Yssingeaux
Yssingeaux (en occitan Sinjaus[1]) est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, dont elle est une sous-préfecture depuis 1800[2], et dans la région Auvergne-Rhône-Alpes ; son altitude moyenne est d'environ 860 mètres.
Yssingeaux | |||||
![]() La chapelle des pénitents d'Yssingeaux. | |||||
![]() Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Yssingeaux (chef-lieu) |
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Canton | Yssingeaux (bureau centralisateur) |
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Intercommunalité | Communauté de communes des Sucs (siège) |
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Maire Mandat |
Bernard Gallot 2014-2020 |
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Code postal | 43200 | ||||
Code commune | 43268 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Yssingelais(e) | ||||
Population municipale |
7 202 hab. (2017 ![]() |
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Densité | 89 hab./km2 | ||||
Population aire urbaine |
7 553 hab. (2015) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 08′ 37″ nord, 4° 07′ 28″ est | ||||
Altitude | 955 m Min. 589 m Max. 1 320 m |
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Superficie | 80,57 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | yssingeaux.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Yssingelais et les Yssingelaises.
Géographie
Localisation
Yssingeaux est situé dans la partie est du Velay. La région est parfois appelée le « pays des sucs » (un suc étant un dôme issu de volcan de type péléen).
Cette sous-préfecture se caractérise, depuis une dizaine d'années, par son dynamisme économique et démographique. Yssingeaux est sous l'influence directe de sa voisine Saint-Étienne et accueille aujourd'hui de plus en plus de nouveaux résidents en provenance de la région stéphanoise.
Communes limitrophes
Climat
La ville d'Yssingeaux bénéficie d'un climat tempéré. Les précipitations à Yssingeaux sont importantes. Même lors des mois les plus secs, les averses persistent encore. La carte climatique de Köppen-Geiger y classe le climat comme étant de type Cfb. En moyenne la température à Yssingeaux est de . Les précipitations annuelles moyennes sont de 754 mm[3].
Hydrographie
La rivière le Lignon est le seul cours d'eau traversant la commune d'Yssingeaux[4].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté dans les expressions latine Parrochia de Issinguaudo dès 985[5], Vicaria de Issingaudo en l'an 1000[6], puis un Territorium Singaudense en 1079[7], sous les formes Issinger en 1383, Yssinghaux au XVe siècle. Il s'agit manifestement du nom de personne germanique Isingaud pris absolument.
En revanche, il n'y a pas lieu d'y voir l'évolution phonétique du gaulois Icidmagus, l'élément -magus s'étant systématiquement réduit à une terminaison -on, -an ou -en dans la toponymie française. D'ailleurs, la Table de Peutinger (voies de communications sous Caracalla) nous montre Icidmago entre Aquae segete et Ruessio (Saint-Paulien) et aucune trace de voie romaine n'a jamais été trouvée à Yssingeaux (ou dans sa commune).
C'est le nom d'Usson-en-Forez qui procède directement du gaulois Icidmagus, à lire sans doute Iciomagus[8].
Détail insolite, le toponyme « Yssingeaux » ressemble au vellave (idiome local qui reçoit des influences du francoprovençal[9],[10],[11]) « Los Cinc Jalhs » (« Les Cinq Coqs » en français) ; depuis fort longtemps, les Yssingelais, tous parlant le dialecte local, pensaient fermement que le nom de leur ville signifait bien « Les Cinq Coqs », et cette conviction a sans doute joué un grand rôle dans la genèse du blason de la cité.
Histoire
Yssingeaux a une origine gallo-romaine[12], mentionnée au Xe siècle dans le cartulaire de Chamalières. Ville fortifiée avec des remparts et des tours, elle est incorporée à l'Auvergne, au comté de Toulouse puis à la couronne.
Jean de Bourbon édifia une maison forte, relais entre le siège épiscopal et la résidence d'été des évêques à Monistrol-sur-Loire, ce bâtiment est la mairie actuelle[13].
