Pontarlier

Pontarlier est une commune française située en région de Bourgogne-Franche-Comté, chef-lieu d'arrondissement et sous-préfecture du département du Doubs. Elle fait partie de la région culturelle et historique de Franche-Comté.

Pour les articles homonymes, voir Pontarlier (homonymie).

Pontarlier
De haut en bas, de gauche à droite : panorama de la ville depuis le Larmont; la rue de la République et la mairie; la rue de la République la nuit; la place Ste-Bénigne; la grande fontaine; l'église Sainte-Bénigne; la façade du théâtre Bernard Blier; chemin de promenade sur les berges du Doubs; la porte St-Pierre; la rue de la République.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Doubs (sous-préfecture)
Arrondissement Pontarlier (chef-lieu)
Canton Pontarlier (chef-lieu)
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Pontarlier (siège)
Maire
Mandat
Patrick Genre
2014-2020
Code postal 25300
Code commune 25462
Démographie
Gentilé Pontissaliens
Population
municipale
17 197 hab. (2017 )
Densité 416 hab./km2
Population
aire urbaine
30 895 hab. (2015)
Géographie
Coordonnées 46° 54′ 24″ nord, 6° 21′ 20″ est
Altitude Min. 700 m
Max. 1 323 m
Superficie 41,35 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Pontarlier
Géolocalisation sur la carte : Doubs
Pontarlier
Géolocalisation sur la carte : France
Pontarlier
Géolocalisation sur la carte : France
Pontarlier
Liens
Site web ville-pontarlier.fr

    Géographiquement, Pontarlier, située à plus de 800 mètres d'altitude dans le massif du Jura, est la deuxième ville la plus haute de France après Briançon[1].

    Centre commercial, industriel, culturel et touristique de la micro-région du Haut-Doubs, la ville connaît une renommée mondiale pour son absinthe (dont elle revendique le titre de capitale), réintroduite depuis décembre 2001, mais aussi pour son apéritif anisé « Le Pontarlier », elle se situe sur l'itinéraire franco-suisse de la Route de l'absinthe. Elle fait également partie du réseau des Plus Beaux Détours de France.

    Ses habitants sont appelés les Pontissaliens et les Pontissaliennes[2].

    Géographie

    Localisation

    La ville se situe dans le centre-est de la France, dans le sud du département du Doubs. Riveraine de la frontière suisse, elle se trouve plus précisément à 45,3 kilomètres à vol d'oiseau au sud-est de Besançon[3], et à 48 kilomètres à vol d'oiseau au nord-ouest de Lausanne[4].

    Hydrographie

    La commune est traversée par le Doubs, première importante à être traversée par cette rivière[5]. Le ruisseau des lavaux d'une longueur de 12 km et qui prend sa source dans la commune rejoint le Doubs à proximité du centre-ville[6].

    Climat

    La ville de Pontarlier a un climat montagnard moyen continental, comportant des hivers longs avec de fortes gelées. En janvier, la température moyenne est de 0 °C et elle peut descendre jusqu'à −36 °C. En été, la température maximale moyenne est de 21 °C et les nuits sont assez fraîches (10 °C). Les hauteurs moyennes des précipitations sont de 1 471 mm par an.

    Relevés de la station météorologique de Pontarlier (normales 1981-2010)
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) −4,5 −4,2 −1,2 1,6 5,9 8,9 11 10,6 7,5 4,3 −0,4 −2,8 3,1
    Température moyenne (°C) −0,2 0,6 3,7 6,9 11,3 14,5 17 16,6 13,1 9,5 3,9 1 8,2
    Température maximale moyenne (°C) 4,2 5,3 8,6 12,2 16,8 20,1 23 22,7 18,7 14,8 8,3 4,7 13,3
    Record de froid (°C)
    date du record
    −32
    12/12/1987
    −26,2
    01/02/2003
    −21,7
    02/03/2005
    −10,8
    08/04/1952
    −6
    01/05/1945
    −2
    03/06/1980
    0,8
    07/07/1962
    0,1
    31/08/1995
    −3,3
    30/09/1995
    −9,7
    25/10/2003
    −16,4
    30/11/2010
    −23,2
    27/12/1962
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    20,1
    30/01/2002
    21
    29/02/1960
    24,1
    17/03/2004
    27
    16/04/1947
    33
    28/05/1945
    34
    28/06/1947
    36,7
    31/07/1983
    36,8
    13/08/2003
    32
    10/09/1898
    29,4
    07/10/2009
    23,5
    08/11/2015
    20,3
    16/12/1989
    Nombre de jours avec gel 23,9 22 18,9 10,9 1,7 0,2 0 0 0,5 4,7 15,4 22,3 120,6
    Précipitations (mm) 117,4 106,6 113,9 113,4 147,2 131,2 119,9 127,9 127,3 131,9 127,6 139 1 503,3
    Nombre de jours avec précipitations 13,3 11,8 13,2 13,3 15,5 13,2 12 11,6 10,7 13,2 12,6 13,6 154
    Source : Météo France
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
     
