Simone Signoret
Simone Signoret, de son vrai nom Simone Kaminker, est une actrice et écrivaine française, née le à Wiesbaden (Allemagne)[n 1] et morte le à Autheuil-Authouillet (Eure) en France.
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Nom de naissance | Henriette Charlotte Simone Kaminker |
---|---|
Naissance |
Wiesbaden (Allemagne) |
Nationalité |
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Décès |
(à 64 ans) Autheuil-Authouillet (France) |
Profession |
Actrice Écrivaine |
Films notables |
Dédée d'Anvers Casque d'or Les Diaboliques Les Chemins de la haute ville L'Armée des ombres Le Chat La Vie devant soi |
Prix d'interprétation féminine au Festival de Cannes 1959 pour son rôle dans Les Chemins de la haute ville, elle est la deuxième actrice française (après Claudette Colbert, mais Claudette Colbert, étant arrivée aux États-Unis enfant, était considérée comme une actrice américaine) à remporter l'Oscar de la meilleure actrice l'année suivante pour ce même film. En 1977, elle reçoit le César de la meilleure actrice pour La Vie devant soi d'après le roman de Romain Gary.
Elle a été mariée de 1948 à 1951 au réalisateur Yves Allégret, dont elle a eu une fille, Catherine, puis de 1951 à sa mort à l'acteur et chanteur Yves Montand.
Biographie

Simone Signoret est la fille aînée d'André Kaminker (1888-1961), traducteur juif français d'origine polonaise, et de Georgette Signoret (1896-1984), une Française originaire de Provence. Elle naît en Allemagne Rhénane alors occupée par les Français à la suite de la Première Guerre mondiale. Simone a deux frères cadets, Alain et Jean-Pierre.
André Kaminker est avec Jacques Paul Bonjean journaliste au Poste Parisien, il effectue aussi pour la radio française, en 1934, une traduction simultanée[1] d’un discours de Hitler à Nuremberg. Il rejoint en 1940 la France libre à Londres, puis devient speaker, notamment à Radio Brazzaville[2],[n 2].
Au début de la Seconde Guerre mondiale, Simone se réfugie en Bretagne avec le reste de sa famille : elle est élève au lycée de Vannes où elle a pour professeur d’histoire Lucie Aubrac pendant quelques mois[3]. De retour à Paris, elle devient, en 1941, la secrétaire de Jean Luchaire. Grâce à la fille de celui-ci, la comédienne Corinne Luchaire, elle commence à faire de la figuration au cinéma. Elle se choisit alors un nom de scène en substituant à son nom de famille celui de sa mère, Signoret.
En 1943, elle rencontre le réalisateur Yves Allégret. Le 16 avril 1946 naît leur fille Catherine Allégret, et ils se marient en 1948. Sa carrière de comédienne est lancée en 1946 avec Macadam, pour lequel elle obtient l'année suivante le prix Suzanne-Bianchetti de la révélation. Allégret offre à Simone Signoret ses premiers rôles importants, notamment dans Dédée d'Anvers en 1948 et Manèges, sorti en 1950, mais en , sur un coup de foudre, elle quitte Yves Allégret pour un jeune chanteur découvert par Édith Piaf, Yves Montand, rencontré à Saint-Paul de Vence. Ils se marient le .
C'est avec d'autres réalisateurs que Simone Signoret accède au rang de vedette avec, par exemple, Casque d'or de Jacques Becker en 1951, Thérèse Raquin de Marcel Carné en 1953 et Les Diaboliques d'Henri-Georges Clouzot en 1954.
En 1954, Signoret et Montand achètent une propriété à Autheuil-Authouillet, en Normandie. Cette demeure devint par la suite un haut lieu pour des rencontres artistiques et intellectuelles. Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Serge Reggiani, Pierre Brasseur, Luis Buñuel, Jorge Semprún, y séjournent régulièrement. Le couple milite en faveur de ses idées de gauche et est bientôt catalogué « compagnon de route » du Parti communiste français (PCF). En 1957, Yves Montand, accompagné de Simone Signoret, entreprend une tournée triomphale dans tous les pays du bloc de l'Est. Cependant ils en reviennent profondément désabusés sur la réalité concrète des pays du « socialisme réel » et prennent dès lors leurs distances avec le parti, sans renier toutefois leurs convictions politiques. En 1956, ils jouent ensemble pour la première dans un film de Yannick Bellon, Un matin comme les autres, court métrage sur le problème de l'insalubrité des logements en banlieue.
