Saint-Gratien (Val-d'Oise)

Saint-Gratien (prononcé [sɛ̃ gʁa.ˈsjɛ̃]) est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région d'Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Gratien.

Saint-Gratien

Vue générale de la ville depuis la colline d'Orgemont.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Sarcelles
Canton Argenteuil-1
Intercommunalité Communauté d'agglomération Plaine Vallée
Maire
Mandat
Julien Bachard
2017-2020
Code postal 95210
Code commune 95555
Démographie
Gentilé Gratiennois
Population
municipale
20 682 hab. (2017 )
Densité 8 546 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 58′ 00″ nord, 2° 17′ 00″ est
Altitude 55 m
Min. 39 m
Max. 59 m
Superficie 2,42 km2
Localisation
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Saint-Gratien
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Saint-Gratien
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Saint-Gratien
Liens
Site web ville-saintgratien.fr

    Ses habitants sont appelés les Gratiennois.

    Géographie

    Localisation

    Saint-Gratien est située aux portes de la vallée de Montmorency et à dix kilomètres au nord de Paris. Proche de secteurs à forte implantation d'activités économiques, elle reste une ville essentiellement résidentielle.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Argenteuil, Sannois, Eaubonne, Soisy-sous-Montmorency et Enghien-les-Bains dans le département du Val-d'Oise, et Épinay-sur-Seine dans le département voisin de la Seine-Saint-Denis.

    Morphologie urbaine

    Le centre de Saint-Gratien est constitué par un îlot très dense d'immeubles de grande hauteur datant des années 1970, entourant une place centrale nommée le « forum ». Celui-ci constitue un centre culturel et commercial, avec la présence de divers commerces ainsi, notamment, que du cinéma et de la médiathèque de la ville.

    Le sud de la commune, au-delà des voies ferrées de la ligne La Plaine - Ermont-Eaubonne et en limite d'Argenteuil et d'Épinay-sur-Seine, est essentiellement constitué d'une importante cité HLM, les Raguenets, classée en zone urbaine sensible depuis 1996. En 2007, ce quartier regroupe 7000 habitants, soit près du tiers de la population de la commune[3].

    Au nord, l'environnement est nettement plus privilégié en limite d'Enghien-les-Bains, avec un quartier résidentiel aux alentours du lac de la princesse Mathilde, modeste extension du lac d'Enghien. Ce secteur est pour l'essentiel constitué de pavillons, avec la présence de petits collectifs, en particulier autour de l'avenue Mathilde, en limite de Soisy-sous-Montmorency.

    Voies de communication et transports

    L'autoroute A15 relie directement la commune à la Défense et au pôle d'activité de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, ainsi qu’à l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. La RD 14 rejoint rapidement la porte d'Asnières ou de Clichy.

    Desservi par la ligne C du RER, la gare de Saint-Gratien se situe à vingt minutes de Paris Porte Maillot.

    Les principales lignes de bus sont :

    Toponymie

    Attestée sous les formes Sanctus Gratianus[4], Sanctus Gracianus en 1186[5].

    Saint-Gratien doit son nom à un jeune berger martyrisé au IVe siècle et canonisé sous le règne de Dagobert Ier en 628. Les moines de l'abbaye de Saint-Denis bâtirent un oratoire à sa mémoire. Une relique de saint Gratien est enterrée sous le maître-autel de l'église de la ville.

    Histoire

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    En 1225, Guillaume de Cornillon possède la plus grande partie du territoire.

    Au XVIIe siècle, le maréchal Nicolas de Catinat hérite de sa mère le territoire de Saint-Gratien. Disgracié en 1701 à la suite d’une conspiration, il se retire dans son château à Saint-Gratien, construit en 1610 par son grand-père. Il y reçoit Bossuet, Fénelon, Vauban, madame de Sévigné, madame de Coulanges, le duc de La Rochefoucauld, et partage son existence entre la culture des arbres fruitiers et la gestion de son domaine qui s’étend depuis Orgemont jusqu’aux rives du lac actuel d’Enghien. Il meurt à Saint-Gratien le 12 février 1712 et est inhumé dans la chapelle du village. Pour rendre hommage à cet homme, la commune de Saint-Gratien a adopté les armoiries du maréchal de Catinat en juillet 1994.

    Dès la fin du XVIIIe siècle, Saint-Gratien devient le site privilégié de villégiature des Parisiens qui y construisent des résidences secondaires dont certaines sont encore visibles.

    En 1806, le comte de Luçay, Jean-Baptiste Legendre, préfet impérial, acquiert Saint-Gratien et y fait construire un château inauguré par Napoléon Ier.