Le la ville est attaquée par les Huguenots, lors des guerres de Religion[14]. 400 protestants sous les ordres de Blacons venant de Privas, passent par La Louvesc, dont ils pillent l'église, se rendent à Tence, puis enfin à Yssingeaux, alors sous la dépendance de l'évêque du Puy. Les habitants sont avertis et sous l'autorité de Laurent Reboulh, curé d'Yssingeaux repoussent l'attaque.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, la ville est libérée par la 1re DB[15] fin août 1944.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Voici les résultats du 2d tour de l'élection présidentielle à Yssingeaux : Emmanuel Macron (En Marche!) est en tête des suffrages avec 63,93% des voix. Marine Le Pen (Front national) se place en seconde position, comptant 36,07% des suffrages.
Au 1er tour à Yssingeaux, Emmanuel Macron (En Marche!) était également arrivé en première position avec 24,23% des votes.
On décompte 7,25% de votes blancs parmi les votants[16].
Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire de la commune d'Yssingeaux sont les suivantes :
Élection | Territoire | Titre | Nom | Début de mandat | Fin de mandat |
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Municipales | Yssingeaux | Maire | Bernard Gallot | 2014 | 2020 |
Cantonales | Yssingeaux | Conseillère générale | Madeleine Dubois Jean-Noël Barrot | 2015 | 2021 |
Législatives | 1re circonscription | Député | Isabelle Valentin | 2022 | |
Régionales | Auvergne-Rhône-Alpes | Président du conseil régional | Laurent Wauquiez | 2021 | |
Présidentielles | France | Président de la République | Emmanuel Macron | 2022 |
Administration municipale
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[19].
En 2017, la commune comptait 7 202 habitants[Note 1], en augmentation de 1,42 % par rapport à 2012 (Haute-Loire : +0,71 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Culture
La commune organise chaque été, fin août et début septembre, le Festival du Rire[22]. La dernière édition, la 26ème, de 2017, a entre autres accueilli Jean-Marie Bigard et Chris Esquerre.
Médias et antennes locales
- Radio : Radio Fm43
- Presse quotidienne régionale :
Établissements scolaires
- L'Atelier (adultes handicapés) - Centre d'initiation au travail, aux loisirs et à l'autonomie.
- Inspection départementale de l’Éducation nationale.
- Commission Éducation spéciale CCPE.
- GRETA du Velay :
- atelier Pédagogique personnalisé ;
- lycée d'enseignement général et technologique.
- CFPPA - (Centre de formation professionnelle promotion adultes).
- CIO - (Centre d’information et d’orientation).
- PAIO - (Permanence - Accueil - Information - Orientation jeunes 16-25 ans).
- Enseignement public :
- école Jean-de-La-Fontaine ;
- collège Jean-Monnet ;
- lycée professionnel Emmanuel-Chabrier ;
- lycée d’enseignement général et technologique agricole George Sand (EPLEFPA du VELAY)
- Enseignement privé :
- École nationale supérieure de la pâtisserie.
Spécialités culinaires
La ville est réputée pour sa brioche à la fleur d'oranger ainsi que, plus récemment, pour ses brioches aux pralines et nougats. L'autre spécialité du cru est la dégustation dominicale de plats de tripes, au fil des mois de janvier, février et mars. Les Yssingelais ont coutume de se retrouver dès 9 heures le matin, dans les restaurants, pour des agapes roboratives généralement arrosées de vin blanc. Le ralliement se fait, soit par classe d'âge, soit par famille de prénoms, soit encore par métiers.
Il existe aussi une fourme d'Yssingeaux, un fromage similaire à la fourme d'Ambert.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château d'Yssingeaux, ancien château utilisé par les évêques pour se reposer lorsqu'ils faisaient le voyage entre le Puy-en-Velay et Monistrol-sur-Loire. Il est devenu l'hôtel de ville, ancienne maison forte proche de la fontaine sur la place principale de la ville.
- La Grenette, une ancienne halle, accueille désormais une médiathèque et deux salles de cinéma. Au fond d'une place entièrement rénovée, ce bâtiment a une architecture originale qui fait de lui un des sites notables d'Yssingeaux.
- Le théâtre (et sa saison culturelle).
- L'ancienne abbaye de Bellecombe est sur le territoire de la commune, à 5 km d'Yssingeaux. Évacuée de force par la garde nationale en 1792, il ne reste plus aucun vestige. Seuls trois bâtiments agricoles, dits « fermes de l'abbaye » subsistent de nos jours : l'un transformé en gîte (fermé récemment), deux autres sont aujourd'hui des propriétés privées présentant des caractéristiques architecturales typiques du patrimoine rural de l'époque.