     
     
    4,2
    −4,5
    117,4
     
     
     
    5,3
    −4,2
    106,6
     
     
     
    8,6
    −1,2
    113,9
     
     
     
    12,2
    1,6
    113,4
     
     
     
    16,8
    5,9
    147,2
     
     
     
    20,1
    8,9
    131,2
     
     
     
    23
    11
    119,9
     
     
     
    22,7
    10,6
    127,9
     
     
     
    18,7
    7,5
    127,3
     
     
     
    14,8
    4,3
    131,9
     
     
     
    8,3
    −0,4
    127,6
     
     
     
    4,7
    −2,8
    139
    Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm


    Située à proximité de Mouthe, village « le plus froid de France » où la température extrême enregistrée le fut de −41,2 °C.

    Transports et communications

    Situation de Pontarlier au sein des voies de communications franc-comtoises.

    L'accès à Pontarlier se fait principalement par voie routière, l'axe principal desservant la commune étant la RN 57 qui la relie au nord à Besançon (60 kilomètres) et l'A36 (70 kilomètres) et au sud à Lausanne (67 kilomètres) et au réseau autoroutier suisse. La route départementale 437, qui irrigue une bonne partie du massif du Jura, est un axe secondaire important qui permet de rejoindre Mouthe (30 km), Saint-Laurent-en-Grandvaux (56 km) et Saint-Claude (86 km) au sud et Morteau (32 km), Maîche (61 km) et Montbéliard (100 km) au nord.

    Du au , des rames du TGV Lyria desservaient la gare de Pontarlier en provenance de Paris-Gare-de-Lyon et Berne (Suisse) avec un aller-et-retour quotidien. La desserte ferroviaire de la ville est actuellement assurée par des trains régionaux TER qui la relient à la gare de Frasne et à la gare de Dole-Ville côté français et à la gare de Neuchâtel côté suisse. L'aérodrome de Pontarlier se situe à l'ouest de la ville, l'aéroport de Dole-Jura est distant de 86 km et l'aéroport international de Genève (Suisse) est situé à un peu plus d'une heure de route (116 km).

    La desserte intra-urbaine de la ville est réalisée par le réseau de transports en commun TCP, anciennement Pontabus[7] (groupe Keolis) qui se compose d'une ligne régulière de bus dont le service est assuré en semaine entre 7 heures le matin et 19 heures le soir, et le samedi de 8 h à 18 h 30. Aucun bus ne circule les dimanches, jours fériés et après 19 heures.

    Environnement

    La région de Pontarlier est caractérisée par des hivers froids et secs, qui n'excluent pas une grande richesse écologique, liée à la variété des milieux de moyenne montagne et à la présence de forêts. L'enneigement favorise les activités liées au ski.

    On signale cependant des pullulations de campagnols (Microtus arvalis) qui sont vecteurs de l'échinococcose dont le renard, le chien et le chat seraient les meilleurs relais vers l'homme. Une étude récente[8] a montré qu'alors qu'à Annemasse les crottes analysées porteuses de ce parasite étaient surtout rurales (26,6 % de 346 fèces en milieu rural, contre 13 % de 301 fèces collectées en milieu urbain), à Pontarlier, la proportion était de 14,1 % des fèces trouvées en milieu urbain (249 fèces) pour seulement 6,2 % de 210 fèces trouvées en milieu rural). Chiens et chats pourraient y être des vecteurs potentiellement porteurs, qu'il convient donc de vermifuger régulièrement.

    Galeries

    Urbanisme

    Morphologie urbaine

    Vue satellite de Pontarlier.

    La ville s'est développée sur un plateau, à environ 800 mètres d'altitude, au pied du Larmont (1 323 mètres). Elle est traversée par le Doubs.

    La ville possède plusieurs parcs fleuris dont notamment le Grand Cours et la place Clemenceau mais aussi de nombreux monuments, tels la porte Saint-Pierre qui se présente sous la forme d'un arc de triomphe surmonté d'un « Haut » clocher, la chapelle de l'Espérance, l'église Saint-Bénigne, qui témoigne de l'importance de Pontarlier durant le Moyen Âge.

    Le château de Joux, situé sur la commune limitrophe de La Cluse-et-Mijoux, est l'un des hauts lieux de l'histoire féodale et militaire du Haut-Doubs.

    Logement

    Projets d'aménagement

    Risques naturels et technologiques

    Risques sismiques

    La totalité du territoire de la commune de Pontarlier est situé en zone de sismicité no 3 (modérée), comme la plupart des communes situées sur le plateau jurassien[9],[10].