    En 1832, le marquis Astolphe de Custine, écrivain, voyageur et diplomate, fit également construire un château, qui fut rasé en 1860 par ses héritiers ; il y reçut de nombreux artistes : Balzac, Victor Hugo, Chopin, Delacroix, Chateaubriand qui fut intimement lié à sa mère pendant vingt ans, Alfred de Musset, Barbey d’Aurevilly, George Sand et Lamartine ; il en reste un bâtiment de dépendances, 67, rue Sœur-Angèle.

    La princesse Mathilde-Létizia Bonaparte, fille de Jérôme Bonaparte, passait ses étés tout d'abord au château Catinat en tant que locataire du marquis de Custine, puis acheta en 1853 le château construit par le comte de Luçay (aujourd'hui appelé « château de la Princesse Mathilde »).

    Elle y reçut de nombreux écrivains et artistes du Second Empire : Prosper Mérimée, Théophile Gautier, Jules et Edmond de Goncourt, Gustave Flaubert, Alexandre Dumas.

    Le tramway Enghien - Montmorency, vu ici devant la poste, a desservi la ville de 1901 ou 1902 à 1908.

    Elle s’investit beaucoup dans la vie de Saint-Gratien et de ses habitants en participant financièrement à la construction de la première école (aujourd’hui disparue), à la création de postes d’infirmières, à l’installation de l’éclairage public et à l’édification de l’église actuelle (pour remplacer celle du XIIIe siècle qui menaçait de s'écrouler).

    Elle mourut à Paris le 4 janvier 1904 et est inhumée selon sa volonté dans l’église de Saint-Gratien.

    En 1850, le territoire des communes de Saint-Gratien, Deuil-la-Barre et Épinay-sur-Seine est amputé afin de permettre la création des communes de Soisy-sous-Montmorency et d'Enghien-les-Bains[6].

    Au XXe siècle, la commune a connu le développement des villes de banlieue parisienne avec un essor de sa population et la rénovation de son centre-ville, favorisé par la mise en service du tramway Enghien - Montmorency en1901 ou 1902 et qui a desservi Saint-Gratien jusqu'en 1908, année où est créée la gare de Saint-Gratien. De 1910 à 1970, le nombre d’habitants est ainsi passé de 2 520 à 20 000.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[7], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise, après un transfert administratif effectif au .

    Rattachée à l'arrondissement d'Argenteuil lors de la mise en place du département, elle est transférée en 1985 à l'arrondissement de Montmorency, devenu arrondissement de Sarcelles en 2000[6]. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription du Val-d'Oise depuis 1986.

    Elle était rattachée de 1793 à 1964 au canton de Montmorency, année où elle est intégrée au canton d'Enghien-les-Bains avant de devenir, en 1985, le chef-lieu du canton de Saint-Gratien[6]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais rattachée au canton d'Argenteuil-1.

    Saint-Gratien fait partie de la juridiction d’instance de Montmorency, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[8],[9].

    Intercommunalité

    La commune était membre fondateur de la communauté d'agglomération de la vallée de Montmorency (CAVAM), créée fin 2001.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, la CAVAM fusionne le avec la communauté de communes de l'Ouest de la Plaine de France.

    C'est ainsi qu'est créée la communauté d'agglomération Plaine Vallée, dont la commune est désormais membre.

    Tendances politiques

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 1947 Isidore Gaidoz    
    1947 1959 Julien Morpe    
    1959 1977 Léon Hovnanian PRRRS Médecin
    Député de Seine-et-Oise (1956 → 1958)
    Conseiller général du Val-d'Oise (1967 → 1979)
    1977 1983 Lucien Cavelier PS  
    1983 2001 François Scellier UDF-RAD Député du Val-d'Oise (6e circ.) (2002 → )
    Conseiller général de Saint-Gratien (1985 → 2015)
    Président du Conseil Général (1997 → 2008)
    mars 2001[10] octobre 2017[11] Jacqueline Eustache-Brinio[12] UMP[13] Enseignante dans un lycée professionnel
    Sénatrice du Val-d'Oise (2017 → )
    Conseillère régionale (2004 → 2017)
    Vice-présidente déléguée de la CAVAM ( ? → 2015)
    Vice-présidente de la CA Plaine Vallée (2016 → 2017)
    Démissionnaire à la suite de son élection comme sénatrice
    2017[14],[15] En cours
    (au 20 octobre 2017)
    Julien Bachard LR  

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[16],[Note 1].

    En 2017, la commune comptait 20 682 habitants[Note 2], en diminution de 1,22 % par rapport à 2012 (Val-d'Oise : +3,5 %, France hors Mayotte : +2,36 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    368424468380430487517568580
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    7209161 0461 2021 2411 3271 6561 5471 632
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7742 0912 5393 3074 4855 7025 8476 1007 204
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    9 24814 94720 33820 47019 33819 22621 43620 45320 824
    2017 - - - - - - - -
    20 682--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[17].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Équipements culturels

    • Le centre culturel du Forum
    • Espace Jacques-Villeglé (lieu d'art contemporain)
    • Le théâtre Jean-Marais
    • Le centre culturel Camille-Claudel
    • Le centre du Parc
    • La salle Georges-Brassens
    • Le cinéma « Les Toiles »
    • La médiathèque Théodore-Monod
    • La bibliothèque Motordu


    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Saint-Gratien ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire, le château Catinat, avenue Gabriel-Péri[18])

    Construit en 1610 par le grand-père de Nicolas de Catinat, il fut habité par le maréchal de 1637 à 1712, années durant lesquelles il y reçut de très nombreuses personnalités. En 1857, le château fut racheté par la princesse Mathilde, qui en fit une maison d’amis.

