient.
Plouay | |
Mairie de Plouay. | |
![]() Héraldique |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Bretagne |
Département | Morbihan |
Arrondissement | Lorient |
Canton | Guidel |
Intercommunalité | Lorient Agglomération |
Maire Mandat |
Gwenn Le Nay 2017-2020 |
Code postal | 56240 |
Code commune | 56166 |
Démographie | |
Gentilé | Plouaysien, Plouaysienne |
Population municipale |
5 670 hab. (2017 ![]() |
Densité | 84 hab./km2 |
Population aire urbaine |
12 260 hab. |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 54′ 56″ nord, 3° 20′ 02″ ouest |
Altitude | 83 m Min. 13 m Max. 164 m |
Superficie | 67,33 km2 |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.plouay.fr |
La commune doit en grande partie sa renommée à l'organisation de la Bretagne Classic anciennement nommée le Grand Prix de Plouay chaque année le dernier week-end d'août. En 2000, elle a organisé les Championnats du monde de cyclisme sur route.
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Plozoe en 1308 ; Plozoc en 1368[1] ; Plouzay en 1387; Plouay en 1448, en 1536 ; Ploay en 1464[1][source insuffisante].
Son nom breton est Ploue, prononcé localement [ploˈe].
Plouay est une paroisse primitive comme l'indique son nom qui associe le mot breton plou signifiant « paroisse » au nom d'un saint évangélisateur. Par contre l'identité du saint évangélisateur fait débat. Il pourrait s'agir de saint Douë, un moine gallois qui débarqua entre le Bélon et la Laïta et fonda sur la côte l'ermitage de Doëlan avant de devenir missionnaire itinérant et de franchir l'Ellé ou de saint Zay, un missionnaire originaire de Cornouailles disciple de saint Guénolé, fondateur de l'abbaye de Landévennec. Les formes anciennes du nom de la paroisse ne permettent pas de trancher. Toujours est-il que l'église catholique ne tarda pas à substituer ce saint non officiel par un autre saint reconnu celui-ci par le pape, saint Ouen[réf. nécessaire].
Géographie
Localisation
La commune de Plouay appartient à la communauté d'agglomération de Lorient Agglomération. Elle appartient par ses traditions au Pays de Lorient et à la Basse Bretagne. Le bourg de Plouay, qui sert de chef-lieu de commune, est situé à vol d'oiseau à 13 km au nord-ouest de Hennebont et à 18,5 km au nord de la ville de Lorient [2].
|
Géographie physique
La commune est vallonnée comme l'atteste la côte de Ty Marrec qui constitue la principale difficulté du Grand Prix de Plouay. Le Scorff est le principal cours d'eau de la commune. Il coule au fond d'une vallée encaissée et matérialise au nord et à l'ouest la frontière avec les communes limitrophes de Berné, Guilligomarc'h et Arzano. Des cours d'eau de taille plus modeste drainent le territoire communal : le ruisseau de Pont er Bellec dont le cours matérialise la frontière au nord avec la commune d' Inguiniel, le ruisseau Saint Sauveur qui traverse le bourg, le ruisseau du Crano dont le cours matérialise en partie la frontière au sud avec les communes de Cléguer et Calan. La commune est assez boisée avec une superficie de bois de 1 679 ha pour une superficie totale de 6 733 ha soit un taux de boisement de 24,9 %. Le bourg constitue l'agglomération principale tandis que l'activité industrielle se concentre dans la ZA de Restavy, située à l'ouest du bourg à proximité de la voie rapide. La commune est située sur les grandes failles du Massif Armoricain allant de Nantes à la Pointe du Raz.
Transports
L'axe Lorient Roscoff (D 769) traverse la commune suivant un axe NNO/SSE. La départementale a été partiellement aménagée en 2x2 voies entre le bourg de Plouay et Lorient. La distance par la route entre le bourg de Plouay et Hennebont est de 17 km et entre le bourg de Plouay et Lorient de 20 km.