    Terminologie des zones sismiques[11]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 3Sismicité modéréeaccélération = 1,1 m/s2

    Toponymie

    Une station de l'Itinéraire d'Antonin, Ariolica, située entre Urba (Orbe) et Vesontio (Besançon), semble correspondre à Pontarlier. C'est également une étape de la Via Francigena.

    Pontarlier est appelée Abrolica sur la table Théodosienne[12]. La Table de Peutinger indique Ariarica, Ariolica ou encore Abiolica. Ensuite on trouve Punterli en 1255[13].

    Ce toponyme originel explique l'élément -arlier dans la deuxième partie du nom de Pontarlier[14] et dans celui de sa plaine, la Chaux d’Arlier, avec cependant une substitution de finale, -ie (issue de -ica) ayant été remplacé par -ier. L'élément Pont- (issu du gallo-roman PONTE) a été ajouté au toponyme initial à l'époque médiévale comme on l'observe souvent (cf. Pontfarcy, Calvados, Pons Falsi 1278 ; Pont-de-Ruan, Indre-et-Loire, Rotomagus Ve siècle, Ponte Ruanni 1247)[14].

    L'identification exacte du second élément -arlier est plus complexe, et l'on doit sans doute se baser sur la forme Ariolica qui est la seule qui soit récurrente dans les formes anciennes, les autres étant vraisemblablement des cacographies. En outre, le type Ariolica est bien représenté dans la toponymie de la Gaule. Xavier Delamarre interprète ce type toponymique Ario-lica « (lieu) Devant-la-Falaise » ou « La Roche-Devant », plutôt que « Noble-Roche »[15]. Il serait basé sur les éléments celtiques ario- de l'indo-européen *prio [*prhio] « qui est en avant, éminent », racine *per(h) « devant, en avant », d'où le sens dérivé « qui est en avant, éminent »[16]. Le second élément -lica représenterait lica ou licca « pierre plate, dalle », peut-être aussi « falaise »[16].

    Pontarlier est couramment surnommé Pontus[17]. Son nom en arpitan (dialecte burgondan) est Pontarliér (ORB) qui est prononcé localement Pontali ou Pontalie, on le retrouve dans le dicton « On ot biau verie, deverie, On ne voit ra d'té que Pontalie »[18],[19].

    Histoire

    Pontarlier au XVIe siècle par Gilbert Cousin.

    L'axe d'échanges reliant le nord au sud de l'Europe a fait de Pontarlier, dès le Moyen Âge, le centre commercial d'une région convoitée pour ses frontières avec la Suisse. La cluse de Joux, située à km de la ville, est connue depuis l'Antiquité comme le lieu de passage principal pour traverser le massif du Jura.

    Comme tout le Haut-Doubs, elle souffrira beaucoup de l'invasion française durant la guerre de Dix Ans. Elle est occupée puis pillée et incendiée en .

    Le fort Catinat et le fort Mahler[Note 1] situés sur sa commune font partie du système Séré de Rivières puis de la ligne Maginot. Ils défendirent la cluse de Pontarlier en 1940 lors de l'invasion allemande.

    Pontarlier est libérée le par la 3e DIA, qui fait partie des troupes débarquées en Provence[20].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Administration municipale

    Liste des maires

    Politique environnementale

    En 2010, la commune de Pontarlier a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[21].

    En 2011, 28 % des branchements eau sont encore en plomb.

    Finances locales

    Cette sous-section présente la situation des finances communales de Pontarlier[Note 2].

    Pour l'exercice 2013, le compte administratif du budget municipal de Pontarlier s'établit à 26 007 000  en dépenses et 29 536 000  en recettes[A2 1] :

    En 2013, la section de fonctionnement[Note 3] se répartit en 19 006 000  de charges (989  par habitant) pour 22 050 000  de produits (1 147  par habitant), soit un solde de 3 044 000  (158  par habitant)[A2 1],[A2 2] :

    • le principal pôle de dépenses de fonctionnement est celui des charges de personnels[Note 4] pour un montant de 9 539 000  (50 %), soit 496  par habitant, ratio inférieur de 20 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (623  par habitant). Pour la période allant de 2009 à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 458  par habitant en 2010 et un maximum de 496  par habitant en 2013 ;
    • la plus grande part des recettes est constituée des impôts locaux[Note 5] pour un montant de 12 906 000  (59 %), soit 671  par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 528  par habitant en 2010 et un maximum de 671  par habitant en 2013.

    Les taux des taxes ci-dessous sont votés par la municipalité de Pontarlier[A2 3] :

    Entre 2000 et 2014, le taux de la taxe d'habitation a augmenté de 102,14 %.

    La section investissement[Note 6] se répartit en emplois et ressources. Pour 2013, les emplois comprennent par ordre d'importance[A2 4] :

    • des dépenses d'équipement[Note 7] pour 4 684 000  (67 %), soit 244  par habitant, ratio inférieur de 46 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (450  par habitant). Depuis 5 ans, ce ratio fluctue et présente un minimum de 184  par habitant en 2011 et un maximum de 410  par habitant en 2009 ;
    • des remboursements d'emprunts[Note 8] pour une somme de 2 214 000  (32 %), soit 115  par habitant, ratio supérieur de 22 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (94  par habitant).