- Le marché d'Yssingeaux qui se déroule le jeudi et qui existe depuis la fin du XVe siècle[25], a une affluence sur tout le canton au cours de l'année ; l'été il occupe tout le cœur de la ville ; c'est une attraction touristique saisonnière de la commune[26].
- Le musée des arts et traditions populaires de Versilhac propose une reconstitution de la vie d'antan, de ses métiers, de ses fêtes ainsi qu'une ancienne salle de classe.
- La chapelle des pénitents.
Personnalités liées à la commune
Seigneurs de Choumouroux
- Pierre de Choumouroux
L'origine de la famille de Choumouroux remonte à Jean de Sanhard, seigneur de Saignard, paroisse de Saint-Voy, en Velay[27]. La seigneurie passe par le mariage à la famille de Saignard[28] :
- Pierre de Saignard de Choumouroux, 1626-1708
- Jean-Joseph de Saignard de Choumouroux, 1653-1711
- Jean de Saignard, +/1669
- Pierre-Louis de Saignard de Choumouroux, 1681-1760
- Joseph Raymond Bénigne de Saignard de Choumouroux, 1734-1812
- Joseph-Alphonse de Saignard de Choumouroux, chevalier de la Légion d'honneur, a servi en Espagne et a été député du département de la Haute-Loire à la chambre de 1815.
Armes : « Écartelé : aux 1 et 4, d'azur, à trois chevrons d'or ; aux 2 et 3 d'azur, au sautoir d'or. Couronne de comte »[29].
Autres
- Baron Haussmann : brièvement sous-préfet de la Haute-Loire, de juin à octobre 1832. Il consacre le chapitre IV de ses Mémoires à cette période, sans cacher son peu d'estime pour ses administrés « ivrognes et batailleurs »[30].
- Le général Raymond de La Rocque (1841-1926) est né à Yssingeaux.
- Joseph de Castelli (1856-1933), né à Yssingeaux, général de la Première Guerre mondiale.
- Charles-Louis Bazin (1802-1859), peintre français, y est décédé.
- Eugénie Joubert (1876-1904), née à Yssingeaux, religieuse, modèle d'union à Dieu dans les petites choses ; béatifiée en 1994 par le pape Jean-Paul II.
- Augustin Michel (1882-1970), né et mort à Yssingeaux, avocat et homme politique.
- Albert Liogier (1910-1989) né à Yssingeaux, homme politique.
- Joseph Servant (1920-2012), né à Yssingeaux, colonel et diplomate.
- Le peintre Bernard Rancillac, né en 1931, a vécu pendant la guerre dans la maison paternelle à Yssingeaux.
- Jacques Barrot (1937-2014), né à Yssingeaux : ancien maire, ancien député, conseiller général puis président du conseil général, plusieurs fois ministre (emploi, affaires sociales), commissaire européen responsable pour la justice, la liberté et la sécurité, précédemment chargé des transports ; membre du Conseil constitutionnel.
- Jean-Marie Muller, né en 1940 à Yssingeaux, champion du monde de ski nautique.
- La chanteuse Sloane du groupe Peter et Sloane[réf. nécessaire].
- Cristine Guinamand, née en 1974 à Yssingeaux, artiste-peintre, vit et travaille en Haute-Loire.
Héraldique

Armes de la ville d'Yssingeaux :
« D'azur à cinq coqs d'or crétés membrés et barbés de gueules posés 2, 1 et 2, les deux en chef et les deux en pointe affrontés, soutenus en pointe d'une fleur de lys d'or. »
Malte-Brun, quant à lui, se contente de rapporter, dans sa notice de La France illustrée consacrée à Yssingeaux, que le nom proviendrait, suivant quelques-uns, de cinc jaus qui signifie « cinq coqs » en ancien français. Il s'agit d'un exemple courant d'étymologie populaire qui explique de nombreux blasons. Il ne met cependant pas spécialement en avant cette pittoresque étymologie.