Lieux-dits et écarts
La plupart des micro-toponymes désignant des hameaux sont d'origine bretonne. Ceux commençant par ker signifiant village sont les plus nombreux. Ceux commençant par ty désignent des maisons isolées. Ce que semble contredire le village de Ty Henry qui était l'un des plus peuplés de Plouay et comptait en 1408 une quarantaine de maisons. Ceux commençant par Mané signalent la présence d'un coteau. Lann Justice désigne une lande où s'exerçait la justice du seigneur de Pontcallec car un gibet s'y dressait. D'autres sont plus atypiques comme Malachappe qui signifie le village d'où il faut s'échapper.
|
|
|
|
|
Histoire
Moyen-âge
En l'an 1281, le duc Jean Ier et Hervé de Léon firent un accord entre eux, qui portait que puisque le duc avait acheté de la dame de Ty Henry (Adelice Henry épouse du baron de Lanvaux) et de Geoffroy, son fils aîné, ce qu'ils possédaient dans la paroisse de Plouay et à Bécherel, ce prince, par cet acquêt, devait avoir la moitié du marché de Plouay. En conséquence, ils y firent à frais communs, une halle ou une cohue, qui coûta la somme de 178 livres, y compris le fonds de la terre où elle fut construite et la place qui l'environne[3].
Époque moderne
Avant la Révolution française, la paroisse de Plouay dépendait du Kemenet-Héboé et de la sénéchaussée d'Hennebont. Plusieurs seigneuries se partageaient les terres dont celles de Kerdrého et de Cunffio. Les seigneurs de Cunffio étaient des vassaux des seigneurs de Pontcallec dont les terres furent érigées en marquisat en 1667 en faveur d'Alain de Guer. Les seigneurs de Pontcallec disposaient du droit de haute, moyenne et basse justice et l'auditoire de justice était situé au bourg de Plouay (actuel maison du Marquis). Le chef-lieu de Plouay s'apparentait à un gros bourg ou à une petite ville selon les dires de Jean Baptiste Ogée et la paroisse comptait 5000 communiants à la veille de la Révolution Française. Toujours selon Jean-Baptiste Ogée le territoire fournissait une quantité prodigieuse de fougère et des landes. Les terres cultivées produisaient du grain, du cidre et du lin.
Révolution française
Plouay est attaqué par les chouans le . La petite ville tombe sous l'assaut des troupes de Louis Calan. Le détachement républicain de 100 hommes qui s'y trouve s'enfuit à Hennebont après avoir eu deux tués et deux blessés. Louis Calan,de Pluméliau, surnommé Salomon, étendait son autorité des rives du Blavet à celle de l'Ellé. Ses hommes avaient l'habitude des coups de main. La nuit ils entraient en maître dans les petites localités. Ils déracinaient les arbres de la liberté, détruisaient les ateliers de salpêtre et dispersaient les documents administratifs. Le chef chouan sera arrêté 2 jours plus tard le au château de Kerdrého où il se laissera surprendre par un détachement de la garnison d'Hennebont après que ses hommes aient essuyés un échec lors de l'attaque la veille de la ville du Faouët.
Le XXe siècle
La Belle Époque

Une épidémie de dysenterie frappa Plouay en 1901[4].
Le curé de Plouay vit son traitement [5] suspendu en pour avoir prêché et enseigné le catéchisme en breton[6].
La fin de la mission organisée à Plouay en 1909 donna lieu, en présence d'une foule nombreuse de fidèles, à l'érection d'un calvaire commémoratif.
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Plouay, édifié en 1922 par l'architecte Charles Chaussepied, porte les noms de 235 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale. Par ailleurs un soldat (Pierre Ledain) a été tué au Maroc le lors de la Bataille d'Elhri[7].
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Plouay porte les noms de 34 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[7].
L'après Seconde Guerre mondiale
9 soldats originaires de Plouay sont morts pendant la guerre d'Indochine et 3 pendant la guerre d'Algérie[7].
Événements
La paroisse de Plouay est sous le patronage de saint Ouen. Lors des fêtes patronales qui avaient lieu au mois d'août diverses manifestations sportives étaient organisées dont une course de vélo. Par la suite la course de vélo est devenu le Grand Prix de Plouay, puis la Bretagne Classic Ouest-France.
Blasonnement
![]() |
Les armoiries de Plouay se blasonnent ainsi : |
---|
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Pendant 88 ans les membres de la famille de Pluvié, une famille de châtelains résidant au château de Manéhouarn, ont dirigé la municipalité. Quatre générations se sont succédé à la tête de celle-ci.
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[9]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[10].