    Les ressources en investissement de Pontarlier se répartissent principalement en[A2 4] :

    • nouvelles dettes pour une valeur de 2 500 000  (33 %), soit 130  par habitant, ratio supérieur de 30 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (100  par habitant). En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 51  par habitant en 2011 et un maximum de 174  par habitant en 2012 ;
    • subventions reçues pour un montant de 762 000  (10 %), soit 40  par habitant, ratio inférieur de 37 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (63  par habitant).

    L'endettement de Pontarlier au peut s'évaluer à partir de trois critères : l'encours de la dette[Note 9], l'annuité de la dette[Note 10] et sa capacité de désendettement[Note 11] :

    • l'encours de la dette pour un montant de 16 855 000 , soit 877  par habitant, ratio inférieur de 13 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (1 006  par habitant). En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 809  par habitant en 2011 et un maximum de 877  par habitant en 2013[A2 5] ;
    • l'annuité de la dette pour un montant de 2 804 000 , soit 146  par habitant, ratio supérieur de 11 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (131  par habitant). Depuis 5 ans, ce ratio fluctue et présente un minimum de 129  par habitant en 2011 et un maximum de 164  par habitant en 2012[A2 5] ;
    • la capacité d'autofinancement (CAF) pour une somme de 3 773 000 , soit 196  par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Pour la période allant de 2009 à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 155  par habitant en 2012 et un maximum de 223  par habitant en 2011[A2 6]. La capacité de désendettement est d'environ 4 années en 2013. Sur une période de 14 années, ce ratio présente un minimum d'environ 3 années en 2011 et un maximum d'environ 12 années en 2001.

    Jumelages

    La ville de Pontarlier est engagée dans trois jumelages[22] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[23],[Note 12].

    En 2017, la commune comptait 17 197 habitants[Note 13], en diminution de 2,46 % par rapport à 2012 (Doubs : +1,51 %, France hors Mayotte : +2,36 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 3483 7713 5264 2544 7074 9224 9655 1364 953
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 9095 0074 9454 9755 7146 1188 0987 1877 577
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    7 9638 7769 43910 20311 82711 98412 84012 72213 768
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    15 38216 44217 98317 78118 10418 36018 77817 99817 284
    2017 - - - - - - - -
    17 197--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    L'unité urbaine, composée des communes de Pontarlier, Doubs, Houtaud et Dommartin, atteignait 22 634 habitants. L'aire urbaine totalisait 29 218 habitants[26].

    Enseignement

    La commune de Pontarlier héberge de nombreux établissements scolaire sur son territoire dont[27] :
    Écoles maternelles (9 écoles) :

    • École Charles-Péguy
    • École Cordier
    • École Joliot-Curie
    • École Les Pareuses
    • École Pergaud
    • École Raymond-Faivre
    • École Vannolles
    • École Vauthier
    • École Saint-Joseph (privé)

    Écoles primaires (7 écoles) :

    • École Cordier
    • École Cyril-Clerc
    • École Joliot-Curie
    • École Péguy
    • École Pergaud
    • École Vauthier
    • École Saint-Joseph (privé)

    Collèges (4 collèges) :

    • Collège André-Malraux
    • Collège Lucie-Aubrac
    • Collège Philippe-Grenier
    • Collège Les Augustins (privé)

    Lycées (2 lycées) :

    Lycées professionnels (4 lycées) :

    • Lycée professionnel Toussaint-Louverture
    • Lycée professionnel Saint-Bénigne (privé)
    • Maison familiale rurale (privé)
    • Lycée Jeanne-d'Arc (privé)

    Formations BTS (3 BTS) :

    • Lycée Xavier-Marmier
    • Lycée technologique Jeanne-d'Arc (privé)
    • Maison familiale rurale (privé)

    École d'infirmier(ère) :

    • Institut de Formation en Soins Infirmiers (privé)

    Santé et secours

    Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (octobre 2012). 
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    La commune de Pontarlier héberge de nombreux établissement sanitaires et sociaux [27]

    Établissements de secours aux personnes

    Le centre de secours principal (CSP) : le centre de secours principal de Pontarlier, composé d'environ 50 sapeurs-pompiers professionnels et 50 sapeurs-pompiers volontaires, assure en moyenne 2 400 interventions annuelles. Le Groupe de Reconnaissance et d'Intervention en Milieu Périlleux (GRIMP) est spécialisé dans les actions en moyenne montagne notamment dans l'évacuation de personnes bloquées en télésiège. Plusieurs équipes spécialisées sont présentes au centre de secours principal de Pontarlier :

    • GRIMP ;
    • Plongeurs et sauveteurs aquatiques ;
    • Risques chimiques.