Après avoir tourné en Angleterre Les Chemins de la haute ville sous la direction de Jack Clayton, Simone Signoret part aux États-Unis avec Yves Montand en 1959. Le couple fréquente l'écrivain Arthur Miller, dont ils ont créé, dans la mise en scène de Raymond Rouleau, la version française des Sorcières de Salem en 1954 à Paris, portée à l'écran deux ans plus tard. Miller vient d'épouser Marilyn Monroe, qui impose Montand à ses côtés dans le film Le Milliardaire qu'elle s'apprête à tourner avec George Cukor.
Après avoir reçu l'Oscar de la meilleure actrice pour son interprétation dans Les Chemins de la haute ville le , devenant la première actrice française à recevoir ce prix[n 3], Simone Signoret rentre en France, tandis qu'une liaison — connue de tous — se noue entre Montand et Monroe pendant quelques mois. L'acteur français rejoint cependant son épouse après la promotion du film. Lorsque, des années plus tard, un journaliste évoque avec Signoret cette liaison, elle répond qu'elle regrettait simplement que Marilyn Monroe n'ait jamais su qu'elle ne lui en avait pas voulu[4].
En septembre 1960, elle signe le Manifeste des 121, titré « Déclaration sur le droit à l’insoumission dans la guerre d’Algérie ».
Dans les années 1970, Simone Signoret incarne de nombreux rôles, parfois politiques comme dans L'Aveu de Costa-Gavras avec Montand en 1970, mais toujours puissamment dramatiques : L'Armée des ombres de Jean-Pierre Melville en 1969, Le Chat avec Jean Gabin et La Veuve Couderc avec Alain Delon, tous deux de Pierre Granier-Deferre en 1971, Les Granges Brûlées (à nouveau avec Delon) de Jean Chapot en 1973. Elle tourne également avec la nouvelle génération de réalisateurs, notamment Patrice Chéreau dans La Chair de l'orchidée en 1975, et dans Judith Therpauve en 1978, et Alain Corneau dans Police Python 357 en 1976.
En 1978, son interprétation de Madame Rosa dans le film La Vie devant soi, lui vaut le César de la meilleure actrice alors que le film remporte l'oscar du meilleur film en langue étrangère. La même année, elle tourne également pour la télévision dans la série Madame le Juge.

À partir de 1981, la santé de Simone Signoret, qui fume et qui est alcoolique, se détériore sérieusement : elle subit une première opération de la vésicule biliaire, puis devient progressivement aveugle, ne distinguant plus à terme que la silhouette des objets. Ses apparitions à l'écran deviennent rares, malgré la poursuite de sa carrière cinématographique. Elle tourne, entre autres, L'Étoile du Nord avec Pierre Granier-Deferre en 1982, ainsi que deux téléfilms avec Marcel Bluwal : Thérèse Humbert en 1983 et Music-hall en 1985. Une de ses dernières apparitions marquantes se fait, quelques mois avant sa mort, dans l'émission 7 sur 7 où elle demande à la journaliste Anne Sinclair de présenter le sigle de SOS Racisme « Touche pas à mon pote ».
Atteinte d'un cancer du pancréas, elle subit une dernière intervention chirurgicale en août 1985, mais meurt dans sa propriété d'Autheuil, le à 64 ans. Elle est inhumée au cimetière du Père-Lachaise. Yves Montand, qui meurt six ans plus tard, en novembre 1991, est inhumé à ses côtés.
Simone Signoret a publié son autobiographie, La nostalgie n'est plus ce qu'elle était en 1975, un autre récit autobiographique, Le lendemain, elle était souriante... en 1979, et un unique roman, Adieu Volodia, en 1985.
Sa fille Catherine Allégret sera comédienne, son petit-fils Benjamin Castaldi présentateur de télévision et son arrière petit-fils Julien Castaldi chroniqueur de télévision.