En 2017, la commune comptait 5 670 habitants[Note 1], en augmentation de 6,26 % par rapport à 2012 (Morbihan : +2,52 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Pyramide des âges
En 2016, on recensait 2 753 hommes et 2 851 femmes à Plouay. La répartition de la population de la commune par tranches d'âge était la suivante :
- 49,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 19,5 %, 15 à 29 ans = 15,4 %, 30 à 44 ans = 18,1 %, 45 à 59 ans = 21,6 %, plus de 60 ans = 25,7 %) ;
- 50,9 % de femmes (0 à 14 ans = 18,2 %, 15 à 29 ans = 13,4 %, 30 à 44 ans = 17,6 %, 45 à 59 ans = 20,3 %, plus de 60 ans = 30,4 %).
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Les indicateurs de revenus et de fiscalité à Plouay et dans l'ensemble du Morbihan en 2016 sont présentés ci-dessous.
Plouay[14] | Morbihan[15] | |
---|---|---|
Nombre de ménages fiscaux | 2 408 | 332 909 |
Nombre de personnes dans les ménages fiscaux | 5 587 | 740 023 |
Médiane du revenu disponible par unité de consommation (en euros) | 20 162 | 20 607 |
Part des ménages fiscaux imposés | 46,0 % | 49,1 % |
Entreprises et commerces
Plouay est un petit centre d'industrie agro-alimentaire avec une usine de transformation et de conservation de la viande de volaille Celtys (170 salariés ), une usine de découpe et transformation de porcs et volaille Délice mondial (50 salariés), les salaisons et charcuteries AT France (40 salariés) . En outre Plouay accueille la Forge Lebéon (45 salariés), la maçonnerie Garniel (30 salariés), les revêtements Doré sol (30 salariés), la menuiserie bois et pvc Loy (25 salariés), les transports Kerjean (30 salariés). Un supermarché Carrefour emploie 30 salariés et La Poste 20 salariés. Une ferme cidricole située à Locunel utilise pour commercialiser sa production le nom la petite reine.
Total | % com (% dep) | 0 salarié |
1 à 9 salarié(s) |
10 à 19 salariés |
20 à 49 salariés |
50 salariés ou plus | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Ensemble | 496 | 100,0 (100) | 327 | 135 | 18 | 14 | 2 |
Agriculture, sylviculture et pêche | 58 | 11,7 (10) | 48 | 9 | 1 | 0 | 0 |
Industrie | 28 | 5,6 (6) | 10 | 12 | 2 | 2 | 2 |
Construction | 66 | 13.3 (9,7) | 36 | 25 | 2 | 3 | 0 |
Commerce, transports, services divers | 272 | 54,8 (60,1) | 185 | 78 | 7 | 2 | 0 |
dont commerce et réparation automobile | 100 | 20,2 (15,1) | 65 | 31 | 3 | 1 | 0 |
Administration publique, enseignement, santé, action sociale | 72 | 14,5 (14,2) | 48 | 11 | 6 | 7 | 0 |
Secteur primaire
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Plouay, observées entre 1988 et 2010, soit sur une période de 22 ans[18].
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Nombre d’exploitations | 149 | 92 | 61 |
Nombre d’exploitations ayant des vaches laitières | 93 | 49 | 40 |
Nombre d’exploitations ayant des poulets de chair et coqs | 75 | 28 | 0 |
Cheptel - gros bétail (nombre de têtes) | 8 211 | 8 345 | 7 003 |
Vaches laitières (nombre de têtes) | 1 992 | 1 457 | 1 261 |
Vaches nourrices (nombre de têtes) | 114 | 42 | 81 |
Surface agricole utile (SAU) (ha) | 3 616 | 3 592 | 3 402 |
Superficie en terres labourables (ha) | 2 502 | 3 066 | 3 169 |
Superficie toujours en herbe (ha) | 1 067 | 486 | 195 |
Langue bretonne
Le nom de la commune est Ploue en breton.
La langue autrefois pratiquée dans la commune était le breton bas-vannetais.
L’adhésion à la charte Ya d'ar brezhoneg a été votée par le conseil municipal le . La commune a obtenu le label de niveau 1.
À la rentrée 2016, 126 élèves étaient scolarisés dans la filière bilingue publique (soit 16 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[19].
Lieux et monuments
Sites naturels
- vallée du Scorff.