    Une association affilié à la Fédération française de sauvetage et de secourisme. Un centre de la Croix-rouge française.

    Établissements médicaux et para-médicaux

    Le Centre Hospitalier intercommunal de Haute-Comté qui dépend du CHU de Besançon. Il assure les interventions chirurgicales les plus courantes sur tout le Haut-Doubs. (Les cas plus compliqués sont envoyés à Besançon, Nancy, Lyon, Lausanne ou Genève). Le CHI est composé de pôles de médecine, chirurgie, mère-enfant, urgences-SMUR, psychiatrique, gériatrique et de rééducation. Une Drop Zone est installée au sein du centre hospitalier permettant à l'hélicoptère de la sécurité civile ou fréquemment à la garde aérienne Suisse de sauvetage de déposer ou prendre en charge rapidement un patient.

    • La clinique St Pierre (maison de convalescence).
    • Le C.M.P.P. (Centre Médico Psycho Pédagogique)
    • Le Grand Vallier (unité psychiatrique)
    • Le POINT ECOUTE REGIONAL (Aide pour les jeunes en détresse, l'IVG, la contraception, etc.)
    • Centre Médico Social
    • Centre de protection maternelle et infantile (PMI).
    • Centre communal d'action sociale (CCAS)
    • EHPAD du Larmont (maison de retraite médicalisée)
    • Maison médicale Simone Veil (inaugurée en )

    Sports

    La commune compte de nombreux clubs sportifs :

    • Club Nautique Pontarlier Triathlon
    • Aéroclub de Pontarlier
    • CA Pontarlier (football)
    • CA Pontarlier (handball)[28]
    • Club athlétique Pontarlier rugby
    • Cercle d'escrime du Haut Doubs
    • CA Pontarlier Basketball[29]
    • Société de tir de Pontarlier[30]
    • Aigles de Pontarlier (Roller hockey de Pontarlier)
    • Club Alpin Français : CAF Haut-Doubs
    • Pontarlier gym
    • Canoë Kayak Pontarlier
    • DSA (Doubs Sud Athlétisme)
    • Vélo-Club Pontissalien (VCP)
    • Club cyclotouriste Pontarlier
    • Station de ski du Larmont
    • GESP (club de plongée)
    • Everest Frisbee Club
    • Boxing-Club Pontissalien
    • CA Pontarlier Lutte
    • Club des skieurs randonneurs pontissaliens

    Manifestations culturelles et festivités

    Absinthiades, en 2009

    De nombreuses manifestations se déroulent sur le territoire de la commune :

    Médias

    Parmi les journaux qui couvrent les événements locaux, se trouvent La Presse Pontissalienne (mensuel) et L'Est républicain (quotidien) dans son édition Doubs - Haut-Doubs.

    Économie

    La ville héberge une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie du Doubs.

    Histoire économique et industrielle

    Pontarlier était la plus grosse productrice de liqueur d'absinthe, jusqu'à son interdiction en 1915. Elle était à ce titre considérée comme la capitale de l'absinthe. L'absinthe a été réintroduite par la Distillerie Pierre Guy de Pontarlier en .

    Pontarlier est également une ville pionnière de l'aviation. La première page de l'histoire aéronautique de la ville est écrite, le , par Auguste Junod à bord de son biplan Farman de 50 ch. Ce premier vol suscite l'admiration de la foule venue très nombreuse pour admirer cette machine. Les 2 et de l'année suivante sont marqués par l'arrivée de deux autres machines à Pontarlier pour effectuer le premier meeting aérien de Franche-Comté. L'événement attire environ 10 000 personnes. L'aéroclub de Pontarlier est créé 20 ans plus tard, le , par une poignée de passionnés d'aviation. À cette époque, l'association, présidée par Eugène Thévenin ne dispose pas encore d'avion, faute de fonds suffisants. Leurs premières actions visent donc à réunir de l'argent. Le l'aéroclub reçoit son premier avion, un Potez 43, monoplan triplace de 100 ch., baptisé pour l'occasion : Ville de Pontarlier. Toute une génération d'appareils suit ce précurseur. Aujourd'hui, l'aéroclub a pris un véritable envol et est bien doté : 2 pistes de 1 000 mètres (dur et herbe), ainsi que d'une flotte de cinq avions à ailes hautes, à ailes basses, biplace, triplace ou quadriplace[32].

    Industrie

    L'industrie est un secteur d'activité important à Pontarlier : en 2007, la zone d'emploi de Pontarlier comptabilisait ainsi 3169 salariés, soit 22,4 % du total des salariés[33].