Théâtre
- 1942 : Dieu est innocent de Lucien Fabre, mise en scène Marcel Herrand, Théâtre des Mathurins
- 1954 : Les Sorcières de Salem d'Arthur Miller, mise en scène Raymond Rouleau, Théâtre Sarah-Bernhardt
- 1962 : Les Petits Renards de Lillian Hellman, mise en scène Pierre Mondy, Théâtre Sarah-Bernhardt
- 1966 : Macbeth de Shakespeare, Royal Court Theatre Londres
Filmographie
Cinéma
- 1941 : Le Prince charmant de Jean Boyer
- 1941 : Boléro de Jean Boyer
- 1942 : L'Ange de la nuit d'André Berthomieu : une étudiante (non créditée)
- 1942 : Les Visiteurs du soir de Marcel Carné : une demoiselle du château (non créditée)
- 1942 : Le Voyageur de la Toussaint de Louis Daquin
- 1942 : Le Bienfaiteur de Henri Decoin : l'employée du journal local (non créditée)
- 1943 : Adieu Léonard de Pierre Prévert : la gitane (non créditée)
- 1943 : Béatrice devant le désir de Jean de Marguenat
- 1943 : Le mort ne reçoit plus de Jean Tarride
- 1944 : Service de nuit de Jean Faurez
- 1945 : Le Couple idéal de Bernard Roland : Annette
- 1945 : La Boîte aux rêves d'Yves Allégret et Jean Choux
- 1945 : Les Démons de l'aube d'Yves Allégret : Lily, la cabaretière
- 1946 : Macadam de Marcel Blistène et Jacques Feyder : Gisèle
- 1947 : Fantômas de Jean Sacha : Hélène
- 1947 : Les Guerriers dans l'ombre (Against the Wind) de Charles Crichton
- 1947 : Dédée d'Anvers d'Yves Allégret : « Dédée »
- 1948 : Impasse des Deux-Anges de Maurice Tourneur : Marianne
- 1949 : Suzanne et son marin de Leopold Lindtberg : Yvonne
- 1950 : Manèges d'Yves Allégret : Dora
- 1950 : La Ronde de Max Ophüls : Léocadie, la prostituée
- 1950 : Le Traqué (Gunman in the Streets) de Boris Lewin et Franck Tuttle
- 1951 : Ombre et Lumière d'Henri Calef
- 1951 : Casque d'or de Jacques Becker : Marie dite « Casque d'or »
- 1951 : Sans laisser d'adresse de Jean-Paul Le Chanois : une journaliste
- 1953 : Thérèse Raquin de Marcel Carné : Thérèse Raquin
- 1954 : Les Diaboliques d'Henri-Georges Clouzot : Nicole Horner
- 1955 : Mère courage (Mutter Courage) de Wolfgang Staudte (inachevé)
- 1956 : La Mort en ce jardin de Luis Buñuel : Djin
- 1957 : Les Sorcières de Salem de Raymond Rouleau : Élisabeth Proctor
- 1959 : Les Chemins de la haute ville de Jack Clayton : Alice Aisgill
- 1960 : Adua et ses compagnes d'Antonio Pietrangeli
- 1961 : Les Mauvais Coups de François Leterrier : Roberte
- 1961 : Les Amours célèbres, sketch Jenny Lacour de Michel Boisrond : Jenny de Lacour
- 1962 : Le Verdict de Peter Glenville : Anna
- 1962 : Le Jour et l'Heure de René Clément : Thérèse Dutheil
- 1963 : Dragées au poivre de Jacques Baratier : Geneviève
- 1963 : Le Joli Mai, documentaire de Chris Marker
- 1964 : Aux grands magasins documentaire de William Klein : intervieweuse des clientes du Printemps
- 1965 : Compartiment tueurs de Costa-Gavras : Éliane Darrès
- 1965 : La Nef des fous de Stanley Kramer : la Contessa
- 1965 : The Love Godlesses, documentaire de Saul J. Turell
- 1966 : Paris brûle-t-il ? de René Clément : une patronne de bistrot
- 1966 : MI5 demande protection de Sidney Lumet
- 1967 : Le Diable à trois de Curtis Harrington : Lisa
- 1968 : Mister Freedom de William Klein (apparition)
- 1968 : La Mouette de Sidney Lumet : Arkadina, une actrice
- 1969 : L'Américain de Marcel Bozzuffi : Léone
- 1969 : L'Armée des ombres de Jean-Pierre Melville : Mathilde
- 1970 : L'Aveu de Costa-Gavras : Lise
- 1970 : Le Deuxième Procès d'Arthur London, documentaire de Chris Marker
- 1971 : Comptes à rebours de Roger Pigaut : Léa