Vestiges préhistoriques et antiques
- stèle de l'Âge du fer du village de Zandec.
Châteaux et manoirs

- château de Manéhouarn : propriété de la ville depuis 1975 après avoir appartenu à la famille de Pluvié, il abritait le musée du Vélo.
- château de Kerdrého
- château de Kersily
- manoir de Kermorgan
- manoir de Cunffio
- manoir de Kerhouant
- manoir de Kermarec
Église et chapelles
- Église paroissiale Saint-Ouen. Le monument aux morts se trouvant sur sa place est construit en 1923 par l'architecte Chaussepied et le sculpteur Gauthier. La partie centrale à quatre côtés rectangulaires est ornée de plaques de marbre blanc sur lesquelles sont gravés les noms des Plouaysiens tués au cours de la Première Guerre mondiale. Les quatre piliers d'où partent les arcs-boutants[20] qui rejoignent la partie centrale sont surmontés de sculptures représentant les corps d'armée de la Grande Guerre (fantassin, artilleur, aviateur et marin)[21].
- Chapelle de Locmaria-Grâce
- Chapelle Saint-Sauveur
- Chapelle Sainte-Anne du Scorff
- Chapelle Saint-Vincent
- Chapelle Saint Hubert
- Chapelle Saint Sébastien
- Chapelle Notre-Dame-des-Fleurs
- Chapelle Notre-Dame-de-Vraie-Secours
- Chapelle Notre-Dame de Sion
- Chapelle de Locmaria-Grâce.
- Chapelle Saint-Sauveur.
- Chapelle Notre-Dame-des-Fleurs.
- Chapelle Saint-Sébastien.
Maisons et autres établissements
- maison dite du Marquis, ancien siège de la juridiction de la seigneurie de Pontcallec
- moulin du Pou
- moulin de la Rue Neuve
Randonnée
La commune est parcourue par 300 km[réf. nécessaire] de sentiers de randonnée. Le GR34 emprunte la vallée du Scorff entre le Pont Neuf et l'ancien moulin à papier du Paou.
Personnalités liées à la commune
- Hyacinthe du Botderu, député du Morbihan de 1815 à 1816 et de 1820 à 1827, puis Pair de France entre 1827 et 1830.
Notes et références
Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2020, millésimée 2017, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2019, date de référence statistique : 1er janvier 2017.
Références
- « Étymologie et Histoire de Plouay », sur infobretagne.com (consulté le 3 décembre 2019).
- « Calcul de l'orthodromie entre Plouay et Lorient » (consulté le 16 décembre 2018)
- Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, page 320
- Journal La Croix, n° du 24 octobre 1901, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k219544j/f2.image.r=Langonnet?rk=343349;2
- En vertu du Concordat de 1801, les prêtres étaient payés par l'État.
- Journal L'Ouest-Éclair, n° du 7 janvier 1903, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6398455/f3.image.r=Gourin?rk=17661032;2
- http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=4551
- « https://www.ouest-france.fr/bretagne/plouay-56240/plouay-gwenn-le-nay-est-elu-nouveau-maire-5329228 », sur Ouest-France, (consulté le 8 février 2018)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016 et 2017.
- « Population par sexe et âge à Plouay en 2016 » (consulté le 26 décembre 2019).
- « Chiffres clés - Revenus et pauvreté des ménages en 2016 à Plouay » (consulté le 25 décembre 2019).
- « Chiffres clés - Revenus et pauvreté des ménages en 2016 dans le Morbihan » (consulté le 24 décembre 2019).
- « Commune de Plouay (56) - Dossier complet », sur le site de l'Insee (consulté le 11 janvier 2020).
- « Département du Morbihan (56) - Dossier complet », sur le site de l'Insee (consulté le 27 mars 2019).
- « Recensement agricole 2010 - Principaux résultats par commune », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt (consulté le 25 décembre 2019).
- http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm
- Ces arcs-boutants sont ornés dde plaques sur lesquelles sont gravées les noms des morts des autres conflits.
- Michèle Bourret, Le patrimoine des communes du Morbihan, Flohic éditions, , p. 694.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie de Plouay
- Comité des fêtes de Plouay
- Plouay sur le site de l'Institut géographique national
- « Inventaire du patrimoine »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- Portail des communes de France
- Portail du pays de Lorient