    Agroalimentaire

    L'industrie agroalimentaire représentait à elle seule 7,5 % de l'emploi salarié total en 2007 dans la zone d'emploi de Pontarlier. L'usine Nestlé emploie 310 personnes dans la fabrication de poudres chocolatées (Nesquik) et constitue le deuxième site industriel de la ville en termes d'effectifs. La fromagerie Badoz qui produit comté, Mont d'Or, cancoillotte et autres spécialités fromagère, compte une quarantaine de salariés. La distillerie Pierre Guy compte entre 5 et 10 salariés et produit de l'absinthe et un apéritif anisé qui porte le nom de la commune, le Pontarlier (apéritif)[34].

    Fabrication de matériel de transport

    L'usine Schrader est le plus important site industriel de Pontarlier en termes d'effectifs avec 391 salariés. L'usine Gurtner, 106 salariés, produit des pièces industrielles pour l'automobile.

    Autres

    Parmi les autres entreprises notables, l'usine Armstrong Building Products (division plafonds) fabrique des panneaux et dalles de plafonds suspendus et compte 195 employés. L’usine Idealec, comptant une soixantaine de salariés et appartenant au groupe Mersen depuis 2018[35], fabrique depuis 2001 des composants électroniques (barres laminées d'alimentation).

    Commerce

    Grande distribution

    Les grandes surfaces commerciales sont regroupées au sein de la zone commerciale Les Grands Planchants : on y trouve notamment un hypermarché de l'enseigne Géant Casino dont l'effectif dépasse les 120 salariés.

    Mais également au sein d'un deuxième pôle commercial, des enseignes nationales comme Décathlon, Darty, Hypermarché U. Le , l’enseigne Fnac est venue enrichir l’offre commerciale sur la zone.

    Culture locale et patrimoine

    Monuments

    Porte Saint-Pierre.

    Patrimoine religieux

    • Église Saint-Bénigne de Pontarlier , 5 rue Chanoine Prenel (XVe siècle), avec vitraux créés en 1976 par le peintre français Alfred Manessier.
    • Chapelle de l'Espérance, encore appelée chapelle Notre-Dame de l'Espérance, rue de la Chapelle. Petit édifice de 7 mètres sur 5, de style néo-gothique et due à l'architecte Louis Irénée Girod, cette chapelle qui domine Pontarlier est inaugurée sur le mont Molar en 1861, en remerciement à la Vierge Marie pour avoir épargné à la ville l'épidémie de choléra de 1854. Elle est surmontée d'une statue de la Vierge à l'enfant, sculptée par Favier, mise en place en 1862. Abattue par la foudre en 2005, une copie à l'identique est remise en place en 2009.
    • Église Saint-Pierre, 52 rue de Besançon
    • Chapelle Notre-Dame-de-Lourdes, 6 rue Boileau
    • Chapelle des annonciades, 69 rue de la République
    • Chapelle hôpital Saint-Étienne, 13 faubourg Saint-Étienne
    • Chapelle ancien couvent des Capucins, rue des Abbés Cattet
    • Église protestante unie, 1 place Albert Schweitzer
    • Église Apostolique, 6 rue Albert Camus

    Équipements culturels

    Façade du théâtre Bernard Blier.
    • Il existe deux théâtres : le théâtre Bernard Blier et le théâtre du Lavoir.
    • Un cinéma (l'Olympia) et le ciné-club Jacques Becker (https://www.ccjb.fr), un ciné-club actif [42] qui anime une programmation régulière et deux festivals.
    • Une médiathèque.
    • Le Musée municipal de Pontarlier, place d'Arçon : outre des salles de peinture régionale, il présente une exposition d'objets trouvés dans la région depuis la pré-histoire mais surtout le trésor de la nécropole mérovingienne de la Grande Oye à Doubs. Dans ses réserves se trouve une collection importante de livres légués par Xavier Marmier, écrivain voyageur du XIXe siècle. Il possède une collection de faïences. Une exposition sur l'absinthe occupe tout le 1er étage. Au rez-de-chaussée, on découvre des objets faisant partie de l'histoire pontissalienne. La bâtisse appartenait à la famille Saint-Mauris, gouverneurs de Pontarlier et du château de Joux sur plusieurs générations. On y voit des vitraux, des parquets et des plafonds anciens dont une poutre ornée.