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Gérard Desage et Jean Perrel, Yssingeaux et les Yssingelais au XVIIIe siècle : in Cahiers de la Haute-Loire 1997, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)
- Gérard Bollon, Aperçus sur la résistance armée en Yssingelais 1940 - 1945 : in Cahiers de la Haute-Loire 1997, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne) ; Le Chambon-sur-Lignon, 2007
- Berthe Croslebailly : Dorcas. Héroïne de la résistance dans l'Yssingelais, déportée à Ravensbrück sous le matricule 27920. Imprimerie Jeanne d'Arc, Le-Puy-en-Velay 1999. OCLC 76695031
- Michel Pomarat, La seigneurie et le château de Treslemont et le Sablon, histoire et documents : in Cahiers de la Haute-Loire 1985, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire,
Notes et références
Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2020, millésimée 2017, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2019, date de référence statistique : 1er janvier 2017.
Références
- Joannès DUFAU, Dictionnaire Français - Nord-Occitan Nord du Vivarais et du Velay, Saint-Julien-Molin-Molette, Jean-Pierre Huguet, , 335 p., p. 20
- Yssingeaux, repères historiques, Maurice Déchaud, 1991, p. 99.
- « Climat Yssingeaux: Diagramme climatique, Courbe de température, Table climatique pour Yssingeaux - Climate-Data.org », sur fr.climate-data.org (consulté le 16 septembre 2018)
- « Ville d'Yssingeaux, la Mairie d'Yssingeaux et sa commune (43200) », sur Annuaire-Mairie (consulté le 16 septembre 2018)
- Dans le cartulaire de l'abbaye de Chamalières.
- Dans le cartulaire du Monastier.
- Dans le cartulaire de Cluny.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne).
- Pierre Bonnaud (géographe), De l'Auvergne : un fil d'Ariane pour aller de la Confédération arverne au IIIe millénaire, Nonette, Créer, , 318 p. (ISBN 2-84819-001-9).
- « Yssingelais », sur cercleterredauvergne.fr ; site de la société savante Cercle Terre d'Auvergne (consulté le 14 janvier 2017).
- Jean-Baptiste Martin, Le parler occitan d'Yssingeaux (Haute-Loire), Yssingeaux, Histoire et patrimoine, , 263 p. (ISBN 2-9511130-0-5).
- Pierre-Éric Poble, « Yssingeaux – Saussac », ADLFI. Archéologie de la France - Informations. une revue Gallia, (ISSN 2114-0502, lire en ligne, consulté le 17 mai 2019)
- Futura, « Yssingeaux, la ville aux origines gallo-romaines », sur Futura (consulté le 17 mai 2019)
- Joseph Denais, « L'attaque d'Yssingeaux par les protestants (4 Août 1621.) », Tablettes historiques de la Haute-Loire, , p. 566-569 (disponible sur Gallica)
- Stéphane Simonnet, Claire Levasseur (cartogr.) et Guillaume Balavoine (cartogr.) (préf. Olivier Wieviorka), Atlas de la libération de la France : 6 juin 1944- 8 mai 1945 : des débarquements aux villes libérées, Paris, éd. Autrement, coll. « Atlas-Mémoire », (1re éd. 1994), 79 p. (ISBN 978-2-746-70495-4 et 2-746-70495-1, OCLC 417826733, notice BnF no FRBNF39169074), p. 32.
- « Yssingeaux (43200) : Résultats de l'élection présidentielle 2017 », sur LExpress.fr (consulté le 4 juillet 2019)
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 26 août 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016 et 2017.
- Site du Festival du Rire.
- « ESCY - Ensemble Scolaire Catholique d'Yssingeaux », sur ESCY (consulté le 23 septembre 2017)
- « LEAP - LYCEE D’ETUDES AGRICOLES PRIVE – 36, Rue de Turenne – 43200 YSSINGEAUX », sur www.leap43.org (consulté le 23 septembre 2017)
- Hélène Chalier, Le domaine du Fraisse et sa chapelle romane : Beauzac Haute-Loire. Neuf siècles d'histoire, (ISBN 978-2-7466-2466-5, présentation en ligne), p. 13
- Ville d'Yssingeaux : activité commerciale.
- Nobiliaire du Velay et de l'Ancien Diocèse du Puy, par Gaston de Jourda de Vaux, tome VI, pages 113 à 121.
- Armorial général du Velay, par Georges Paul, Marseille Reprints, 1975, p. 409.
- Nobiliaire universel de France, par Nicolas de Saint-Allais, tome XIII, p. 403.
- Georges Haussmann, Mémoires du Baron Haussmann, Victor Havard ed., , 603 p. (lire en ligne)
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