- 1971 : Henri Langlois, documentaire de Roberto Guerra et Ella Hershon
- 1971 : Le Chat de Pierre Granier-Deferre : Clémence Bouin
- 1971 : La Veuve Couderc de Pierre Granier-Deferre : Tati Couderc
- 1973 : Les Granges Brûlées de Jean Chapot : Rose Cateux
- 1973 : Rude journée pour la reine de René Allio : Jeanne
- 1975 : La Chair de l'orchidée de Patrice Chéreau : Lady Vamos
- 1976 : Police Python 357 d'Alain Corneau : Thérèse Ganay
- 1977 : Le fond de l'air est rouge, film documentaire de Chris Marker
- 1978 : La Vie devant soi de Moshé Mizrahi : Madame Rosa
- 1978 : L'Adolescente de Jeanne Moreau : Mamie
- 1978 : Judith Therpauve de Patrice Chéreau : Judith Therpauve
- 1979 : Chère inconnue de Moshé Mizrahi : Louise
- 1982 : L'Étoile du Nord de Pierre Granier-Deferre : Louise Baron
- 1982 : Guy de Maupassant de Michel Drach : la mère de Maupassant
- Courts-métrages
- 1946 : Face à la vie de René Chanas
- 1946 : Ulysse ou les Mauvaises Rencontres d'Alexandre Astruc
- 1952 : Jouons le jeu, sketch La Jalousie d'André Gillois
- 1952 : Saint-Germain-des-Prés de Marcello Pagliero
- 1953 : Confidences en zig-zag sur l'amour d'André Gillois
- 1956 : Un matin comme les autres / La Rose des vents de Yannick Bellon
- 1969 : Jour de tournage de Chris Marker
Télévision
- 1966 : Une petite rébellion (A Small Rebellion) de Stuart Rosenberg
- 1970 : Un otage, dramatique de Marcel Cravenne : Meg
- 1978 : Madame le juge (série) : Élisabeth Massot
- 1983 : Thérèse Humbert de Marcel Bluwal : Thérèse Humbert
- 1983 : Des terroristes à la retraite, documentaire de Mosco Boucault (voix uniquement)
- 1986 : Music-hall de Marcel Bluwal : Yvonne Pierre
Écrits
- La nostalgie n’est plus ce qu’elle était, Éditions du Seuil, Paris, 1975 (ISBN 2-02004-520-6).
- Le lendemain, elle était souriante..., Éditions du Seuil, Paris, 1979 (ISBN 9782020052580)
- Adieu Volodia, Éditions Fayard, Paris, 1985 (ISBN 2-25303-956-X).
Distinctions
Récompenses
- BAFTA 1953 : Meilleure actrice étrangère pour Casque d'or (1953)
- Festival international du film de Karlovy Vary 1957 : Meilleure actrice pour Les Sorcières de Salem
- BAFTA 1958 : Meilleure actrice étrangère pour Les Sorcières de Salem
- National Board of Review 1959 : Meilleure actrice pour Les Chemins de la haute ville
- BAFTA 1959 : Meilleure actrice étrangère pour Les Chemins de la haute ville
- Jussi Awards 1959 : Meilleure actrice pour Les Chemins de la haute ville
- Festival de Cannes 1959 : Prix d'interprétation féminine pour Les Chemins de la haute ville
- Oscars 1960 : Meilleure actrice pour Les Chemins de la haute ville
- Primetime Emmy Awards 1966 : Meilleure actrice dans un téléfilm où une mini-série pour Bob Hope Presents the Chrysler Theatre, épisode « A Small Rebellion »
- Berlinale 1971 : Meilleure actrice pour Le Chat
- César 1978 : Meilleure actrice pour La Vie devant soi (1977)
- David di Donatello 1978 : Meilleure actrice pour La Vie devant soi
Nominations
- Golden Globes 1960 : Meilleure actrice dans un film dramatique pour Les Chemins de la haute ville
- BAFTA 1966 : Meilleure actrice étrangère pour La Nef des fous
- Golden Globes 1966 : Meilleure actrice dans un film dramatique pour La Nef des fous
- Oscars 1966 : Meilleure actrice pour La Nef des fous
- BAFTA 1968 : Meilleure actrice étrangère pour MI5 demande protection
- Césars 1983 : Meilleure actrice pour L'Étoile du Nord
Hommages
La chanteuse Nina Simone a choisi son pseudonyme en hommage à Simone Signoret après l'avoir vue dans Casque d'or [5].