    Divers

    Personnalités liées à Pontarlier

    Personnalités politiques et militaires

    • Sébastien Racle (1652-1724), évangélisa les Abénaquis au Québec et y organisa la résistance aux Anglais.
    • Jean Le Michaud d'Arçon (1733-1800), né à Besançon[43], général spécialiste des fortifications.
    • Jean-Baptiste Michaud (1759-1819), le conventionnel Michaud. Eut une carrière politique qui dépassa le cadre de la région. Après des études au lycée de Pontarlier, puis de droit à Besançon, il entra au Parlement comme avocat en 1777, à seulement 18 ans. Peut-être influencé par l'exemple de son père - Charles-François Michaud, maire de la ville de 1756 à 1764 et de 1790 à 1795 -, il accepte avec une certaine ardeur les grands principes révolutionnaires et devient l'un des administrateurs du Département du Doubs en 1790. Sa carrière connut des débuts fracassants. Il fut élu député à l'Assemblée législative puis à la Convention. Michaud rejoignit le rang des robespierristes et vota la mort de Louis XVI en 1793. Son action fut ensuite plus modérée, notamment dans les missions qui lui furent confiées. Cette attitude lui permit de traverser la période révolutionnaire sans difficulté. Fidèle à l'idéal républicain, il refusa toute fonction publique sous le consulat et se retira à Pontarlier après 1799 où il vécut avec son père et sa fille. Se consacrant entièrement aux livres, il réalisa l'inventaire et le classement de la bibliothèque municipale. Obligé de s'exiler à la chute de l'Empire, il termina ses jours à Monthey (Valais suisse) en 1819. Soixante ans après sa mort, on retrouva son portrait, signé « La Neuville / Elève de David / 1792 », dans les combles de l'Hôtel de Ville de Pontarlier.
    • Charles Antoine Morand (1771-1835), né à Pontarlier, général d'Empire, commandant d'une partie de la Garde impériale, pair de France.
    • Auguste Demesnay (1805-1853) fut député du Doubs sous la Monarchie de Juillet, la Deuxième République et le Second Empire. Il fut également maire et sous-préfet de Pontarlier.
    • Edgar Faure (1908-1988), académicien (1978-1988), président du Conseil (1955-1956), président de l'Assemblée Nationale (1973-1978), a été maire de Pontarlier de 1971 à 1977.
    • Philippe Grenier, médecin, est né à Pontarlier (1865-1944) et en a été député républicain (1896-1898).
    • René Carré-Bonvalet (1875-1953).
    • Jean Bulle (1913-1944).
    • Raymond Faivre (1910-1944), résistant de la Seconde-Guerre Mondiale et ancien instituteur, dont une école maternelle de la ville porte le nom.

    Artistes et écrivains

    Sportifs

    Autres

    Héraldique

    Blason De gueules à la tour accostée à senestre d'un pont de trois arches romanes mouvant du flanc, le tout d'argent maçonné de sable[44].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes

    1. Les forts de Joux et Mahler protégèrent le passage en Suisse de l'armée de l'est lors de la guerre de 1870.
    2. Cette sous-section Finances locales est issue d'une synthèse des données du site alize2.finances.gouv.fr du ministère de l'Économie et des Finances. Elle est présentée de façon standardisée pour toutes les communes et ne concerne que le périmètre municipal. Pour constituer cette partie, l'outil Finances locales version 1.2.1 : Yin Yang Kappa a effectué la synthèse des 98 pages du site alize2.finances.gouv.fr concernant Pontarlier. Finances locales est un logiciel libre distribué en copyleft sous licence GNU GPL version 3.
    3. La « section de fonctionnement » est constituée des dépenses courantes et récurrentes nécessaires au bon fonctionnement des services municipaux et à la mise en œuvre des actions décidées par les élus, mais sans influence sur la consistance du patrimoine de la commune.
    4. Les « charges de personnel » regroupent les frais de rémunération des employés par la commune.
    5. Les « impôts locaux » désignent les impôts prélevés par les collectivités territoriales comme les communes pour alimenter leur budget. Ils regroupent les impôts fonciers, la taxe d'habitation ou encore, pour les entreprises, les cotisations foncières ou sur la valeur ajoutée.
    6. La section « investissement » concerne essentiellement les opérations visant à acquérir des équipements d’envergure et aussi au remboursement du capital de la dette.
    7. Les « dépenses d’équipement » servent à financer des projets d’envergure ayant pour objet d’augmenter la valeur du patrimoine de la commune et d’améliorer la qualité des équipements municipaux, voire d’en créer de nouveaux.
    8. Les « remboursements d'emprunts » représentent les sommes affectées par la commune au remboursement du capital de la dette.
    9. L'« encours de la dette » représente la somme que la commune doit aux banques au de l'année considérée
    10. L'« annuité de la dette » équivaut à la somme des intérêts d'emprunts de la commune et du montant de remboursement du capital au cours de l'année
    11. La « capacité de désendettement » est basée sur le ratio suivant défini par la formule : ratio = encours de la dettecapacité d'autofinancement. Ce ratio montre, à un instant donné, le nombre d'années qui seraient nécessaires au remboursement des dettes en considérant les ressources de Pontarlier.
    12. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2020, millésimée 2017, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2019, date de référence statistique : 1er janvier 2017.