    Aujourd’hui, il accueille une partie des services sociaux de la mairie[19].

    On peut également remarquer :

    • Église Saint-Gratien, place Charles-de-Gaulle : Bâtie de 1856 à 1859 sur les plans de Léon Ohnet, grâce aux subventions accordées par l’État et à la princesse Mathilde, pour remplacer l'église du XIIIe siècle qui menaçait de s'écrouler. Le maréchal de Catinat (1637-1712) et la princesse (1820-1904) y sont enterrés.
    • Hôtel de ville, place Gambetta : Construit sur les plans de l'architecte Paul Nief, dans le style d'une maison bourgeoise, il fut inauguré le 7 février 1909. Deux ailes basses ont été rajoutées en 1936.
    La salle des Mariages, avec son décor néogothique, possède de nombreuses peintures illustrant l'histoire de Saint-Gratien[19].
    • Cèdre du Liban : Situé place Gambetta, la légende locale rapporte qu'il aurait été planté sur ordre de Louis XIV vers 1710, en reconnaissance à Nicolas de Catinat, seigneur de Saint-Gratien, maréchal de France[19].
    • Château de la princesse Mathilde : Il fut bâti en 1806 par Jean-Baptiste Legendre, comte de Luçay. La princesse Mathilde le racheta en 1853 et le fit rehausser d’un étage. L’immense parc du château fut amputé de son grand lac, cédé à la ville nouvelle d’Enghien-les-Bains.
    Monsieur Terré, maire de Saint-Gratien, fit alors construire pour la princesse le bassin de l’Ouest en dédommagement de la perte du lac d’Enghien.
    Après la mort de la princesse en 1904, le parc fut loti et devint le quartier résidentiel dénommé « le Parc ». Mal conservé, le château était fortement délabré et fut déclaré insalubre en 1967. Il fut réhabilité par un particulier, en 1985, puis vendu en appartements[19].
    • Marché couvert et foyer municipal, place Roger-Salengro[19].
    • Bâtiment-voyageurs de la gare de Saint-Gratien : Son bâtiment-voyageurs de 1908 est un exemple particulièrement remarquable du style architectural propre à la banlieue parisienne entre la fin du XIXe siècle et les années 1930, avec large recours à la meulière et mélange de différents matériaux[19].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2020, millésimée 2017, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2019, date de référence statistique : 1er janvier 2017.

    Références

    1. « Communes limitrophes de Saint-Gratien (Val-d'Oise) » sur Géoportail.
    2. « Communes limitrophes de Saint-Gratien (Val-d'Oise) » sur Géoportail.
    3. [PDF] Mairie de Saint-Gratien : la lettre du maire - Numéro spécial Raguenets, février 2007
    4. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    5. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Tome 3, page 1547
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    8. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
    9. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
    10. Daniel Pestel, « Jacqueline Eustache-Brinio succède à François Scellier à Saint-Gratien », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    11. A B., « Ces sénateurs du Val-d’Oise vont devoir lâcher leur mairie », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le 1er octobre 2017)
    12. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Municipales : réélection record de la maire de Saint-Gratien », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    13. « Luc Strehaiano et Jacqueline Eustache-Brinio réintègrent l'UMP », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    14. J.L., « Saint-Gratien : Julien Bachard pressenti pour succéder à Jacqueline Eustache-Brinio », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le 22 octobre 2017) « Selon toute vraisemblance, c’est Julien Bachard qui devrait lui succéder. Enfant de Saint-Gratien, celui-ci est conseiller municipal depuis 2008 et septième adjoint au maire chargé du développement durable depuis 2014 ».
    15. J.L, « Saint-Gratien : Julien Bachard devient le plus jeune maire du Val-d’Oise : Âgé de 31 ans, il a été élu ce vendredi soir par le conseil municipal », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le 22 octobre 2017).
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016 et 2017.
    18. Notice no PA00080196, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    19. Yves Breton, Catherine Costes et Stéphane Gasser, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Saint-Gratien », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II, , p. 741-479 (ISBN 2-84234-056-6).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Association Saint-Gratien d'hier et d'aujourd'hui, Saint Gratien autrefois, Saint-Gratien, Centre culturel du Forum, , 191 p.

    Articles connexes

    Liens externes

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