En France, plusieurs odonymes portent le nom de l'actrice dont, notamment à Paris, la promenade du quai de la Seine, dans le quartier de la Villette, qui se dénomme « promenade Signoret-Montand » depuis 1998.
Serge Reggiani a rendu hommage à Simone Signoret et à son rôle dans le film Casque d'or avec la chanson Un menuisier dansait (1973).
En 1986, dans son album Ça fait rire les oiseaux, la Compagnie créole publie une chanson intitulée Simone.
Notes et références
Notes
- Alors sous occupation française à la suite de la Première Guerre mondiale.
- Après la Libération, il travaille comme interprète pour l'ONU en cours de création : cette toute nouvelle organisation internationale l'envoie en tant qu'observateur au procès de Nuremberg car on y pratique pour la première fois l'interprétation simultanée ; plus tard, il devient chef interprète du Conseil de l'Europe et participe à la création de l'Association internationale des interprètes de conférence dont il devient le président.
- Claudette Colbert, née en France en 1903, avait déjà remporté un Oscar de la meilleure actrice en 1935, mais sa famille était partie aux États-Unis alors qu'elle n'avait que 3 ans, et elle fut naturalisée américaine en 1912. Il faut attendre 2008 pour qu'une autre actrice française succède à Simone Signoret, pour un rôle cette fois en français, dans le film La Môme : Marion Cotillard.
Références
- Marie-France Skuncke et association internationale des interprètes de conférence, Tout a commencé à Nuremberg... : il aurait ainsi inauguré ce type de procédé car, auparavant, les interprétations étaient exclusivement consécutives.
- (en) Jesús Baigorri Jalón, Interpreters at the United Nations. A history], Universidad de Salamanca, 2004, p. 46-52.
- Simone Signoret, La nostalgie n'est plus ce qu'elle était, début du chapitre 2, p. 37.
- Simone Signoret, La nostalgie n’est plus ce qu’elle était, tout à la fin du chapitre 11, p. 295.
- David Brun-Lambert, Nina Simone : Une vie, éditions Flammarion, Paris, 2005 (ISBN 2-08-068693-3).
Annexes
Bibliographie
- Joëlle Monserrat, Simone Signoret, Paris, éditions PAC, 1983.
- Catherine David, Simone Signoret ou la Mémoire partagée, Paris, Robert Laffont, 1990.
- Catherine Allégret, Les Souvenirs et les regrets aussi..., Paris, éditions Fixot, 1994, 325 p. (ISBN 2-72428-175-6)
- Jean-François Josselin, Simone, Paris, Grasset, 1995.
- Huguette Bouchardeau, Simone Signoret : Biographie, Paris, Flammarion, 2005, 291 p. (ISBN 2-08068-749-2)
- Emmanuelle Guilcher, Signoret : Une vie, Paris, éditions Privé, 2005.
- Benjamin Castaldi, Dans les yeux de Simone, Paris, Albin Michel, 2010.
- Agnès Michaux, Les Sentiments, Paris, J'ai lu, 2011. (ISBN 9782290036143)
- Susan Hayward, Simone Signoret, une star engagée, trad. Samuel Bréan, Paris, L'Harmattan, 2013, 300 p. (ISBN 978-2-343-02002-0) (Édition originale : Susan Hayward, Simone Signoret: The Star as Cultural Sign, Londres-New York, Continuum, 2004)
Documentaires
- Mémoires pour Simone Signoret, de Chris Marker, 1986, film hommage réalisé à la demande de Gilles Jacob après le décès de l'actrice et projeté au Festival de Cannes 1986. Commentaire dit par François Périer. (60 min)
- Elle s'appelait Simone Signoret de Christian Lamet et Nicolas Maupied d'après une idée d'Emmanuelle Guilcher, coproduction Dream Way Productions/INA.
- Première diffusion le 30 septembre 2010 sur France 5, à l'occasion du 25e anniversaire de la mort de Simone Signoret. Avec la participation de Catherine Allégret, Guy Bedos, Benjamin Castaldi, Fanny Cottençon, France Roche et Anne Sinclair.
Liens externes
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- Ressources relatives à l'audiovisuel :
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- (en) AllMovie
- (en) Internet Movie Database
- (en) Oscars du cinéma
- (en) Rotten Tomatoes
- Simone Signoret, sur le site de l'INA
- Olivier Rajchman, « Simone Signoret: les combats d'une vie », L'Express, .
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