    Base de données du ministère du Budget, relative aux comptes des communes

    Références

    1. D'après Ville de Pontarlier, « Pontarlier, une ville de caractère », sur http://www.ville-pontarlier.fr (consulté le 5 août 2008)
    2. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes du Doubs, consulté le 24 avril 2019
    3. Et a 30 minutes de Lausannes [SUISSE] « Calcul de l'orthodromie entre Pontarlier et Besançon », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le 20 octobre 2013)
    4. « Calcul de l'orthodromie entre Pontarlier et Lausanne », sur le site The Time Now (consulté le 20 octobre 2013)
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau (U20200) »
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau (U2020540) »
    7. « Page d'accueil », sur le site Pontabus (consulté le 10 novembre 2013)
    8. [PDF]Présentation consacrée à l'échinococcose en France (2007)
    9. Site Plan séisme, page sur les risques sismiques Didacticiel de la règlementation parasismique
    10. Site plan séisme, page sur la Franche-Comté, consulté le 24 avril 2019
    11. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
    12. (en) William Smith, George Long, « Dictionary of Greek and Roman Geography vol. 1 », sur https://books.google.fr, Little, Brown, & Cie, (consulté le 5 août 2008) : « Ariolica : […] 2. A station in Gallia, is placed in the Tables on the road from Urba (Orbe), in the Pays de Vaud in Switzerland, to Vesontio (Besançon) in France, and seems to represent Pontarlier on the Doubs; but the distances in the Antonine Itin. do not agree with the real distances, and D'Anville resorts to a transposition of the numbers, as he does occasionally in other cases. The Theodosian Tab. names the place Abrolica, — possibly an error of transcription. [G.L.] », p. 214
    13. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 540b
    14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    15. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise. Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, éditions Errance, , p. 54 - 55
    16. Xavier Delamarre, op. cit..
    17. Dis… Grand-Père, par Arthur Griffon, p.  145 sur Google Livres
    18. (fr) Xavier Marmier, « Voyage en Suisse », sur https://books.google.fr, Morizot, (consulté le 10 décembre 2013) : « On ot biau verie, deverie, On ne voit ra d' té que Pontalie. On a beau tourner et retourner, On ne voit rien de tel que Pontarlier. », p. 459
    19. (fr) Xavier Marmier, « Journal : 1848-1890 », sur https://books.google.fr, Librairie Droz, (consulté le 10 décembre 2013) : « On [ot] biau veri, deveri, On ne vet ran de té que Pontali. On a beau tourner, retourner, On ne voit rien de tel que Pontarlier. », p. 51
    20. Stéphane Simonnet, Claire Levasseur (cartogr.) et Guillaume Balavoine (cartogr.) (préf. Olivier Wieviorka), Atlas de la libération de la France : 6 juin 1944- 8 mai 1945 : des débarquements aux villes libérées, Paris, éd. Autrement, coll. « Atlas-Mémoire », (1re éd. 1994), 79 p. (ISBN 978-2-746-70495-4 et 2-746-70495-1, OCLC 417826733, notice BnF no FRBNF39169074), p. 35
    21. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 18/12/2009.
    22. Atlas de la Commission Nationale de la Coopération Décentralisée
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016 et 2017.
    26. Aire Urbaine de Pontarlier, RP INSEE 1999
    27. Site officiel de la ville de Pontarlier
    28. CA Pontarlier (handball)
    29. CA Pontarlier Basketball
    30. Société de tir de Pontarlier
    31. Association Théâtr'Ouvert : http://theatrouvert.free.fr/
    32. Site officiel de l'aéroclub de Pontarlier
    33. « État des lieux socio-économique de la zone d’emploi de Pontarlier » (consulté le 20 octobre 2013)
    34. Site officiel du Pontarlier-Anis
    35. « MERSEN | Mersen : acquisition d'Idealec », sur www.mersen.com (consulté le 26 février 2019)
    36. L'apothicairerie de l'hôpital Saint-Étienne
    37. Série apothicaireries hospitalières no 21, laboratoires Roussel réf. 55 No 21 - P.M. 147 H 281.
    38. « Deux pots parmi d'autres ... », notice no PM25001511, base Palissy, ministère français de la Culture
    39. https://fr.tripadvisor.ch/LocationPhotoDirectLink-g635791-d14790907-i329720540-Parc_du_Grand_Cours-Pontarlier_Doubs_Bourgogne_Franche_Comte.html
    40. http://pleinair.net/actualites/item/52315-photo-de-vacances-le-grand-cours-a-pontarlier
    41. https://www.estrepublicain.fr/pour-sortir/loisirs/Stage-atelier-vacances-scolaires/Arts-plastiques/Franche-comte/Doubs/Pontarlier/2018/06/09/Le-kiosque-a-slogans
    42. Ciné-club Jacques Becker
    43. Baptisé à Pontarlier
    44. PONTARLIER (Haut-Doubs, Doubs, Franche-Comté, Montagnes du Jura)

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Mémoires pour servir à l'histoire de la ville de Pontarlier, François Nicolas, Eugène Droz, édition A. Faivre fils, 1840 books.google.fr

    Liens externes

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